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Médecine de l’Espoir
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PENSÉES ALIMENTAIRES
Buvez vos solides et mangez vos liquides (Gandhi).
Déjeunez comme un roi, dînez comme un prince et soupez comme un
mendiant.
Manger pour vivre au lieu de vivre pour manger.
Il faut que la qualité l’emporte sur la quantité.
Manger avec amour, avec plaisir. Déguster.
On mange ses émotions.
On peut changer graduellement ses habitudes alimentaires, par exemple
en réduisant le sucre et le sel.
Manger mieux, sans nécessairement manger plus.
Celui qui mange comme un glouton creuse sa tombe avec ses dents (Omar
Khayham).
Moins on mange de mets différents au même repas, mieux on se sent.
Une bonne combinaison d’aliments assure une meilleure digestion.
Bien s’alimenter, ça ne veut pas dire uniquement bien manger, mais
c’est aussi savoir comment respirer (absorber l’oxygène), se
déplacer, marcher au soleil, en montagne, tirer le meilleur avantage de
la mer, vibrer de tout son être avec la beauté de la nature, avec
chaque élément du Cosmos, savourer, déguster quoi!
C’est une excellente technique que de savoir puiser son énergie
dans les forces positives du Cosmos: La terre qu’on foule, l’air qu’on
respire, l’eau qui nous environne, le feu représenté par le soleil
qui lui-même représente Dieu. Quant à l’éther, il est partie
constituante des quatre autres éléments.
LA GUERRE DES
AGRESSEURS
Il n’est pas de semaine sans que les
médias ne fassent grand cas d’une nouvelle découverte. Chaque nouvel
agresseur (cancérigène nouvellement trouvé) déclenche une levée de
fonds pour la recherche et suscite une nouvelle lueur d’espoir: "Enfin!
On a trouvé!"
Et chaque fois, il faut trouver de nouveaux
agresseurs contre ces tout nouveaux agresseurs tous plus toxiques les
uns que les autres.
Au lieu de créer dans le domaine positif, on
s’évertue à créer dans le négatif. Au lieu de chercher de nouveaux
médicaments anti-cancérigènes, tous plus toxiques les uns que les
autres, pourquoi ne pas regarder la T.I.C. qui peut les utiliser d’une
façon non toxique?
LA CHIMIE
OMNIPRÉSENTE
Rien ne va assez vite dans ce monde pressé
de vivre et de mourir... . On injecte des hormones au cou des volailles
pour en faire, en moins d’un mois, de beaux B.B.Q. dodus. Ce
serait la cause de la gynecomastie (seins hypertrophiés) chez
les jeunes garçons.
On oblige les vaches "à se faire
faire des brassières" (soutiens-gorge) sur mesure tellement
leurs pis sont lourds. Leurs échines en sont courbées depuis qu’on
les injecte aux hormones. Lorsqu’on les tue, leur viande n’est plus
bonne à consommer.
Pour la même raison, le gras de porc est
maintenant jaunâtre, de blanc qu’il était, il y a cinquante ans. Mon
arrière-grand-père mangeait sa "brique de lard"
chaque jour à quatre-vingt-treize ans.
Le bon lait aux hormones qu’on nous sert et
le lait aux antibiotiques viennent de vaches engraissées chimiquement
(engrais et moulées).
On force la nature au point de déposer des
comprimés dans les érables pour activer la production de sirop: cette
technique tue nos érables.
Depuis longtemps on arrose les fruits et les
légumes avec des insecticides. On donne des anticonceptionnels aux
animaux domestiques (chiens et chats). Dernière nouveauté: en
psychiatrie animale, on leur donne maintenant des tranquillisants et des
anti-antidépresseurs.
Il y a tellement de mercure dans le poisson
de nos lacs qu’on songe à en fabriquer bientôt des thermomètres...
.
N’allez pas croire que le problème du
mercure dans le poisson de nos lacs est un mythe.
J’ai en mémoire un cas très grave d’intoxication
au mercure. Il s’agit de l’un de mes meilleurs amis, guide
touristique renommé d’une soixantaine d’années, chargé par le
gouvernement de donner des cours de pêche, de chasse et de trappe à
des Indiens... .
Il s’alimentait de poisson frais environ
cinq jours par semaine depuis une trentaine d’années, lorsqu’il se
mit à ressentir des douleurs et des engourdissements aux deux bras, aux
muscles pectoraux et dorsaux, au point d’éprouver de la difficulté
à marcher. Lui qui pouvait courir des heures entières dans les bois,
il avait dû suspendre en grande partie ses activités de guide lorsque
je le pris en mains et l’aidai à s’en sortir.
Il mangeait du brochet et du doré provenant
de nos ressources aquatiques.
QUELS
MÉDICAMENTS UTILISE-T-ON EN T.I.C.?
Cette thérapie est avant tout une technique
médicale nouvelle.
