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Médecine de l’Espoir 9 Cas # 1: L.P.Encanteur (commissaire priseur) de 49 ans Diagnostic: cancer de la prostate, métastases osseuses au rachis lombaire, à l’épaule gauche et au membre inférieur droit. Patient opéré pour adénocarcinome de la prostate en janvier 1974. Reçoit trente traitements de cobalt. Les douleurs vont en s’intensifiant. Il me fait venir à domicile la nuit, à plusieurs reprises, pour le calmer et me supplie une nuit, en pleurant, de lui administrer une dose létale pour en finir avec la maladie. Il m’offre même de me signer un papier pour me protéger. Je le raisonne, lui administre un calmant et le lendemain, j’appelle devant lui une bonne dizaine de spécialistes et de médecins amis pour savoir où le diriger. A cette époque, on se sentait perdu, et on l’est toujours... . Trois d’entre eux me suggèrent de l’envoyer à la Clinica Del Mar à Tijuana, au Mexique, où le Dr Contreras traite avec le fameux laetryl. Je me débrouille assez bien en espagnol. Le Dr Contreras lui fixe un rendez-vous la semaine suivante. Il part donc pour le Mexique et revient deux semaines plus tard, le sourire aux lèvres. Toutes ses douleurs ont à peu près disparu. Je lui demande tout bonnement si le Dr Contreras est jeune ou vieux. "C’est drôle, me répond-il, je ne me souviens pas de l’avoir rencontré." Ce qui s’est passé, c’est qu’à l’agence de voyage, il a rencontré un voyageur qui retournait au Mexique pour la troisième année. Il allait passer un test annuel chez son médecin. Ce dernier lui offre d’y aller avec lui. C’est ainsi qu’il se présente avec lui chez le Dr Donato Pérez, à Mexico City, au lieu d’aller chez le Dr Contreras à Tijuana. Et c’est ainsi également que j’ai appris l’existence de cette thérapie en 1976. "Combien as-tu reçu de traitements", lui demandai-je? "Un grand hebdomadaire suivi de cinq petits, chaque jour durant deux semaines." "C’est sûrement une découverte nouvelle de la médecine." "Il m’a fait énormément de bien et je retourne à Mexico dans dix jours pour continuer mes traitements!" "Très bien, lui dis-je, j’y vais avec toi." Deux semaines plus tard, je prends l’avion avec lui pour faire la lumière sur cette thérapie, découvrir cette médecine et savoir qui peut bien être ce médecin ou ce découvreur.
Cas # 2: F.L. (janvier 1978) Comptable de 59 ans Diagnostic: néoplasie (cancer) pulmonaire terminal. Lorsque mon ami Jacques C., que j’avais perdu de vue depuis dix ans, me demanda de venir examiner sa sœur atteinte d’un cancer du poumon en phase terminale, je ne m’attendais pas à trouver une patiente dans un état si pitoyable, si détérioré. Une mauvaise pneumonie à l’été, des radiographies égarées, et cinq mois plus tard par un autre médecin, le diagnostic fatal qui ne pardonne pas: un cancer pulmonaire trop près du médiastin (région située entre les deux poumons) pour être opérable, avec métastases osseuses. Plus que quelques semaines à vivre, 14 traitements de cobalt à recevoir (transports en ambulance à l’Institut), jusqu’à ce qu’on dise finalement à la patiente de bien vouloir aller mourir chez elle. "Nous, on traite ceux qu’on peut encore traiter". Puis: "Quand vous aurez trop de mal, on vous mettra à la codéine, à la morphine ou au cocktail". Elle en était à ce stade. Alitée depuis cinq semaines, recroquevillée sur son mal et sur son sort, incapable d’avaler, de boire et de parler, elle était devenue aphone (perte de la voix) par atteinte du nerf récurrent et souffrait de douleurs atroces à tout le membre inférieur droit ainsi qu’au membre supérieur gauche. Je dus me pencher très près d’elle pour entendre ce qu’elle murmurait. Elle savait qu’elle n’avait plus que quelques semaines à vivre. On le lui avait dit. Elle était dans un état de prostration, presque de stupeur. Elle ne demandait plus au Bon Dieu que de venir la chercher, et à moi de l’aider à ne pas trop souffrir. Elle se savait perdue et faisait horriblement triste à voir. Après un examen rapide et un minimum de questions essentielles, de peur de ne trop la fatiguer, je lui expliquai que je ne pouvais pas la sauver moi non plus. Mais si elle acceptait que je l’aide avec ma thérapie, j’adoucirais le peu de jours qu’il lui restait à vivre. Elle accepta. Elle avait été prise au dépourvu. Elle n’avait pas eu le temps de voir à ses propres affaires, elle qui occupait un poste de confiance dans une des plus grandes entreprises financières du Québec. D’un faible acquiescement de la tête, elle accepta notre pacte, me serra la main avec un pauvre sourire et avec le peu d’énergie qu’il lui restait encore. Je la fis transporter le lendemain matin en ambulance et je m’en suis occupé le jour même. Soulignons qu’en passant à Sainte-Agathe, je la fis examiner par deux pneumologues de grand renom, les Dr Agop Karagos et Albert Joannette de l’Hôpital Laurentien qui confirmèrent le triste diagnostic et le terrible pronostic. Il était important pour elle et pour moi qu’elle subisse ce dernier examen qui risquait d’être épuisant dans l’état où elle se trouvait. On le fit avec beaucoup d’égards et