HOME
 

Please also visit GetIPT.com

Site outline:
Choosing IPT
Find a Doctor
IPT Training
-
About IPT
Cancer
Other Diseases
Doctors Listing
Patient Stories
Patients Home
Articles & pubs
Books
Action!
-
News
Search
Site Index
-
About Us
Links
Tell a Friend

This level:  
Up
me01
me02
me03
me04
me05
me06
me07
me08
me09
me10
me11 - Lexique

 

Subpages:


   

 

Up ] me01 ] [ me02 ] me03 ] me04 ] me05 ] me06 ] me07 ] me08 ] me09 ] me10 ] me11 - Lexique ]

Read "Medicine of Hope" in English translation.

Pour acheter un exemplaire de l'édition originale (limitée) de ce livre, adresser un e-mail à Mr Normand Paquette: paquettenormand@hotmail.com

To buy this book in the original French limited edition, e-mail to 
Mr. Normand Paquette: paquettenormand@hotmail.com 

 

Médecine de l’Espoir 2

L’HISTOIRE D’UN MÉDECIN DE FERME-NEUVE

 

C.B.C. NEWS

Le 30 décembre 1977, la Canadian Broadcasting Corporation d’Ottawa présenta sur le réseau national de télévision: "The Story of a Doctor in Ferme-Neuve". Cette émission télévisée de Jocelyne Soulodre eut un impact partout au Canada.

Les faits ont été présentés de façon impartiale, présentant un patient souffrant d’asthme et d’emphysème et un autre d’arthrite rhumatoïde qui, tous deux, après avoir été soignés et avoir consulté auparavant plusieurs médecins et spécialistes, se dirent émerveillés des résultats obtenus par la Thérapie Cellulaire.

Le président du Collège intervenait alors prétendant "que le diagnostic d’emphysème pulmonaire était probablement faux chez le jeune homme de 25 ans parce qu’il est impossible", disait-il, "de guérir d’une telle maladie", malgré que le diagnostic ait été posé par un célèbre pneumologue de 53 années d’ex périence.

J’alléguais alors: "Peu importe le nom de la maladie, qu’il s’agisse d’emphysème ou non, l’important c’est que le malade se sente mieux et qu’il ait pu reprendre le travail." Ce n’est pas la maladie que je traite, mais l’être qui en souffre.

J’ajoutais également que c’est le devoir d’un médecin, quand sa conscience et ses connaissances lui recommandent un traitement qu’il croit efficace pour un malade, de l’appliquer, le premier rôle du médecin étant de soulager.

Le Dr Augustin Roy qui a été mon confrère à l’Université Laval à Québec, de 1948 à 1953, s’est exprimé en ces termes: "Le Dr Paquette est très humain et inspire confiance. Il est personnellement honnête avec lui-même, c’est une sorte de missionnaire, de croisé. Il est demeuré le même que j’ai connu. Cette thérapie n’a pas été suffisamment étudiée dans des centres de recherches reconnus." Je poursuivais alors: "Si personne n’essaie ce traitement, quand saurons-nous s’il est bon ou non?"

"À mon retour du Mexique, j’ai expérimenté moi-même ici au Canada la méthode que j’avais vu appliquer là-bas et que j’avais étudiée; je suis obligé d’avouer que les résultats sont là." Le commentateur termina en ces termes: "Et voici où se situe présentement la Thérapie Cellulaire. Le Collège ne l’a considérée que sur papier, et les experts l’ayant condamnée sont les mêmes qui ne peuvent aider les patients, lesquels se tournent vers le Dr Paquette. Le traitement existe. Les patients affirment avoir été aidés par la thérapie, et l’establishment médical demeure cynique".

"Personne n’a prouvé la théorie sur laquelle se base la Thérapie Cellulaire et, en attendant que cela se fasse, personne ne saura vraiment s’il s’agit d’une révélation médicale ou non."

 

EN HAÏTI

RELEVER DES DÉFIS

Je reconnais que, par nature, j’ai toujours aimé les difficultés. Je prenais plaisir à les vaincre, à relever des défis. Par exemple, à l’Université Laval, j’ai formé un quatuor vocal, les Quatre-Jean avec trois amis qui possédaient des voix superbes (Jean-Marie, Jean-François, Jean-Charles) mais aucune con- naissance musicale. Je les ai amenés en concours et nous avons gagné à la radio de Québec.