Non nova sed nove. (Rien de nouveau, mais
d’une façon nouvelle.)
Nous employons les mêmes médicaments que la
médecine conventionnelle, les mêmes voies d’administration qu’elle.
C’est vraiment de la médecine pure à sa plus noble expression.
Nous utilisons la meilleure qualité de
médicaments que nous pouvons trouver. Ils sont fabriqués par les
laboratoires les plus réputés au monde. Nous n’acceptons pas de
substitut, pas de générique, quand la chose est possible.
Nous préférons la forme parentérale (autre
que la voie digestive) parce qu’il est plus facile de subdiviser une
ampoule de un, deux, cinq ou dix cc que de fractionner un comprimé,
mais surtout à cause de la rapidité d’absorption au niveau de la
membrane intercellulaire, car nous alternons le glucosé hypertonique
avec la médication intraveineuse, durant le grand traitement. C’est
exactement le phénomène qu’a si bien saisi le biochimiste Fernand
Seguin.
Les médicaments utilisés sont sommairement classés comme suit:
a) Médicaments pour la désintoxication massive:
des intestins: laxatifs, purgatifs cathartiques (stimulants
de la contraction intestinale), désinfectants, antidiarrhéiques,
absorbants intestinaux, antispasmodiques.
du foie: cholagogues (stimulants de l’évacuation de
bile), cholérétiques (stimulants de la sécrétion de bile),
hypocholestérolémiants, hypolipémiants, protecteurs de la cellule
hépatique.
du rein: électrolytes, diurétiques, désinfectants
urinaires, antibiotiques.
des poumons: antiseptiques respiratoires, stimulants
respiratoires, mucolytiques (liquéfient les sécrétions),
broncho-dilatateurs (dilatent les bronches), antibiotiques.
de la circulation: stimulants cardiaques et circulatoires,
anti-hypertenseurs, vaso-dilatateurs (dilatent les vaisseaux).
b) Médication spécifique et adjuvante combinée:
Nous utilisons conventionnellement les médicaments de la pratique
courante, mais en doses fractionnées et potentialisées selon la
technique de l’insuline, telle qu’expliquée dans ce livre.
Il est à remarquer que dans cette thérapie, nous n’utilisons ni
morphine, ni codéine, ni aspirine, ni aucun anxyolitique, ni
antidépresseur.
Je puis déclarer pouvoir traiter à peu
près toutes les maladies dont il sera question dans les présentations
de cas qui suivent avec approximativement 80 médicaments.
Cela contraste étrangement avec les 15.000
médicaments qui grugent 750 millions de dollars au budget des 13
milliards de dollars de l’Assurance-Maladie en 1994.
C’est la technique qui fait tout: c’est
une façon différente de voir le malade, de considérer la maladie et
de traiter l’être humain qui en souffre.
La médecine devient alors un art véritable.
PARALLÈLE
ENTRE LE CORPS HUMAIN ET L’AUTOMOBILE
Étant un fervent des "Belles d’autrefois",
j’avais mis sur "roues" ma propre collection de vingt-sept
vieilles voitures authentiques des années 1915 à 1934.
Il m’arrivait la nuit d’aller m’amuser
à remonter une transmission ou à décabosser une aile.
Devenu plus tard propriétaire de ma propre
compagnie d’équipements lourds, je sautais sur un chargeur ou sur un
bélier mécanique. J’avais quarante-six employés.
En observant fonctionner la machinerie, et en
m’intéressant au travail de mes employés, j’ai beaucoup appris sur
la mécanique des corps et je vous en livre quelques bribes.
C’est tout à fait aberrant, direz-vous, de
vouloir comparer le corps humain à l’automobile. D’abord, l’un a
précédé l’autre d’environ 3 millions d’années sur
terre, et le cerveau humain n’a pas encore percé ni élucidé la
complexité de ses 60.000 milliards de cellules, dont 2
millions meurent et renaissent à chaque seconde. Cela demeure un
mystère, tout comme la possibilité qu’ont un homme et une femme de
mettre au monde 300.000 milliards d’êtres différents dans une
seule relation, par l’union d’un ovule de la femme à l’un des 400
millions de spermatozoïdes de l’homme.
Le corps humain et l’automobile ont un
fonctionnement analogue. Même si toute comparaison est
"boiteuse", celle-ci est troublante de réalisme et fait très
bien l’affaire. Elle peut éclairer notre lanterne. Sa simplicité la
met à la portée de tous.
Notre merveilleux corps humain est si
complexe que son mécanisme bio-physico-chimique n’a pas encore été
complètement expliqué par les plus grands savants de tous les temps.
Même le mystère de la vie n’a pas encore été percé. Dieu seul
pouvait créer une telle merveille, la plus extraordinaire de toutes.