de ménagement. Je n’ai pu sauver ni guérir cette patiente et je l’en avais prévenue. Aucune thérapie connue au monde n’aurait pu le faire, au moment où je l’ai prise en mains. Mais il y a eu une amélioration extraordinaire de son état à tel point que le troisième jour, la patiente se levait d’elle-même, marchait sans aide, avait recommencé à s’alimenter et avait retrouvé la voix. Notons que ses douleurs avaient disparues à 85 ou 90% le troisième jour, selon sa propre évaluation et sans avoir reçu ni morphine, ni codéine, ni même aspirine. Bientôt elle put se rendre en marchant de sa chambre à la salle à dîner du motel et prendre des marches au grand air quelques minutes chaque jour au bras de sa sœur. Le dix-septième jour, quand je lui permis de retourner chez elle, elle avait gagné un peu plus de trois kilos, s’alimentait bien, n’avait plus aucune douleur à la jambe droite ni au bras gauche. Sa voix était redevenue normale. Avec beaucoup de douceur, et non sans un serrement au cœur, je lui recommandai de bien profiter des derniers jours que le ciel lui donnait, de les vivre pleinement et de se préparer consciemment au grand départ... . Je la reverrais dans une semaine. Le jour de son départ, je reçois du Dr Agop Karagos un appel que je ne suis pas prêt d’oublier. Ma patiente vient d’arriver sur ses deux jambes à l’hôpital Laurentien de Sainte-Agathe pour une radio de contrôle: les médecins sont stupéfaits par les résultats, par l’amélioration physique incontestable et par la diminution évidente de la tumeur confirmée par la radiographie. Point n’est besoin de mesurer pour constater la diminution de la tumeur. C’est à ce moment que le Dr Karagos me fit une remarque très judicieuse et riche de pronostic pour le pneumologue qui voudrait bien en tirer profit: "Si la T.I.C. était appliquée couramment dans les cas de cancer du poumon, une foule de cas non opérables deviendraient opérables, et, de toute façon, l’opération se ferait dans des conditions beaucoup plus favorables pour le malade." J’ai revu la patiente une dizaine de jours plus tard et je lui ai donné un second traitement, le dernier. Puis, je lui donnai son congé final en la rassurant de mon mieux... . Elle est décédée quelques semaines plus tard. On n’a utilisé la morphine que dans les trente dernières heures de sa maladie. En gratitude, la famille a créé un fonds de recherches pour la T.I.C. Est-ce qu’un médecin ou un législateur peut rester insensible à la lecture d’un tel témoignage?
Cas # 3: M.C. (novembre 1977) Ménagère de 63 ans Diagnostic: ostéosarcome (cancer osseux) du sternum secondaire à mélanome choroïdien (cancer de l’œil) et métastase au foie. Patiente opérée pour mélanome choroïdien (tumeur maligne rétro-oculaire). Énucléation de l’œil droit en novembre 1970. Ablation du globe oculaire, en juillet 1971. Six ans plus tard, en novembre 1977, on découvre des métastases au foie et au sternum. On avertit la famille que la patiente ne passera probablement pas Noël 1977. La patiente ne reçoit que le premier d’une série de traitements en médecine nucléaire et se présente à mon bureau, le 28 novembre 1977, optant pour la T.l.C., car elle n’a rien à perdre. Les traitements débutent le jour même. Dans les huit à dix jours qui suivent, la douleur au foie disparaît, les nausées cessent, la circulation s’améliore de façon remarquable, les douleurs osseuses aux mains, aux genoux, aux épaules disparaissent totalement, ainsi que les douleurs lancinantes qu’elle avait au sternum. L’appétit revient, le moral s’en ressent. La patiente peut faire de longues marches et se rendre à pied à mon bureau, sans fatigue. Le jour de son congé, le 21 décembre, je filme la patiente au magnétoscope. J’en profite pour mesurer, devant la caméra, la tumeur sternale qui a diminué de 5 x 5 cm à 3 x 3 cm en trois semaines. Le 14 février 1978, après une nouvelle série de traitements, l’état de la patiente s’améliore encore. Le jour de son congé, je l’informe qu’elle n’est pas guérie et que le traitement n’a été que palliatif, malgré l’amélioration évidente. En juin 1978, le Collège s’informe auprès de la famille s’il y a eu amélioration avec mes traitements et si la masse a été modifiée. Le mari m’envoie copie de sa réponse au Collège des Médecins où il reconnaît "ma grande franchise et mon honnêteté." Il reconnaît également que son épouse souffre beaucoup moins qu’avant, que la masse a diminué mais "comme ces traitements ont été interrompus, le volume de cette masse est demeuré inchangé". Il demande au Collège la faveur de me donner la permission de continuer mes traitements à son épouse, car actuellement, les seules douleurs qu'elle ressent sont au foie et ont presque disparues au thorax. Nous nous sommes demandés pourquoi le Collège n’a jamais donné suite à sa requête... . Le 29 septembre 1978, après une journée et demie d’hospitalisation et presque sans douleur, la patiente s’éteint tout doucement et demeure consciente jusqu’à la fin. Je reçois une lettre touchante de la famille me remerciant d’avoir adouci et prolongé d’environ neuf mois les derniers jours de leur malade.