Par contre, un vendredi soir, j’ai accepté de donner un concert deux jours plus tard avec un chœur qui n’existait même pas. J’ai regroupé les douze meilleures voix de la ville de Québec. Une seule pratique le dimanche matin, le concert était donné le même soir sans aucune erreur. Par la suite, nous avons fait une tournée provinciale de quinze concerts et nous avons été invités à chanter au Petit Colisée de Québec devant un auditoire de 7.000 personnes. Rien n’est impossible.

Mais ce n’est pas pour défier le Collège ni pour me cacher de lui, comme ses membres ont pu le penser, que j’ai décidé d’ouvrir une clinique en Haïti. C’est un chercheur de New York, le Dr Michael Lévi célèbre gynécologue, directeur de l’O.B.G.Y.N. de New-York (clinique qui réunit quarante-quatre médecins) qui m’a incité à ouvrir une clinique de thérapie à Pétion-Ville, Haïti.

J’y ai tenu cinquante cliniques où les patients m’arrivaient de tous les coins du monde, spécialement du Canada, des États Unis et de l’Europe. J’y ai traité une patiente du Manitoba dirigée par un médecin européen, une autre de Colombie Britannique, diabétique, une chanteuse d’opéra américaine, des hommes d’affaires de France, de Suisse, d’Italie, de Russie, un bonze de la haute couture britanique, une artiste espagnole, une jeune actrice italienne, référés à moi par des médecins, des écrivains, dont j’ignorais même le nom.

 

OUVERTURE D’UN CENTRE DE RECHERCHES ET DE THÉRAPIE CELLULAIRE AUX ANTILLES

Au début d’octobre 1978, je me rendais rencontrer à New York, sur soninvitation, le Dr Michael Lévi, professeur à l’Université Columbia, détenteur de dix-sept fellows en obstétrique, en gynécologie, en chirurgie, en oncologie, en immunologie, etc., reconnu comme sommité médicale internationale. Il vint m’accueillir avec beaucoup d’amabilité à l’aéroport, m’emmena visiter sa clinique à Brooklyn et me présenta à quelques-uns uns des quarante-quatre médecins qui travaillent avec lui.

Ce grand chercheur, à l’affût de la découverte médicale, désirait en savoir plus long sur la Thérapie Cellulaire qui le fascinait déjà.

C’est grâce à lui que le fameux médicament contre le cancer, le laetryl, était déjà accepté dans dix-sept états aux États-Unis. Il réservait déjà une place importante à la Thérapie Cellulaire dans l’éventail des traitements actuels du cancer.

Une décision fut prise le jour même de fonder un Centre de Thérapie Cellulaire en Haïti où des recherches se poursuivraient sous sa supervision.

Un de ses élèves, spécialiste en allergie et en médecine interne, professeur à l’Université de Port-au-Prince, nous offrait sa collaboration: C’était le Dr Serge Conille, médecin personnel du Président de la République.

C’est ainsi qu’une semaine plus tard je m’envolais vers Haïti avec un couple très charmant. Le notaire Roger Munn de Buckingham accompagnait son épouse souffrant d’asthme et d’arthrite. Ce fut ma première patiente en Haïti (voir: maladies respiratoires cas # 16 et maladies rhumatismales cas # 13.)

Le Dr Serge Conille en était à sa première expérience en T.I.C.: Il ouvrait des yeux émerveillés. Il avait pu examiner la patiente avant et après le traitement et avait pu constater avec moi "une amélioration fantastique qui dépassait les espérances de la médecine connue".

 

MON ATTITUDE FACE À LA RECHERCHE

L’esprit de recherche devient comme une seconde nature quand un médecin d’une région éloignée se retrouve seul face à des problèmes nouveaux ou qui n’ont pas été suffisamment abordés dans ses études médicales.

C’est ainsi que j’ai découvert par ma propre expérience l’usage du Butazolidine, de la compagnie Geigy, dans les cas de phlébites, d’hémorroïdes et de thrombophlébites. Je l’utilisais déjà depuis une bonne dizaine d’années dans ces cas lorsque j’ai lu un article américain le déclarant: "nouvelle découverte."

N.B.: Ce médicament merveilleux a disparu de la carte depuis 1992.

À force de recherches, j’avais mis au point une technique pour assécher et traiter les ulcères variqueux, bête noire des dermatologues. Les patients accouraient des régions voisines, même de la métropole, passaient une dizaine de jours et s’en retournaient améliorés et heureux.