L’automobile toute neuve qui sort de l’usine
comporte tout ce qu’il faut pour fonctionner durant des années dans
des conditions "normales", et j’insiste sur le mot
"normales." Je ne veux pas entrer dans les explications
savantes et techniques de l’électronique ni de la mécanique
modernes, car j’y perdrais facilement mon latin, mon vocabulaire et
mes outils... .
Je veux simplement vulgariser d’une façon
simple, logique, à la portée de tous, une meilleure compréhension
médicale du corps humain, dans un langage que les professionnels de la
santé auraient avantage à adopter. Nous ne savons pas toujours comment
l’expliquer ou peut-être ne prenons-nous pas suffisamment de temps
pour fournir les explications qu’on attend de nous, tout comme lorsqu’on
achète un appareil électronique compliqué, un fax ou un ordinateur
par exemple.
LES FILTRES
Le poumon
C’est le filtre à air qui contient 18.000
lobules par poumon et 600 millions d’alvéoles pulmonaires (petites
cavités dans le tissu du lobule); celles-ci, déplissées, couvriraient
3.000 à 4.000 mètres carrés.
Les poumons renferment deux litres de sang et
filtrent 10.000 litres d’air et 15.000 à 20.000 litres de sang par
jour. Ils transforment, jour et nuit, même durant le sommeil, notre
sang bleu veineux, chargé d’impuretés, en un sang rouge artériel
rutilant, purifié au niveau des alvéoles pulmonaires grâce à un
processus d’oxygénation. Sans oxygène, tout le monde le sait, la vie
est impossible. Le poumon est encrassé par la fumée de la cigarette
(celle qu’on fume ou celle qu’on nous fume au nez à cœur de jour),
par la "petite poussière du bon Dieu", par les millions de
bacilles présents dans chaque mètre cube d’air des grandes villes,
par les infections respiratoires répétées (sinusites, bronchites,
pneumonies), par les substances chimiques ou toxiques qui flottent dans
l’air pollué des villes (oxyde de carbone, poussières de mines,
etc.), et même par l’air climatisé des grands édifices. L’air qui
sort des trappes d’air climatisé est très souvent plus chargé de
microbes que l’air qui y pénètre. On néglige de changer les
filtres.
On annonçait à la télévision il y a
quatre ans, qu’à Mexico, ville de 23 millions d’habitants, et de
près de 3 millions de véhicules automobiles, que les enfants ne
pouvaient se rendre à leurs cours tôt le matin par manque d’oxygène,
Mexico étant construite sur une sorte de coupole sur une montagne. Pour
la même raison, il n’est plus possible de faire de la course à pied
à San Francisco.
Dans un milieu rural, il n’existe parfois
que dix à quinze microbes par centimètre cube d’air, contre 180.000
dans certaines villes. J’entendais un éminent conférencier
déclarer, en 1991, qu’à Montréal, il y en avait 5 millions par
mètre cube d’air.
Tout mécanicien comprend ce rôle primordial
du filtre à air: c’est la première chose qu’on vérifie quand une
automobile manque d’entrain, de vigueur, quand elle ne "tire
pas." Le seul fait de changer le filtre à air ou de l’enlever
temporairement suffit très souvent à redonner au moteur fatigué,
paresseux, un nouveau regain de vie. Il ne pouvait plus respirer.
Le rein
On peut le comparer au filtre à essence qui
ne doit laisser passer au carburateur, dans la circulation (le cœur et
les vaisseaux) que de l’essence pure (le sang), sans saleté, sans
huile, sans eau de condensation ni poussière. Une bonne diurèse
(sécrétion d’urine) ne peut être assurée sans l’absorption d’au
moins deux litres d’eau par jour. Un rein encrassé, tel un vieux
filtre aux pores dilatés, laisse passer dans les urines, avec les
déchets de combustion, des éléments constituants du sang, par exemple
l’albumine qui est une protéine, une composante du sang et des
organes.
Le rein est un organe vital et si par malheur
on en perd un, l’autre doit travailler en double. On ne vit pas sans
rein. Aujourd’hui on greffe des reins et on a recours au rein
artificiel et à la dialyse. On connaît les problèmes qu’occasionne
un filtre à essence plein d’eau, de glace, de rouille, de saletés,
qu’on a négligé de changer ou de nettoyer. On a transvasé de l’essence
provenant de récipients malpropres; il s’est fait de la condensation
dans le réservoir. Une mauvaise alimentation et des infections graves
(telles la rougeole, la scarlatine) ou répétées peuvent causer des
dégâts irréparables. Remarquons en passant que, contrairement aux
autres filtres, le rein, par exception, filtre à l’envers. Au lieu de
laisser passer le sang, il élimine les déchets dans les urines.
L’intestin
C’est ordinairement le grand responsable de
la majorité de nos maux chroniques. Nous ne voulons pas nous
débarrasser de ce qui ne sert plus; nous voulons tout garder, même
nos déchets: nous sommes de grands constipés chroniques. C’est
un peu la rançon de l’abondance, de l’opulence, de l’inactivité,
du modernisme, de l’automatisation, de notre siècle de
surconsommation, de l’alimentation sur laquelle on reviendra. Nous
pourrions nourrir chaque jour des millions d’Africains avec les rebuts
de notre table.