Cas # 4: M.-A.P. Ménagère de 39 ans Diagnostic: adénocarcinome du sein. Depuis trois ans, la patiente passait des mammographies dont les résultats s’avéraient toujours négatifs. La troisième année, elle s’impatiente: "Comment se fait-il que vous ne trouviez rien? J’ai une petite bosse au sein qui grossit et qui fait mal. Ne pouvez-vous pas faire autre chose?" "On peut faire une biopsie". "Mais pourquoi n’y avez vous pas pensé plus tôt?" Au lendemain de la biopsie, en août 1978, on lui téléphone en urgence. Elle a un cancer. Il faut enlever le sein. Elle refuse. "Vous ne me mutilerez pas". On suggère la radiothérapie. Elle refuse. "Vous ne me brûlerez pas". Après discussion, elle accepte une ovariectomie bilatérale--on croyait alors qu’il s’agissait d’un cancer hormono dépendent--puis un premier traitement de chimiothérapie. Elle est si malade qu’elle croit en mourir. Stoïquement, elle accepte la mort et refuse tout autre traitement subséquent de chimiothérapie. Sept mois plus tard, le 5 avril 1979, elle se présente à mon bureau et me supplie de la traiter par la T.I.C. pour faire au moins disparaître la douleur. Elle est consciente qu’il est trop tard pour la sauver. A ce moment-là, la tumeur mesure 20 x 20 cm (soit 8 x 8 po) en prenant les contours à la verticale et à l’horizontale. On note également la présence de onze ganglions métastatiques: trois cervicaux très douloureux, six supra-claviculaires (au-dessus de la clavicule), et deux axillaires (à l’aisselle) dont l’un mesure 5 x 5 cm. Les traitements de T.I.C. commencent le 5 avril 1979. Le 29 juin 1979, des onze ganglions notés le 5 avril, un seul persiste à la région axillaire, mesurant 1 x 1 cm au lieu de 5 x 5 cm. La masse tumorale est diminuée à 7 x 7.5 cm de 20 x 20 cm qu’elle était le 5 avril 1979. La patiente ayant perdu tous ses cheveux à la suite de son seul et unique traitement de chimiothérapie en septembre, les voit repousser et doit les faire couper trois fois; elle n’a plus besoin de porter une perruque. Cette patiente est décédée en novembre 1979. Elle a dû être hospitalisée plusieurs semaines à la phase terminale. On peut affirmer que la T.I.C. l’a vraiment soulagée. C’est ce qu’elle avait demandé. Extrait d'une lettre écrite de sa main à un bienfaiteur dont elle ignorait même le nom, à qui j’ai remis personnellement la lettre, et qui avait payé ses traitements: "Je me sens gâtée, ici en Haïti, mais même si le docteur ne m’a jamais promis 1% de guérison, je suis tout étonnée de voir que les trois ganglions au cou, les six au-dessus de la clavicule et les deux à l’aisselle, dont l’un était plus gros qu’une prune, ont totalement disparu. Mes cheveux qui étaient tous tombés à la suite de mon unique traitement de chimiothérapie (sic) en septembre dernier ont repoussé de plus de 4 cm en deux mois et la masse cancéreuse que j’ai au sein droit, qui était de 20 cm (sic), n’est plus que de sept centimètres... . Je vous remercie de tout cœur d’avoir aidé sans la connaître une personne qui maintenant vous est reconnaissante... . Sincèrement. M.-A.P.
Cas # 5: I.0. Restaurateur de 53 ans Diagnostic: adénocarcinome de la prostate. Patient porteur d’un adénocarcinome (cancer) de la prostate, confirmé par deux biopsies faites dans un hôpital de Montréal. Après résection trans-urétrale (à travers la verge), une troisième biopsie est faite un mois et demi plus tard dans un autre hôpital et confirme la persistance de cancer. A la suite d’examens complémentaires, dans une autre clinique du cancer à Montréal, le patient refuse la radiothérapie. Il opte pour la T.1.C. et débute son traitement. L’année suivante, le patient retourne voir ses spécialistes, urologue et cancérologue. Les biopsies faites sur ce même patient dans deux hôpitaux différents de Montréal révèlent l’absence de tout tissu néoplasique (cancéreux). Rejoint en décembre 1994, ce patient continuait à bien se porter après 15 ans.