Je me souviens par contre d’un cas réfractaire au traitement... . Chaque matin, il revenait au bureau avec un pansement humide et une peau graisseuse. Ce n’est qu’après une dizaine de jours que j’ai saisi l’astuce de mon patient. Bon croyant, il était revenu de l’Oratoire Saint-Joseph avec une petite bouteille d’huile que lui avait conseillé le bon frère André, cousin de mon père.

C’est ainsi également que j’ai pu, stimulé par l’esprit de recherche, parfaire la Thérapie Donatienne de Pérez et y découvrir la Médecine de l’Espoir: Une approche intelligente pour traiter de façon holistique la personne humaine tout entière.

 

AUTO-HÉMOTHÉRAPIE DANS LES CAS D’HERPÈS

Le sida a redoré le blason du système immunitaire un peu relégué aux oubliettes. Depuis son apparition, on parle maintenant couramment d’autodéfense de l’organisme, de virus, d’antigènes, d’anticorps.

L’herpès labial de type 1, appelé communément feu sauvage, est un problème vieux comme le monde. Il est relié de très près par ses souches à l’herpès génital, de type II.

Quelques années avant la découverte en 1973 ou 1974 du zovirax (acyclovir) médicament antiviral, pour lequel une subvention de 17 millions de dollars a été versée, j’ai mis au point par moi-même un traitement pour l’herpès labial qui ne coûte rien et qui n’a aucun effet secondaire ni aucune contre-indication.

Une dame dans la trentaine me consultait depuis des années pour un herpès labial qui durait depuis 12 ans. Trois dermatologues et un allergologue ne trouvaient aucune solution à son problème.

Désireux d’aider cette patiente, je me creusais la tête depuis longtemps lorsque l’idée me vint que son sang contenait des antigènes contre lesquels il fallait trouver une façon d’agir: En injectant des antigènes, le système produirait probablement des anticorps.

Je me souvenais avoir entendu parler d’hémothérapie, qui consiste à traiter quelqu’un avec son propre sang, mais j’en ignorais totalement la technique. Je débutai donc avec une dose de un cc, puis de deux, puis de quatre cc et j’ai enfin adopté la dose de dix cc dans ma pratique avec des résultats spectaculaires. Je prélevais 10 cc de sang dans la veine et je les redonnais intra-musculairement dans le muscle fessier, sans plus. Les lésions s’asséchaient en deux ou trois jours et la douleur disparaissait ordinairement le jour même. J’en ai la preuve avec une bonne centaine d’autre cas.

Quant à l’acyclovir, médicament dispendieux (coûteux) aux propriétés curatives supposément si extraordinaires, il n’a pas réglé le problème tel que prévu. Il ne fait que le diminuer sans le solutionner. L’ordonnance est à répéter chaque mois et il faudrait prendre un abonnement à vie.

Je rencontre à l’occasion d’anciens patients que j’ai traités il y a 20 ans et plus. Ils sont tout fiers de me dire qu’ils n’en ont plus jamais souffert.

Voilà comment se fait la découverte. Je n’ai pas l’expérience d’un nombre suffisant de cas pour affirmer si l’auto-hémothérapie est effective ou non dans l’herpès génital, mais j’en ai l’intuition.

Le garde en mémoire le cas d’une jeune femme dans la trentaine, qui en souffrait depuis six ans et que j’ai traitée en T.I.C. en association avec l’auto-hémothérapie. Elle n’en a plus souffert comme par le passé.

 

LA MALADIE FERAIT-ELLE VIVRE PLUS QU’ELLE NE TUE?

Des sommes astronomiques, des milliards de dollars, sont recueillis à cœur d’années de par le vaste monde pour la recherche, quelles qu’en soient les origines: donations, subventions gouvernementales, nationales, internationales, téléthons, marchethons, cyclothons, organisations de toutes sortes et que sais-je encore... ?

C’est tantôt le cancer, le sida, les allergies, la sclérose en plaques, la paralysie cérébrale, l’ataxie de Friedreich, l’Alzeimer, la dystrophie musculaire, la schizophrénie, l’épilepsie, l’hémiplégie, l’asthme, l’arthrite et les rhumatismes, la migraine, le psoriasis, le Parkinson, les maladies vasculaires, la fibrose kystique, la maladie de Huntington et j’en passe encore autant!