L’intestin est l’émonctoire, l’épurateur
le plus important de notre organisme. C’est en somme le carter
d’huile où tombe et s’accumule la limaille due à la friction et à
l’usure normale du moteur: c’est sa vidange. C’est le rejet
des déchets de combustion et d’absorption du système. Il se divise
en petit et en gros intestin.
C’est dans le grêle ou petit
intestin que séjournent sous forme liquide ou semi-liquide les
aliments déjà broyés, attaqués chimiquement par les acides, par les
bactéries et par les enzymes digestives. C’est à ce niveau que se
font les échanges nutritifs, que l’organisme puise ses ressources,
tels les vitamines, les minéraux, les protéines, les glucides (les
sucres), les lipides (les gras). Ce milieu surabonde de substances
toxiques, de déchets résultant des transformations
bio-physico-chimiques, de microbes et de bactéries.
Si la seconde partie de l’intestin, qu’on
nomme le côlon ou le gros intestin, élimine mal ou est
partiellement obstruée—c’est ce qu’on appelle la constipation—ces
toxines sont réabsorbées par l’organisme au niveau du petit intestin
qui est très vascularisé, au lieu d’être déversées normalement
dans le gros intestin. Elles empoisonnent, intoxiquent ainsi le système
tout entier. Le côlon ou gros intestin, comporte une section
ascendante ou cæcum où s’abouche le petit intestin: c’est là que
se situe l’appendice, "amygdale du ventre", dont les
chirurgiens ont déjà été si friands: 146.437 appendicectomies de
1971 à 1977, 97.452 de 1989 a 1993.
Au cæcum ou côlon ascendant, succèdent les
parties transverse, descendante, sigmoïde (en forme de "s"),
terminale ou rectum, et l’anus, siège d’hémorroïdes. Signalons en
passant que le gros intestin est également vascularisé, mais beaucoup
moins que le petit. Ce qu’on appelle une hémorroïde: (47.372
interventions de 1971 à 1977, 57.760 de 1989 a 1993) est tout
simplement la dilatation anormale d’une veine de l’anus. C’est
donc une varice au même titre que n’importe quelle autre varice, en
rapport direct avec le foie, car toutes les veines de notre corps
convergent vers le foie dans une très grosse veine appelée veine
porte. Donc, s’il y a blocage au foie, défaut d’élimination, il
est possible de retrouver des vaisseaux dilatés, des varices, des
hémorroïdes, c’est mécaniquement logique. Les petits ruisseaux (les
veines) débordent au printemps, congestionnent quand la rivière ou le
lac dans lesquels ils se déversent (le foie) débordent ou sont
surchargés. Au lieu de traiter le foie et l’intestin, on opère.
La chirurgie ne semble pas comprendre... .
Le
phénomène du verre d’eau
Il est un autre point très important sur
lequel je veux attirer l’attention: La plupart des constipés s’ignorent.
C’est le phénomène "du verre d’eau", le verre qu’on
oublie sous le robinet. Lorsqu’il est plein, c’est le trop-plein qui
déborde, mais le verre demeure toujours plein!
Il en est ainsi du côlon (gros intestin.)
Si, à l’examen, on trouve un gros intestin congestif, douloureux à
la palpation, plus gros que la normale, même si le patient se vante
d’avoir des selles quotidiennes, il élimine mal. Les selles s’accumulent,
adhérant aux parois, bloquant la plus grande partie du bol fécal. C’est
une forme de constipation chronique et c’est lourd de
conséquences, à cause de la résorption des toxines et du refoulement
de bile au niveau du foie. D’autres conséquences très
importantes sont les suivantes:
a) l’aérocolie (accumulation de gaz intestinaux) par
fermentation des sucres.
b) la diverticulose. Quand une trop forte quantité de matière
fécale fait pression contre la paroi intestinale, celle-ci cède à
la pression, et il se forme comme des "balloons", de petites
poches qui s’emplissent de déchets, où s’installe la
putréfaction, avec formation de gaz toxiques réabsorbés dans le
courant sanguin.
c) les varices et les hémorroïdes occasionnées en partie par
la congestion du foie, en partie par la pression exercée sur les
veines pelviennes (du bassin) ainsi que par la congestion de retour
qui gonfle le plexus hémorroïdaire (ensemble des petites veines de l’anus)
et les veines des jambes.
Le foie
Avant-propos: Il est curieux de retrouver
chez les Sénégalais cette expression vraiment colorée qui donne au
foie toute sa valeur: "Boul diape saumu rèss",
littéralement: n’attaque pas mon foie, mais plus précisément: ne
touche pas à mon cœur.
Ces peuples d’Afrique qui sont beaucoup
plus près de la nature que nous ont compris que le foie est encore plus
important que le cœur.