Cas # 6: H.P.L. Entrepreneur électricien de 50 ans Diagnostic: néoplasie pulmonaire. A l'occasion d’une chute en bas d’une échelle, la radiographie révèle la présence de deux tumeurs cancéreuses au poumon gauche, confirmées par biopsie. "Il ne vous reste que trois mois à vivre". On le réfère au centre hospitalier le plus proche qui confirme le diagnostic. Le patient refuse la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie conventionnelles et décide de venir se faire traiter en Haïti par T.l.C. Cinq semaines après son retour, il retourne chez son médecin de famille: radiographies négatives. Il n’y a plus aucune trace des deux tumeurs. De là, on l’envoie au centre hospitalier de "X" où, durant quatre ans, il se présente chaque mois, puis aux trois et six mois et enfin une fois par année. Après quatre années consécutives, il s’entend dire: "Nous sommes fiers des résultats que nous avons obtenus! Vous êtes complètement guéri!" Et le patient: "Comment cela... que vous avez obtenus?" "Eh bien! Vous êtes allé à la clinique où on vous a référé?" "Jamais de la vie! Je me suis fait traiter par le Dr Paquette, en Haïti, par la T.I.C." Pour toute réponse: "Tstt ! Tstt! N’allez jamais ébruiter cela!" Cela se passait en 1988. J’ai les enregistrements sur vidéo-cassettes et sur bande sonore.
Cas # 7: F.V. Ménagère dans la cinquantaine. Diagnostic: cancer d’estomac inopérable. Cette patiente n’a jamais été traitée par la T.I.C., et vous verrez pourquoi. J’aurais pu intituler cet article: "For us, the size of the tumor, that's the only important thing!" C’est samedi soir. Le Dr Donato Pérez de Mexico descend d’avion et vient à peine d’entrer chez-moi, au Lac Gravel, lorsque le téléphone sonne c'est un médecin, ami de l’une des familles les plus en vue du Canada, qui veut nous envoyer chercher en hélicoptère, le soir même, le Dr Pérez et moi. Une personne de la famille, atteinte d’un cancer inopérable, est hospitalisée dans un des hôpitaux les plus importants de Montréal. On a fait venir des États-Unis "le plus célèbre oncologiste" d’Amérique du Nord. Lui-même ne peut plus rien et la famille veut tout tenter pour la sauver. Ils ont entendu parler de la Thérapie Cellulaire Donatienne et rejoignent le Dr Pérez chez-moi. Donato est épuisé. Nous savons qu’il faudra plusieurs heures pour étudier le cas, examiner la malade, l’évaluer correctement, consulter les dossiers, penser le traitement, rassembler tout le matériel nécessaire y compris les médicaments. Avec beaucoup de professionnalisme, le Dr Pérez convient de s’y rendre le lundi suivant. Il veut que je l’accompagne. Il est important de prendre à deux les décisions qui s’imposent. "Tu es le pionnier de la Thérapie Cellulaire au Canada. Tu es le seul à pratiquer cette thérapie au monde avec moi. C’est donc à toi de l’appliquer ici, au Canada. Je serai ton consultant". Il s’agissait d’un cas de cancer d’estomac diagnostiqué cinq mois plus tôt au même hôpital, avec un pronostic de survie de cinq à six mois. Comme il n’était pas question de chirurgie, la patiente avait reçu quatre séries de traitements de chimiothérapie conventionnelle. Le médecin traitant recommandait l’arrêt de tout traitement ultra-spécialisé, c’est-à-dire radiothérapie ou chimiothérapie. Le 16 septembre, dans le dossier imposant de la patiente (30 cm... !) On lisait: "Il est évident ici qu’on a dépassé toute chance de cure et même de palliation. Il n’y a aucune indication d’alimentation totale parentérale. Ce serait là de "l’over-treatment." "Par ailleurs, la patiente n’est pas souffrante actuellement". Nous le comprenons bien, le Dr Pérez et moi: c’est à cause de la morphine à très haute dose et des somnifères! Et plus loin: "Je pense donc qu’il faut lui laisser le choix de terminer ses jours à sa guise et le plus confortablement possible". Nous aurions vraiment voulu aider cette malade et nous croyions le pouvoir. Elle faisait pitié à voir. Son regard sympathique reflétait beaucoup de bonté. Elle acceptait déjà passivement la mort qui l’attendait. Nous avons respecté l’état d’asthénie (faiblesse) intense dans lequel elle se trouvait à cause de sa maladie, bien sûr, mais aussi à cause de la chimio, de la morphine et des autres calmants. Nous avons fait le questionnaire de façon à ne pas trop la fatiguer ni de l’importuner. Nous avons constaté un état d’intoxication avancé qui se manifestait par un foie hypertrophié, des troubles circulatoires évidents, un œdème important surtout au bras gauche, de l’ascite, de l'acrocyanose (extrémités froides), de la pâleur, un teint ictérique (jaune), de la dyspnée (essoufflement) intense, des palpitations, un pouls accéléré, une asthénie extrême. Malgré ce tableau lugubre, dans lequel la Thérapie Cellulaire excelle, nous étions tous les deux convaincus, de par nos expériences respectives que nous pouvions encore l’aider, c’est-à-dire améliorer son état général, éliminer ses douleurs sans narcotique, diminuer sa dyspnée, son œdème, (N.B.: voir migraines et céphalées, cas # 10) et quand viendrait l’heure, lui permettre une mort plus douce, plus digne, plus humaine, plus consciente. Elle était prête à accepter le traitement que nous lui offrions, pour l’améliorer et la soulager, mais par respect pour le "célèbre" oncologiste que la famille avait fait venir spécialement et "qui avait été si bon pour elle", disait-elle, elle ne voulait pas accepter sans qu’il ne fût d’accord. Nous savions bien qu’il était trop tard pour la sauver. J’ai gardé au dossier le message de l’hôpital X. "Pour Dr mexicain: Dr Z. ne pourra pas vous voir ce jour, mais demain entre 10 et 11 h", façon cavalière de se donner de l’importance et d’afficher dès le départ ses préjugés, malgré l’extrême urgence du cas. Nous avons attendu l’honneur de l’entretien le lendemain matin. Sans même l’aumône d’un regard le Dr Z. nous reçut d’une façon très hautaine et peu courtoise. Nous étions abasourdis. Inébranlable, il ne voulait rien écouter de ce que nous lui disions, le Dr Pérez et moi, nous pressant impoliment d’en finir au plus vite afin de rendre son verdict de maître à penser sans même nous avoir entendus. Jetant un coup d’œil furtif à la fiche thérapeutique préparée par le Dr Pérez et moi-même, et à laquelle il ne comprenait rien, il nous demanda pourquoi nous n’utilisions pas un médicament de chimio qu’il connaissait, lui. Nous eûmes à peine le temps de lui expliquer que c’était exactement là le principe de base de notre thérapie que d’utiliser en synergie--(travail associé de deux médicaments ou plus pour obtenir un résultat)--plusieurs médicaments à la fois à des doses réduites, grâce à l’insuline pour attaquer l’organisme de toutes parts. Selon sa formation d’oncologiste, disait-il, et d’après son expérience, seul le volume de la tumeur importait et non pas l’amélioration de l’état général de la patiente. Il aurait voulu qu’on utilise un seul anti-néoplasique (médicament contre le cancer) pour tout traitement. Nous nous sentions incapables de réduire la médication à deux ou trois médicaments pour lui faire plaisir et tenter d’obtenir les mêmes résultats que nous espérions et que nous connaissions. Nous ne voulions pas faire une expérience sur cette malade, mais la faire profiter de notre expérience. Le Dr Pérez demanda alors au Dr Z. s’il était conscient de l’état d’intoxication de sa patiente, et pourquoi, le sachant, il avait continué de lui donner de la chimio, de la morphine et de la cortisone à si hautes doses? Cette question embêtante ne reçut qu’une ébauche de réponse évasive. L’oncologiste demanda au Dr Pérez comment il évaluait le résultat du traitement. Ce dernier répondit: "par un nouvel examen physique, par le questionnaire, par la diminution ou l’amélioration des symptômes, à tous les plans: digestif, respiratoire, circulatoire, génito-urinaire, nerveux, par la diminution et la palpation de la tumeur s’il y a lieu, par l’évaluation de la douleur, par les tests de laboratoire, par les radiographies tel que la médecine nous l’enseigne." Le célèbre oncologiste ne voulant rien savoir déclara solennellement, en maître à penser: "Ça n’a aucune valeur pour nous. Nous ne traitons pas de cette façon là. C’est impossible de croire que la tumeur puisse ainsi diminuer. Ce n’est pas suffisant pour donner un jugement de valeur à ce genre de traitement." (Voir cancer, cas # 2, 3, 4 et 6.) Ce fut la fin de l’entretien. Il termina en disant: "Anyway, I will not interfere with you", ce qui veut dire: je ne m’opposerai pas au traitement. Par contre... on nous avisa le lendemain que la patiente ne prendrait pas le traitement, ne voulant pas déplaire à son oncologiste et se sentant déjà prise dans l’engrenage médical.
Cas # 8: S.L-C. Ménagère de 48 ans Diagnostic: cancer du côlon Patiente hospitalisée à l’hôpital de Hanover, N.H., U.S.A. Opérée pour cancer résection intestinale de 20 po (50 cm) et colostomie (anus artificiel). Elle a perdu 55 lb. (25 kg) et les médecins lui disent qu’elle n’a plus que cinq à six mois de survie. Son mari, entrepreneur forestier, lui non plus, n’accepte pas le verdict. A Miami, ils ont entendu parler de ma clinique et viennent me consulter en Haïti. Je la prends en charge. Après quatre ans, elle a repris son poids initial, elle est florissante de santé. Tous ses examens sont négatifs. Je l’envoie à son chirurgien qu’elle n’a pas revu depuis son opération. Il lui fait subir les tests les plus poussés de l’heure et lui déclare: "Simone, vous êtes complètement guérie, mais ce n’est pas moi qui vous ai guérie, c’est votre médecin en Haïti". Il l’hospitalise, "défait sa colostomie", ré-anastomose (reconnecte) son intestin. J’ai revu la patiente après neuf ans, en 1993. Elle est très heureuse et remercie Dieu de me l’avoir dirigée. Malgré ces résultats extraordinaires, je ne prétends pas l’avoir guérie, sinon cliniquement. Aucun médecin ne guérit rien, nous ne sommes que des instruments entre les mains de Dieu, ne l’oublions jamais.