Avec les miettes des centaines de milliards récoltés et dépensés dans les centres de recherches subventionnés, des chercheurs solitaires qu’on ignore trop souvent, pourraient aussi apporter d’appréciables éléments de solution à ces problèmes désespérants dont je viens d’énumérer une liste non exhaustive.

 

CURE DE 14 JOURS EN HAÏTI

Les cures duraient ordinairement quatorze jours, comprenant deux traitements majeurs à base d’insuline et dix traitements mineurs. Il est évident que certaines maladies plus graves ou plus rebelles nécessitaient parfois plus que deux semaines de traitement. On ne peut pas toujours corriger en si peu de temps une condition qui a mis de 25 à 20 ans à s’installer.

Mais on savait toujours dès les premiers jours si le traitement était effectif, et de fait, il apportait une amélioration dans plus de 90% des cas, enrayant à un degré plus ou moins important la maladie et ses symptômes.

Il faut garder en tête que la plupart des patients qui ont eu recours à la T.I.C. étaient des malades chez qui la médecine conventionnelle avait échoué ou n’avait pu enrayer la totalité des problèmes. La T.I.C. est, elle aussi, expérimentale tout comme la médecine conventionnelle, mais elle réussit mieux.

 

UNE CLINIQUE UNIQUE AU MONDE

Cette clinique d’une conception nouvelle répondait à l’image que je m’étais toujours faite de la clinique idéale.

Au lieu de l’ambiance austère pas toujours accueillante de nos hôpitaux, les patients se retrouvaient dans une villa splendide à flanc de montagne, dans un décor féerique et enchanteur avec vue panoramique, loin du bruit, de la poussière, de la foule et de l’extrême chaleur tropicale.

"C’est un rêve!" Disaient les malades en arrivant. Ils commençaient déjà à oublier leurs problèmes et leurs maladies.

La tranquillité, l’ambiance relaxante, la courtoisie, le sourire de rigueur pour tous, la musique reposante, la piscine, les divertissements, les "excursions avec le docteur" en ville, au marché, à la plage, en montagne, les conférenciers invités de Margary Chamy, professeur en Sciences de vie aux États-Unis, tout était axé sur le mieux-être physique, émotionnel, mental et spirituel pour recommencer une nouvelle vie.

Sur le plan professionnel, rien n’était négligé: la présence d’un médecin vingt-quatre heures sur vingt-quatre, des infirmières qualifiées, un personnel affable, un masseur expérimenté, les traitements sur place, la disponibilité de tests supplémentaires au besoin, mais avant tout, une médecine plus humanisée où on ne traite plus la maladie mais le malade, la personne qui en souffre.

 

L’ATMOSPHÈRE QUI RÉGNAIT EN CURE

En cure, personne n’avait le droit de parler de sa maladie avec les autres patients: Chacun en avait assez de ses problèmes sans se faire harceler par ceux des autres. Le mot d’ordre était donné dès le début.

La seule personne avec qui ils avaient le droit d’en parler, c’était avec moi, leur médecin. Tous les jours je faisais une petite conférence sur un sujet d’intérêt commun, qui se terminait ordinairement en forum. Parfois, je leur suggérais de poser des questions par écrit, ce qui conservait l’anonymat.

Le rire était de rigueur. Une blague n’attendait pas l’autre. C’était un peu la "CURE DU RIRE." C’est au milieu des éclats de rires que j’ai depuis longtemps aimé passer mes messages. Je puis être aussi sérieux que j’aime badiner, c’est beaucoup dire. J’aime être sérieux sans me prendre au sérieux.

En Haïti, on aurait semble-t-il préféré que je ne demeure pas avec mes patients à ma clinique, question de standing professionnel, mais pour moi, c’était contraire à la conception que j’en avais.

Il faut connaître parfaitement son monde, voir sa façon de s’alimenter, son mode de vie, son humeur, sa façon de penser, d'être, de se divertir. Je voulais être avec eux vint-quatre heures sur vingt-quatre, pour les rassurer, être disponible, voir à la gérance, à l’entretien, à la propreté, à l’approvisionnement, à la diète, aux sorties avec eux, à l’organisation de leurs loisirs et surtout à leur mieux-être. Je puis dire que j’étais là à temps "plein".