Le foie est le filtre à huile. Parlons-en,
de celui-là! C’est l’organe le plus "mal traité"
par la médecine et la chirurgie et c’est également le plus "maltraité"
par notre alimentation et notre régime de vie. Un fait me surprend
énormément: la liste de médicaments de la Régie de l’Assurance-Maladie
du Québec ne contient plus aucun médicament cholagogue (qui stimule l’évacuation
de bile) ni aucun cholérétique (qui stimule la sécrétion de bile.)
Il existait sur le marché pharmaceutique des
médicaments merveilleux pour le foie, dans les premières années de ma
pratique. Jouant le rôle de pharmacien à la fois, je
choisissais, commandais, distribuais et vérifiais l’efficacité des
médicaments par les résultats obtenus. C’est ainsi que j’avais
fait la sélection de methiscol (U.S. Vitamins), lipotrope (Laboratoire
Rougier) et sulfarlem-choline (Herdt & Charton.) Ils ont
complètement disparus de la carte.
C’était un grand avantage pour le médecin
et pour le malade. Maintenant, une fois l’ordonnance faite, on la
laisse aller sur un bout de papier sans pouvoir en vérifier
personnellement l’efficacité. Présentement les meilleurs cholagogues
(stimulants de la sécrétion de bile) et cholérétique (stimulants de
l’évacuation de la bile) existent en Europe, sous forme injectable.
Et pourtant, en Amérique du Nord, on
prétend que nous avons le championnat mondial des maladies du foie. Au
Québec seulement, de 1971 à 1977, l’opération pour le foie est au
deuxième rang après celle des amygdales avec un total de 182.606
ablations de la vésicule biliaire. Réf. Bulletin de la Corporation des
Médecins du Québec 1978.
La dyskinésie
biliaire
Voici une observation intéressante: presque
tous les malades chroniques que j’ai traités par la T.I.C.
présentaient des problèmes de dyskinésie biliaire (ou mauvaise
élimination de la bile) même, et à plus forte raison, s’ils avaient
été opérés pour le foie. Qu’il s’agisse de migraine, de
céphalée vasculaire, d’angine, d’infarctus, de troubles
circulatoires, d’asthme, d’emphysème, d’arthrose, d’allergies,
de dermatoses, et même de cancer, il y a des symptômes qui ne
mentent pas.
Le fait d’avoir été opéré pour le foie
ne va pas à l’encontre de cette observation. Lorsqu’on enlève la
vésicule biliaire et qu’on permet au foie de déverser sa bile
directement dans le duodénum (partie de l’intestin qui fait suite à
l’estomac), sans la laisser séjourner dans un sac, la vésicule, on
diminue les chances qu’a la bile de se concréter en pierres, en
calculs un peu comme le sucre dans la confiture qui cristallise. On ne
traite pas pour autant véritablement le foie: on prévient tout
simplement la crise de foie, le passage douloureux d’un calcul, d’une
pierre avec ses aspérités dans un conduit trop petit et très
sensible.
Combien de personnes qui ont été opérées
pour le foie en souffrent encore et en souffriront toujours? Les
calculs, ne pouvant se former dans la vésicule, se forment parfois dans
les voies biliaires et alors il faut réopérer. Pour traiter
véritablement le foie, il faut d’abord vider l’intestin,
stimuler la sécrétion et l’élimination de la bile, suivre une
diète appropriée, faire de l’exercice et cesser de se faire de la
"bile" (cesser de s’inquiéter.)
En revenant au parallèle entre le corps
humain et l’automobile, le foie représente le filtre à l’huile:
c’est donc "la vie du moteur" me répétait souvent
Moïse Aubé, expert mécanicien de ma compagnie d’équipements
lourds. Un filtre à l’huile encrassé laisse passer trop d’huile,
trop de gras et d’impuretés, de déchets d’usure du moteur dans la
circulation.
Un moteur à deux temps (hors-bord, tondeuse)
n’utilise qu’une partie d’huile pour quinze d’essence, sans quoi
les gicleurs du carburateur (les artères coronariennes) s’encrassent
très vite et le moteur "fait des ratés". L’huile dans
notre sang, c’est le cholestérol et ce sont aussi les triglycérides
que le foie, notre usine chimique, fabrique.
Symptômes
de la maladie du foie
Il est curieux de constater que des bilans
lipidiques—examens sanguins de la fonction du foie—révèlent très
souvent des résultats incompatibles avec l’examen clinique et la
symptomatologie. Certains patients ont des taux de cholestérol
excessivement élevés et ne présentent pourtant aucun symptôme
hépatique important.