Cas # 9: F.G. Employée de caisse de 23 ans Diagnostic: cancer vulvaire, cancer ganglionnaire métastatique. Les médecins lui prédisent six mois à vivre. Traitée dès le début par la T.I.C. en Haïti. Au retour, biopsies ganglionnaires dans deux hôpitaux importants de Montréal qui lui confirment par la suite qu’il ne subsiste plus de cancer. Patiente toujours bien portante en 1995, bientôt dix-sept ans après les seuls traitements qu’elle a reçus en Haïti.
POURQUOI J’AI DÉCIDÉ DE TRAITER CES CAS Jetons un dernier regard d’ensemble sur ces quelques cas que je viens de vous présenter brièvement. Je les ai choisis dans divers ordres de maladies de façon à vous faire comprendre la pluralité d’action de cette thérapie. Un esprit honnête est obligé de la reconnaître. Un fait indéniable nous saute aux yeux: tous ces patients présentaient des troubles chroniques rebelles pour lesquels ils avaient consulté de nombreux médecins et spécialistes, dans nos hôpitaux réputés et même à l’étranger. Aucun patient n’était satisfait des résultats obtenus ou n’était suffisamment débarrassé de ses troubles puisqu’il a eu recours à moi. En T.I.C., je me suis occupé de ces cas que la médecine abandonne ou qu’elle néglige et laisse à leur sort. J’ai voulu les aider parce que c’est la seule raison d’exister d’un médecin et que j’ai toujours voulu être un vrai médecin. J’ai tenté par tous les moyens d’aider mes malades à travers les nouvelles connaissances que j’ai acquises et que j’ai toujours cherché à élargir et à approfondir. Je puis déclarer que je n’ai jamais appliqué un traitement sans avoir la certitude, du moins morale, de pouvoir aider un patient, d’obtenir des résultats positifs en m’appuyant sur mes connaissances médicales, sur mon expérience et sur la connaissance de cas vécus. Ces traitements n’ont jamais mis la vie de quiconque en danger. Plusieurs meurent dans les hôpitaux à la suite de traitements souvent discutables, rarement discutés, et qui demeurent le plus souvent voilés. Plusieurs patients ne peuvent supporter des interventions chirurgicales même bénignes et y laissent leur peau. Plusieurs également restent "hypothéqués" le reste de leurs jours. L’honnêteté scientifique devrait nous inciter à reconnaître la véracité de cette constatation. N.B.: Diviser ces nombres par dix pour le Canada. EXTRAIT DU BULLETIN DE LA CORPORATION PROFESSIONNELLE
DES MÉDECINS DU QUÉBEC
"Près de 2 millions d’interventions chirurgicales superflues ont été pratiquées en 1977 aux États-Unis, coûtant quelque 4 milliards de dollars à la communauté et causant la mort de plus de 10.000 patients," rapporte une sous-commission spécialisée de la chambre des Représentants à Washington (AFP).