Du côté médical, je dois dire que ce n’était pas une sinécure... . Chaque cas était revu chaque jour, analysé, modifié, longtemps réfléchi. Je passais tous mes moments libres le jour et une grande partie de mes nuits à penser aux traitements, à les préparer. Imaginez un peu ce que cela peut représenter de responsabilités, de concentration, d’heures de travail quand vous avez jusqu’à vingt-trois patients à la fois. Cela ne s’est produit qu’une seule fois. Les groupes étaient habituellement de huit à quatorze patients. Je m’arrêtais quand je n’en pouvais plus et rien de fâcheux ne m’est jamais arrivé.

 

LA THÉRAPIE INSULINO-CELLULAIRE

 

NON NOVA SED NOVE

La médecine n’est pas une science mathématique. En médecine, deux et deux ne font pas nécessairement four, mais parfois un, trois, dix, car chacun est malade et réagit à sa façon, selon ses antécédents, son tempérament, son âge, son sexe, son terrain, son hérédité, sa constitution, sa propre autodéfense, son mode de vie, ses habitudes, son alimentation.

La médecine n’est pas une science à tiroirs. Il n’existe pas de traitement déjà tout préparé pour chaque maladie. Il faut en trouver un pour chaque malade.

Je puis affirmer qu’en 19 ans, je n’ai jamais appliqué le même traitement à deux personnes différentes pour le même genre de maladie. Je me souviens de ces trois cas de psoriasis traités le même matin dont les traitements variaient à 70%.

On ne réagit pas de la même façon aux mêmes traumatismes, aux mêmes infections, aux mêmes médicaments. Il faut donc connaître non seulement la nature des troubles, mais l’individu qui en est affecté, ce qui suggère un traitement personnel approprié à chaque malade. Souvent l’organisme se défend tout seul: On a déjà dit qu’il est mille fois plus intelligent que n’importe quel médecin! Heureusement!

Non nova sed nove, c’est la devise que j’avais choisie alors que j’étais maire de Ferme-Neuve et qui figure aux bas des armoiries de mon village. Elle veut dire: "Rien de nouveau, mais d’une façon nouvelle".

Cette devise s’applique curieusement à la T.I.C. On utilise les mêmes médicaments qu’en médecine conventionnelle, les meilleurs qu’on puisse trouver, quel qu’en soit le pays d’origine. L’administration de ces médicaments se fait par les mêmes voies: orale, sous-cutanée, intramusculaire, intraveineuse, locale, vaginale ou rectale.

Mais le choix, la combinaison synergique (un médicament en potentialisant un autre), l’administration de cette médication ainsi que la façon nouvelle de considérer le malade et ses maladies, tout cela relève d’une technique nouvelle en médecine. Ce n’est pas révolutionnaire, mais évolutionnaire.

Lorsque nous est révélé en médecine un procédé nouveau qui bouscule notre formation professionnelle, qui nous dérange, qui peut non seulement soulager mais parfois guérir, on est porté, par méfiance ou par fidélité à la tradition ou par crainte des autorités, à se taire, à le couvrir de ridicule comme d’un éteignoir.

 

CE QU’EST LA THÉRAPIE CELLULAIRE

Étant le seul médecin au monde qui ait pratiqué cette thérapie, à part les docteurs Donato Pérez, père, fils et petit-fils, j’essaierai de vous la faire voir sous différentes facettes et différents angles: Ce sont les miens.

Elle est indéfinissable à cause de ses résultats souvent inespérés, imprévisibles. Elle est de plus en plus compréhensible, au fur et à mesure qu’on la pratique. J’ai vraiment hâte que le monde médical y jette enfin les yeux et nous aide à en découvrir ce qui reste encore voilé.

C’est une médecine logique basée sur l’observation et le raisonnement. Elle s’attaque aux causes médicales qui sont multiples plutôt qu’aux effets.

Il existe toujours un problème sous-jacent, une correspondance psychique à tout état physique qui s’installe. Avec le patient, nous essayons de le découvrir et de le conscientiser à cet état de chose.

C’est une médecine incroyablement rapide, dont les effets se manifestent souvent en quelques heures, toujours en dedans de deux jours.

C’est une médecine multidisciplinaire qui accepte et se réfère à toutes les données positives de la science médicale et paramédicale, à toutes techniques susceptibles d’améliorer l’état du malade. Car le patient forme un tout, une seule entité dans son évolution vers la santé ou la maladie.

C’est une médecine holistique qui traite tout l’être à la fois avec ses divers problèmes: physiques, émotionnels, mentaux, spirituels, héréditaires ou personnels.