Par contre, d’autres patients ont un
cholestérol dans les limites de la normale et présentent une
symptomatologie hépatique très chargée: aigreurs, barre au foie
(ou à l’hypocondre, partie supérieure de l’abdomen) irradiant
parfois au dos, palpitations, points au cœur qui masquent souvent une
congestion du lobe gauche du foie, gorgées sûres (difficultés pour
avaler), bouche pâteuse, haleine fétide, nausées, vomissements,
étourdissements surtout lorsqu’on se relève rapidement ou qu’on
tourne la tête trop vite, engourdissements des extrémités,
intolérance au froid, impatiences, tendance à l’épistaxis
(saignement de nez), vision de points jaunes, maux de tête ou
céphalées en casque (comme si on portait un chapeau trop serré),
intolérance aux gras, soif anormale ou lourdeur post-prandiale,
(somnolence après les repas.) À l’examen physique, on trouve un foie
surchargé, douloureux à la palpation, du ballonnement, une langue
saburrale (blanche, chargée), une cornée jaunâtre, des cholesteatomes
(petites tumeurs graisseuses aux paupières), une peau grasse, des
cheveux gras, des varices ou des hémorroïdes, les extrémités froides
(cyanose). Trop souvent on se contente d’une cholangiographie
(radiographie des voies biliaires) et d’une prise de sang pour
déterminer si le foie est malade. Devant des résultats négatifs, la
réponse classique est souvent la suivante: "Tout est normal,
vous n’avez rien au foie. Vous pouvez manger tout ce que vous
voulez." Et c’est faux.
UN
BON DIAGNOSTIC COMPORTE TROIS ÉLÉMENTS
Une bonne investigation doit comporter
également un questionnaire serré. Des détails négligeables pour
le patient donnent souvent la clé de l’énigme au médecin. On
peut passer à côté d’un diagnostic comme à côté d’un lac, en
plein bois. En médecine, il y a trois éléments importants de
diagnostic qui doivent toujours aller de pair: le questionnaire
subjectif (ce que le patient ressent), l’examen physique objectif (ce
que le médecin constate) et les données de laboratoire, de radiologie
ou autres, qui peuvent confirmer ou infirmer un diagnostic.
L’oreille du médecin et le stéthoscope
peuvent diagnostiquer une congestion pulmonaire que la radiographie ne
peut mettre en évidence, et par contre une radiographie peut déceler
une pneumonie que l’auscultation ne peut révéler. Le stéthoscope n’évalue
pas la douleur d’une crise d’angine, ni l’électrocardiogramme (E.C.G.).
L’angine de poitrine est une de ces maladies qu’aucun médecin ne
saurait dépister sans l’aide du patient.
Et pourtant, le pauvre patient souffre. La
douleur qu’il ressent demeure parfois le seul critère diagnostique
valable. Il existe également des éléments non palpables qu’aucun
scanner ne pourrait trouver ni mesurer.
Combien de diagnostics erronés, posés en
vitesse, n’ont-ils pas entraîné des journées d'hospitalisation
superflues et des opérations inutiles et non nécessaires? Combien
de souffrance accumulée parce que la médecine est devenue trop
technique, parce qu’elle a oublié qu’il y a un être humain caché
derrière la maladie.
N’oublions pas non plus qu’il existe
une mystérieuse alchimie entre le corps et l’esprit. Pour bien
réussir en médecine, il faut soigner les deux à la fois.
APPRENDRE
À OBSERVER EN MÉDECINE
Notre professeur de chimie clinique à l’Université,
nous enseignait à effectuer des tests sur les différentes humeurs de l’organisme:
le sang, les urines, le liquide céphalo-rachidien, etc.
A son premier cours, il nous rappela cette
époque héroïque des pionniers de la médecine, nos prédécesseurs,
qui utilisaient tous leurs sens et les moyens de bord pour arriver à
des diagnostics surprenants d’exactitude. "Ils n’hésitaient
pas, disait-il, à goûter l’urine des diabétiques pour y
déceler la présence de sucre. Par exemple, tenez: cette urine
contient un fort taux de glucose." Il y trempa le doigt et le porta
à sa bouche devant nous. "Y en a-t-il un parmi vous qui veut y
goûter?" Personne n’osait répondre. "Pas même un sur une
classe de 138 élèves? Personne n’a le courage de ceux de la
dernière génération?"
Un élève leva la main timidement. Il le fit
approcher. L'élève trempa le doigt et le porta à sa bouche et fit une
moue de dégoût. Le Dr M. le félicita mais lui reprocha son manque
d'observation. "Si vous m’aviez bien observé, dit-il, vous
auriez vu que j’ai trempé l’index, mais que c’est le majeur que j’ai
porté à mes lèvres".
Aujourd’hui, tout est simplifié. L’électronique
est présente dans tous les hôpitaux. En quelques instants, on obtient
à peu près tous les résultats de tests imaginables. C’est vraiment
l’ère de la médecine "computérisée". On se donne de
moins en moins la peine de questionner les malades, de les examiner, de
les observer, de chercher dans leur mode de vie et leurs antécédents
pour trouver la cause de leurs maux.