a) Tous les cas cités sont chroniques, sauf les deux cas d’hépatite virale. b) Les traitements ont été acceptés librement et de plein gré, sachant que rien n’était promis. On ne garantit rien, pas plus qu’on ne peut le faire en médecine conventionnelle. Les patients n’avaient rien à perdre, aucun risque à courir, et de toute façon, il n’y avait plus rien à espérer dans la plupart des cas. c) Aucun cas n’a été déclaré guéri si ce n’est cliniquement, et les patients le savent, même si cela fait 18 ans chez certains qu’il n’y a plus signe de maladie. On demeure toujours un candidat aux mêmes maladies à cause de nos diathèses familiales, de notre régime de vie, de notre passé, de notre état général, de nos habitudes alimentaires, de notre mode de penser, de notre manque de volonté. Plusieurs patients n’en ont plus souffert et ont pu fonctionner et reprendre leurs activités. N’est-ce pas le premier but de la médecine? d) L’amélioration a été non seulement très rapide, parfois de l’ordre de 24 ou 48 heures, mais elle s’est prolongée tant que le patient n’est pas retombé dans les mêmes erreurs (régime de vie, habitudes alimentaires, état psychologique) qui ont provoqué les mêmes problèmes. e) L’amélioration s’est manifestée de façon tangible dans chaque cas: • par les examens de contrôle: questionnaire et observations que j’appelle "profils" de 24, 48 heures, 1, 2 semaines, etc. . • par la disparition partielle ou complète des symptômes subjectifs ou objectifs particuliers à chaque maladie. • par les examens de labo, les radiographies, les consultations au besoin. f) Un fait intéressant attire notre attention: Lors de l’administration de ces traitements, nous n’avons noté:
ET CECI MALGRÉ:
g) L’élimination des effets secondaires apportés par les médicaments utilisés avant les traitements de T.I.C. tels que: sels d’or, cortisone, codéine, anti-inflammatoires, chimiothérapie conventionnelle, etc. et/ou durant le traitement. h) Les traitements ne sont absolument pas traumatisants comparativement à la chirurgie, à la neuro-chirurgie, à la radiothérapie, à la chimiothérapie conventionnelle, aux anesthésies générales. C’est ce qui en fait, pour qui le veut, une médecine douce. Il y a des opérations excessivement dangereuses et délicates qui mettent parfois la vie du patient en danger et qui, souvent, ne règlent même pas les problèmes. Les chirurgiens en sont conscients. Honnêtement, ils hésitent parfois longuement avant de se décider à intervenir par crainte de séquelles irréversibles ou même de décès durant l’intervention. i) La T.I.C. a pu être appliquée chez des patients ayant déjà fait des infarctus et porteurs d’ischémie lésions ou ayant subit un pontage aortique sans mettre leur vie en danger, ce qui prouve la grande marge de sécurité dans laquelle nous travaillons. (Voir maladies circulatoires, cas # 4: chez ce patient, la chirurgie cardiaque a pu être annulée et voir maladies circulatoires, cas # 6.) Je l’ai appliquée à un enfant de cinq ans, ainsi qu’à un vieillard de 87 ans, mon père, Albiny Paquette médecin lui-même et ancien Ministre de la Santé du Québec. Il était au courant et d’accord avec cette forme de médecine. j) Il y a eu amélioration incontestable dans des cas désespérés et dans des cas où la médecine spécialisée avait échoué, s’était avouée Impuissante ou avait démissionné. (Voir maladies neurologiques, cas # 2 et cancer, cas # 1.) k) Dans les cas de céphalées ou de migraines, la douleur a disparu sans aspirine, sans codéine et sans morphine. l) N’est-il pas éminemment surprenant d’avoir pu guérir ou faire disparaître complètement des problèmes chirurgicaux par des traitements purement médicaux de T.I.C.: Cinq cas d’hernies discales, voir maladies neurologiques, cas # 3, 4, 5, 7 & 8, Deux cas d’endarterite oblitérante, voir maladies circulatoires, cas # 1 & 2, Un cas de masse hémorroïdaire, voir maladies circulatoires, cas # 3. Le Dr Michael Lévi, fellow en chirurgie, ne nous a pas caché son admiration devant ce dernier cas. Nous avons obtenu une correction clinique dans cinq cas d’hernie discale, dont la mienne. Il est difficile de croire que les dysfonctionnements mécanique et neuro-mécanique associés aient pu être corrigés, alors qu’ils auraient normalement dû continuer à imposer des contraintes aux disques. Les faits sont là! Je demande à ceux qui peuvent éclairer ma lanterne de m’en fournir l’explication scientifique. m) Grâce à l’amélioration de la circulation sanguine force de frappe de la T.I.C., on note fréquemment la disparition de l’acrocyanose (extrémités froides), des étourdissements, des céphalées (circulation cérébrale), des engourdissements, des crampes musculaires, de la claudication intermittente (circulation périphérique), des précordialgies (circulation coronaire ou cardiaque), la disparition de l’œdème cardio-rénal, le retour à la normale d’une hypertension (voir maladies circulatoires, cas # 2). Il n’est pas rare de constater une peau plus colorée, moins grasse ou moins sèche, un meilleur teint, une cornée moins jaune, la disparition d’acné, une repousse des phanères et des cheveux, des cheveux moins secs ou moins gras selon le cas, une tendance à une meilleure cicatrisation, et de vieilles cicatrices devenir moins apparent qu’avant les traitements. On note, à l’occasion une recrudescence de l’activité sexuelle. n) L’attitude mentale de ces patients s’est améliorée de façon notoire parce qu’ils ont cessé d’avoir des effets secondaires aux médicaments qu’ils n’ont plus été obligés de