Cette nouvelle approche globale de l’homme est très différente de celle des nombreuses spécialités de la médecine qui se partagent le corps humain morceau par morceau, organe par organe, système par système.

Notre façon de considérer et de désintoxiquer tout le corps en même temps (nous y reviendrons), et d’affronter plusieurs organes à la fois dans un même traitement ne sourit pas aux défenseurs de la médecine spécialisée. Les différentes spécialités peuvent difficilement accepter qu’on puisse s’ingérer et réussir dans leurs domaines respectifs: respiratoire, locomoteur, circulatoire, allergique, digestif, génito-urinaire, dermatologique, neurologique ou autre, pris un par un ou plusieurs à la fois.

Une maladie chronique n’est ordinairement jamais isolée: Les autres systèmes sont le plus souvent impliqués à différents degrés. C’est ce qui fait la force de cette médecine de demain.

C’est une médecine efficace qui traite vraiment l’être malade au fond de lui-même plutôt que de s’acharner à faire disparaître les symptômes apparents. Avec les jours, les semaines, les résultats se font vraiment sentir et persistent tant que le patient ne retourne pas à son ancien régime de vie.

C’est une médecine personnalisée car chacun est malade à sa façon et doit être traité en tenant compte de ses propres caractéristiques héréditaires, familiales, personnelles, allergiques, alimentaires ou autres.

C’est surtout une médecine très humaine qui traite les malades plutôt que les maladies, parce qu’elle n’oublie pas l’être humain qui se cache derrière la maladie, qui se blottit derrière les symptômes, qui désespère, qui souffre et qui pleure. C’est une réponse au cri d’alarme du professeur Lebos qui reproche à la médecine d’être déshumanisée.

C’est une médecine simple, tellement simple que les observateurs se refusent à y croire, même si les résultats sont là. Car ils y sont là, réellement, et c’est ce qui compte. Il n’y a pas de miracles, mais des résultats révélateurs, impressionnants, souvent spectaculaires. Il y a des échecs, mais aussi des succès indiscutables.

C’est une des grandes médecines au monde capable de traiter si rapidement tout l’organisme à la fois.

C’est une médecine sûre qui ne provoque aucune réaction secondaire (intolérance, anaphylaxie, allergie, intoxication) et sans effet iatrogène.

En somme, c’est une cure de désintoxication globale, doublée d’un traitement spécifique curatif pour chaque maladie, quelle qu’en soit le nombre, et appuyée d’une cure de non-réintoxication.

Car si le patient continue à manger comme un glouton, à boire comme un zombie, à fumer comme une cheminée, et à brûler la chandelle par les deux bouts, sans modifier son schéma de vie et de pensée, il retombera nécessairement dans les mêmes erreurs qui ont engendré les mêmes maladies, les mêmes problèmes.

 

RENCONTRE AVEC FERNAND SEGUIN, BIOCHIMISTE

Le 14 mai 1977, j’ai eu la chance, le bonheur et l’honneur d’avoir un entretien de plus de quatre heures sur la T.I.C. avec Fernand Seguin à sa résidence de Saint-Charles-sur-Richelieu. Ce célèbre biochimiste, décédé récemment, a reconnu à cette thérapie un effet de stimulation sur le système immunitaire. Le bulletin de la Corporation des Médecins du Québec en témoignait dans son édition du 7 décembre 1977. "C’est très prometteur dans l’histoire de la médecine," affirmait Fernand Seguin.

N’étant que simple omnipraticien, j’avais beaucoup de difficulté à saisir le mécanisme d’action de cette thérapie que je pratiquais et je lui demandai d’éclairer ma lanterne. Voici l’explication qu’il me donna.

"L’administration d’insuline provoque une diminution de la concentration du sérum sanguin, ce qui permet une exosmose, i.e. un déversement des déchets intercellulaires dans le plasma. Parallèlement, avec l’application de la T.I.C., en augmentant la concentration moléculaire du plasma, il se produit une endosmose, ce qui explique l’activité décuplée de cette thérapie.

L’insuline, précisait-il, favorise les échanges entre les cellules, permet d’en chasser les toxines et d’y faire pénétrer la médication nécessaire pour en rétablir l’équilibre."

"J’ai comme l’intuition, me disait-il, qu’on est très près de la solution que recherche la médecine actuelle depuis plus de cinquante ans dans sa lutte contre le cancer.