Je me souviens de cette jeune fille d’une
famille à l’aise pour laquelle le père avait consulté au moins
trois dermatologues et dépensé beaucoup d’argent. Elle présentait
au front une lésion de la grandeur d’une pièce de dix sous (1,5 cm)
qui ne voulait pas guérir depuis trois ou quatre bonnes années. Les
pommades à la cortisone qu’ils lui prescrivaient ne lui faisaient
rien.
En observant minutieusement à l’œil nu, j’ai
découvert le piqueté caractéristique "deux par deux" des
lésions de la gale (grattelle). Une simple application de crème
lindale après frottage classique avec une serviette rude (rugueuse), et
trois jours plus tard, il n’y paraissait plus.
Ce piqueté deux par deux représente le trou
d’entrée et le trou de sortie du sarcopte qui se creuse de petits
sillons sous la peau.
MAIS QUI VOUS A
DIT CELA?
L’esprit d’observation est un grand atout
pour tout thérapeute. Une dame inconnue se présente à mon cabinet
avec une de ses amies. Elle entre seule, et avant qu’elle n’ait
prononcé un seul mot, je lui défile de but en blanc tous ses
problèmes et le motif de sa consultation: "Vous avez des
céphalées fréquentes, comme si vous portiez un chapeau trop serré,
vous êtes étourdie surtout en vous penchant, en tournant la tête trop
vite ou en vous relevant. Vos intestins fonctionnent trop lentement,
vous êtes constipée, vous avez parfois une sensation de barre sous les
côtes à droite. N’avez-vous pas déjà été traitée pour
hémorroïdes? N’avez-vous pas de petites varices? Montrez-moi votre
langue. Elle est saburrale (chargée). Montrez-moi vos mains. Elles
doivent être froides."
Tout ébahie, elle me répond: "Mais qui
vous a dit cela? Est-ce mon amie?" "Mais non madame, c’est
vous-même! Votre amie, je ne lui ai pas parlé. Est-elle ici? C’est
vous qui me l’avez révélé! Cette tache sous la paupière qu’on
appelle cholestéatome, cette cornée jaunâtre que j’ai remarquée
dès votre entrée, cette langue blanche qui a attiré mon attention
tout à l’heure... !"
DE LA ROUILLE
DANS LES TUYAUX
Mais revenons au foie. Le foie filtre cent
litres de sang et quarante litres de lymphe en une heure. Étant un
filtre, il doit contrôler la quantité de gras en circulation dans le
sang. On connaît le dépôt graisseux que laisse dans un plat un mets
trop riche en matière grasse, le "bon rôti de porc", par
exemple... Il en est de même du sang trop gras qui circule à la
température du corps (97,8º F ou 37º C) dans nos artères. Une
couche de graisse se dépose à l’intérieur des artères, telle la
rouille dans un tuyau, si bien que la lumière du vaisseau sanguin s’obstrue
graduellement au point de se bloquer: c’est l’athéromatose.
Le problème est beaucoup plus crucial au
niveau d’artères extrêmement petites au départ, par exemple au
cerveau, au cœur, aux extrémités et à tout le système glandulaire,
ce qui explique un grand déséquilibre général.
Elles irriguent des tissus hautement
spécialisés et fragiles. Les pieds froids, les mains froides dénotent
le même phénomène. Si vous changez la fournaise d’un ancien
système de chauffage à eau chaude, en croyant en améliorer le
rendement, sans noter de changement appréciable, vous feriez peut-être
mieux de vérifier la tuyauterie: elle est certainement bloquée par la
rouille. La circulation n’atteint pas vos extrémités. Une
indigestion aiguë, par exemple, masque très souvent une crise
cardiaque. Il peut se faire un spasme au niveau des artères
coronariennes, déjà diminuées dans leur débit sanguin. Il se produit
alors un blocage qu’on appelle un infarctus du myocarde (ou du muscle
cardiaque) fatal dans 50% de la première crise. Sait-on qu’un cœur
(le moteur: 5,7 litres... de sang) normal pompe dix tonnes de
sang par jour et 2.730.000 litres de sang par an? C’est sûrement
le muscle le plus actif de tout notre système: 36 millions de
pulsations par an.
COMMENT
S’INSTALLE, SELON MOI, LA MALADIE CHRONIQUE
Ceci est une version personnelle, une
explication que je n’ai trouvée dans aucun manuel de médecine. C’est
durant mes dix-huit années de Thérapie Cellulaire que m’est venue
cette façon de concevoir la maladie chronique. J’ai toujours
recherché le pourquoi des choses, des maladies.
A mes cliniques, tant qu’un traitement n’avait
pas encore été donné, il ne cessait de me hanter. Il m’est souvent
arrivé d’en changer la teneur à la dernière minute. Si on me
trouvait distrait, c’est que ma pensée ne cessait de travailler. Jour
et nuit, je cherchais, je repassais chaque cas dans ma tête. La nuit,
parfois, je me levais pour aller corriger une fiche thérapeutique,
changer un médicament, un dosage. Je n’ai jamais été une personne
aux demi-mesures.