prendre. Ils ont cessé de souffrir, d’être dépendants de ces médicaments, des nébuliseurs, de l’oxygène, de l’inhalothérapie, des vaccins, des injections, des ambulances, des courses hâtives aux salles d’urgence, des heures angoissantes d’attente, des rendez-vous pris et remis. Combien avaient perdu tout espoir? Ils ont été déconcentrés de leur maladie. o) La T.I.C. permet une économie de temps et d’argent en éliminant les médicaments de plus en plus coûteux aux effets secondaires souvent néfastes et dangereux, les consultations et les hospitalisations, même si elles sont couvertes par l’Assurance-Maladie. N.B.: Il y a des exceptions. Un nouveau médicament pour le cancer de la prostate ne coûte que la modique somme approximative de $ 350,00 par injection... sans en connaître encore la portée, ni les effets secondaires à long terme... . Plusieurs n’ont plus eu à s’absenter de leur travail par maladie ou ont pu retourner au travail. Quelques-uns ont repris le tennis, le ski, la natation, etc. Leur organisme a réalisé une économie d’énergie pour combattre les effets secondaires des médicaments jusqu’alors utilisés. Tout cela représente, avec les mois et les années, une petite fortune et un bilan de santé impressionnant. p) Allergies cutanées et respiratoires: Les tests d’allergie ont apporté évidemment une précision au diagnostic étiologique. Quant à la valeur thérapeutique des vaccins, elle pourrait être mise en doute parce que, dans les cas présentés, tous les patients qui en recevaient consultaient justement parce qu’ils n’avaient pas obtenu l’amélioration souhaitée. Dans tous les cas, aucun vaccin n’a plus jamais été nécessaire. Ces tests représentent une perte incroyable de temps et d’argent. q) Des conditions associées aux diagnostics principaux ont été traitées en même temps par cette thérapie qui profite du moment thérapeutique pour traiter tout l’être à la fois. C’est une autre force de cette thérapie. r) Ce n’est pas un traitement miracle, loin de là. Il y a eu des rechutes dans certains cas. Quelques-uns uns n’ont pas répondu de façon satisfaisante au traitement. Personne ne réagit de la même façon à un médicament ou à un traitement. Des cas de cancer trop avancés sont venus trop tard me consulter, c’était leur destin. Il y a des impondérables. Il y a surtout des patients qui trichent, qui ne font pas ce qu’on leur recommande et qui n’osent pas l’avouer. Plusieurs n’ont pas reçu suffisamment de traitements pour maîtriser parfaitement, et en si peu de temps des conditions qu’ils ont mis des années à élaborer, mais ils ont tous été améliorés. s) Les patients ont quitté la clinique avec un régime de vie à suivre, une diète équilibrée et hypotoxique à laquelle on les a initiés et avec très peu de médicaments à prendre. Une dame de Montréal qui prenait quarante et un comprimés par jour avant la cure a pu réduire sa dose journalière à trois comprimés. Elle se porte très bien. Dans toute question de santé, la participation du patient, le premier intéressé, est essentielle. Quand le médecin termine son rôle, c’est au patient de commencer à jouer vraiment le sien. t) Sclérose en plaques: (voir maladies neurologiques, cas # 1). Les résultats portent également à réflexion. N’y aurait-il qu'un cas sur mille de réussite que cela vaudrait encore la peine d’essayer et d’y jeter au moins les yeux! Ce cas de sclérose en plaques que j’ai traité avec succès avec la T.I.C., fut une première mondiale. u) Hémiplégie consécutive à une hémorragie cérébrale. C'est encore le sixième sens du médecin qui m’a porté à essayer un traitement alors que toutes les chances semblaient contre moi. Je sentais d’avance que ça allait marcher! (Voir maladies neurologiques, cas # 2, 6 et 9.) v) Cas de sida. J’ai traité en Haïti un cas de sida que m’avait dirigé une secte religieuse des États-Unis. J’ai prolongé mon séjour en Haïti pour le traiter par la T.I.C. Le diagnostic m’a été confirmé par téléphone à son hôpital de Boston. Trois mois plus tard, on disait à mon patient qu’il s’agissait probablement d’un cas de pré-sida, et qu’il n’avait plus rien... Cette réponse m’a démoralisé, peut-être à tort... . J’ai refusé de traiter d’autres cas. Personne au monde, aucun médecin, homéopathe, acupuncteur, masseur, thérapeute, chiropraticien, ostéopathe, guérisseur ou autre, ne guérit quoi que ce soit. L’être humain, avec ses 60.000 milliards de cellules, possède en lui l’énergie vitale, ce souffle divin qui préside à la vie sur terre et voit au fonctionnement harmonieux de toutes les cellules du corps humain. Quand l’harmonie est perturbée, c’est là qu’apparaissent les problèmes, les maladies. Nous qui traitons, ne sommes là que pour aider le patient à se prendre en mains, à lui faire prendre conscience, à lui montrer la voie à suivre et lui fournir les instruments dont il a besoin pour retrouver l’équilibre, la santé. Le médecin qui suture une plaie, le chirurgien qui fait une laparatomie, voient se refermer une coupure, un abdomen. Ils assistent bien impuissants au travail merveilleux de la nature.
Nous ne sommes que des instruments entre les mains de Dieu. Nous ne sommes que des pions bien prétentieux sur le grand échiquier de la vie. Quand un patient guérit (cliniquement), ce n’est pas par nous, mais à travers nous. Il en est ainsi de la loupe avec laquelle on peut allumer un feu. Ce n’est pas la loupe qui met le feu, mais l’énergie solaire qui la traverse et dont elle fait converger les rayons.
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