Car lorsqu’on ne meurt pas de son cancer, on meurt des effets toxiques secondaires de la chimiothérapie qui ne peut utiliser que des doses toxiques.

La radiothérapie, vous le savez bien, brûle les cellules de façon irréversible et rend toute nouvelle circulation sanguine impossible. Quant à la chirurgie, continuait-il avec une petite moue, elle semble avoir perdu tout respect de la personne humaine.

Le mécanisme d’hypoglycémie que vous déclenchez avec l’insuline, jumelé à l’administration d’un médicament en même temps que le glucosé hypertonique, active la vitesse d’exosmose et d’endosmose. Cela permet de diminuer notablement les dosages des médicaments utilisés. Ce serait très intéressant de vérifier expérimentalement les phénomènes tels que je les comprends logiquement.

En simplifiant les doses, c’est logique, ça diminue leur toxicité, leur intolérance, leurs effets secondaires, leurs interactions, leurs risques d’allergies, d’anaphylaxie, leurs effets iatrogènes. Voyez-vous, docteur, me disait-il, ce que cela pourrait apporter dans le traitement du cancer et de combien d’autres maladies?

Vous savez que depuis cinquante ans, continuait-il; (je le lisais dans un article de Peter Chodka), la médecine n’a peut-être que 5% d’amélioration dans son traitement du cancer, malgré les pas de géant dans les techniques pour en découvrir l’existence.

Vous avez le devoir, me répéta-t-il, de contacter le Collège des Médecins et de les mettre au courant de ce que vous avez appris de cette thérapie. Moi-même, je ne la connaissais pas; CETTE DÉCOUVERTE, C’EST UNE BOMBE, croyez-moi. C’est ce que la médecine recherche depuis des années au prix de centaines de millions de dollars."

Je lui fis part de mes vains efforts pour intéresser le Collège à cette thérapie. Il se montra très déçu de leur attitude et me promit de s’en occuper personnellement. Il me dit avoir un bon contact au Collège, avec le Dr Augustin Roy.

Il termina en me disant: "Si jamais on trouve un médicament qui peut potentialiser les autres médicaments au point de pouvoir les utiliser sans toxicité, sans effets secondaires indésirables, cela vaudra le prix Nobel. Je souhaite qu’on puisse prouver sur le plan scientifique que l’insuline a cette propriété que je devine.

Je me souviens avoir entendu le Dr Augustin Roy faire la même déclaration à la télévision en 1977.

Pour ma part, je n’ai rien découvert sinon l’existence de cette thérapie. Il m’a fallu plus de courage que d’audace et de témérité pour poursuivre seul mes recherches, dans un coin reculé du pays, et suivre la voie que me dictait ma conscience professionnelle. Je ne pouvais pas accepter dans mon for intérieur de capituler devant la maladie.

Me rappelant la phrase lapidaire de Roosevelt sur la réussite, je me suis dit également: Si personne n’essaie, on ne saura jamais.

Je termine par cette pensée: Il y a des gens qui font le tour de la terre pour trouver finalement chez le voisin ce qu’ils cherchaient en vain.

La thérapie est là! On n’a qu’à ouvrir les yeux!

 Veuillez cliquer ici pour lire la partie 3

 

Subpages: 

This level: Up ] me01 ] [ me02 ] me03 ] me04 ] me05 ] me06 ] me07 ] me08 ] me09 ] me10 ] me11 - Lexique ] 

Site index: Home ] Choosing IPT ] Find a Doctor ] IPT Training ] . ] About IPT ] Cancer ] Other Diseases ] Doctors Listing ] First Doctors ] Patient Stories ] Patients Home ] Articles & pubs ] Books ] Action ! ] . ] News ] Search ] Site Index ] . ] About Us ] Links ] Tell A Friend ]

Tell a friend about IPTQ.com
Entire IPTQ website Copyright © 1999-2002 by Chris Duffield, Ph.D.  All rights reserved.
IPTQ, IPTQ.org, IPTQ.com, IPTQ.net, The second discovery of insulin, and IPTQ lifering and lifeboat logos are trademarks. 
Please read the IPTQ.com disclaimer.   
This page was last updated on  March 19, 2008.
Website technical corrections and suggestions -- email to IPTQ Webhost.
Please also visit GetIPT.com
website visitors since August 2002
(
Click on box for detailed statistics)

Chris Duffield, webhost