Vous comprendrez facilement mon point de vue
en relisant mes observations sur l’intestin, le foie, la circulation.
Tout est logique.
La maladie débute habituellement par un
ralentissement d’élimination du côté intestinal provoquant un
blocage d’élimination de la bile venant du foie. Par la suite, tous
les vaisseaux sont envahis par le surplus de gras, tel que je l’explique
par le phénomène de "rouille" dans les tuyaux.
S’ensuivent alors nécessairement les
troubles circulatoires cérébraux (céphalées et migraines),
cardiaques (angine, infarctus), périphériques (acrocyanose ou
extrémités bleues), qu’il est facile et normal d’extrapoler à
tous les organes du corps humain, causant ce qu’on appelle la maladie.
Les organes et les glandes endocrines
deviennent mal irrigués, ce qui les empêche de bien jouer leurs
rôles.
C’est ma modeste contribution à la science
médicale. La dyskinésie biliaire que j’ai retracée dans la presque
totalité des maladies chroniques n’est pas seulement présente, mais
je la tiens responsable, au fond, en un certain sens, des problèmes,
des maladies qu’on dit chroniques.
La dyskinésie biliaire, mauvaise
élimination de bile, n’est pas causée uniquement par une mauvaise
alimentation. Premièrement, sous l’effet de l’anxiété, le
système nerveux amène le foie à secréter plus de bile. Ne dit-on
pas: "Ces- se de te faire de la bile." Deuxièmement, sous l’effet
du système nerveux, encore, il se fait un spasme au niveau du canal
cholédoque empêchant la bile de s’éliminer. Elle repart dans la
circulation causant les problèmes précités, en ralentissant la
circulation et l’efficacité de tout le système.
La peau
Le
phénomène de la chair de poule
Enfin, la peau est le cinquième système
émonctoire. Elle est l’organe le plus lourd du corps humain et joue
le rôle thermorégulateur d’un thermostat et d’un radiateur d’automobile.
Elle pèse quatre kg, et rejette par ses pores la sueur et certaines
toxines. Sa fonction est loin d’être négligeable. C’est la
barrière entre notre milieu extérieur et notre milieu intérieur. Elle
possède un rôle actif: Elle règle la température corporelle,
se dilatant et laissant sortir la sueur pour se refroidir lorsqu’il
fait trop chaud ou se resserrant pour garder la chaleur lorsqu’il fait
trop froid. Ce dernier phénomène vasoconstricteur (constriction des
vaisseaux) s’observe dans ce qu’on appelle la "chair de
poule".
La peau joue un rôle important dans le
métabolisme de l’eau, et joue également un rôle d’agent
anti-infectieux. Je me souviens d’avoir appliqué un traitement de
T.I.C. à une patiente souffrant d’hépatite virale (voir maladies
digestives cas # 2.) Le soir même, la patiente remarqua la très forte
coloration jaune de l’eau de son bain. La peau avait contribué
manifestement à la désintoxication. Quelques jours plus tard, les
tests sanguins révélaient une amélioration quasi incroyable qui
aurait pris normalement des semaines à se manifester et la patiente se
sentait définitivement mieux.
Le système
circulatoire
Je citerai encore, dans le grand système de
désintoxication de notre corps le système circulatoire lui-même; la
pompe: le cœur, la tuyauterie: les artères, les veines, le
réseau lymphatique et le système capillaire qui représentent 100.000
km, soit deux fois et demie le tour de la terre à l’équateur.
Sans circulation, il n’y a pas d’échanges intercellulaires, pas d’absorption
du côté digestif et les meilleurs médicaments n’ont aucun effet.
C’est une autre raison pour laquelle les
traitements de T.I.C. sont si puissants, car ils travaillent avant
tout sur la circulation pour avoir accès à toutes les zones
malades de votre corps: À toutes les glandes (hypophyse, pinéale,
thyroïde, surrénales, pancréas), à toutes les cellules, même les
plus cachées ou les plus périphériques. Il existe 60.000 milliards
de cellules dans le corps humain.
Pour assurer sa propre vie, en tant qu’unité
fonctionnelle du corps, une cellule doit se nourrir, respirer
(recevoir de l’oxygène), se débarrasser de ses déchets, se
reproduire. Quadruple rôle assuré par le sang amené au contact de
chaque cellule par le réseau capillaire. (Voir Physiologie de la
cellule page 26.)
La vie est un mouvement continuel de liquides
(le corps humain est constitué de 70% d’eau) entre les cellules et à
I’intérieur des cellules. Le seul ralentissement général du
mouvement des liquides à l’intérieur et à l’extérieur des
cellules provoque la maladie, a affirmé le Dr Salmanoff, et l'arrêt
total de ce mouvement signifie la mort.
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