Médecine de l’Espoir
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LE SYSTÈME NERVEUX
Pour terminer cette comparaison avec l’automobile,
le système nerveux représente le système électrique avec son
réseau (onze km de fibres nerveuses et 13 milliards de fibres
synchronisées), un accumulateur (le cerveau: 1,350 kg), un
système de recharge (alimentation, récupération au repos), le
courant (6 watts d’énergie), des relais (les cellules
nerveuses.) Il ne faut jamais laisser une batterie s’épuiser, se
décharger jusqu’à la dernière limite. Ça ne fera jamais plus une
bonne batterie. Il y a des "bornes"... qu’il faut
respecter. Ne jamais se reposer, "brûler la chandelle par les deux
bouts", vivre continuellement sous "tension", c’est
comme brancher tous les circuits à la fois: les phares, les
clignotants, le chauffage, le dégivrage, la radio, les essuie-glaces et
klaxonner sans relâche, sans laisser aucune chance à la batterie de
récupérer: c’est ça qui cause le "stress". Ou encore,
c’est tenter de démarrer un moteur gelé jusqu’à l’épuisement
total de la batterie.
On a tendance, quand on ne sait pas à quoi
attribuer le mal, à en tenir responsable le système nerveux. Il nous
faut toujours un coupable. Il ne faut quand même pas exagérer. On met
beaucoup d’emphase sur les maladies psychosomatiques depuis quelques
années.
Il est reconnu que le psychisme amplifie
toujours et peut même faire naître un problème à point de départ
somatique, corporel, réel: l’asthme par exemple. Le seul fait, pour
le patient, de commencer à manquer d’air, lorsqu’il débute la
crise, déclenche chez lui une réaction d’angoisse, de stress qui
complique le problème. Dès qu’il se sent rassuré, sa gorge, son
appareil respiratoire se détendent, il respire déjà mieux.
L’INSTABILITÉ
ÉMOTIONNELLE DU MALADE
Combien de malades vivent dans l’instabilité
émotionnelle, dans l’incertitude, dans l’ignorance, dans l’angoisse
profonde de leur maladie parce qu’on ne sait pas leur parler,
souvent aussi parce qu’on ne trouve pas d’explications logiques à
leurs problèmes.
C’est tout à fait normal pour un patient
de chercher à en savoir plus long, de discuter de sa maladie avec
"son médecin", vers qui il est venu en toute confiance.
Très souvent, ce dernier est avare de son
temps, de ses explications. Parfois c’est par ignorance qu’il n’ose
se prononcer. Son mutisme augmente l’angoisse, l’anxiété,
l'incertitude au point de frustrer le malade. Celui-ci n’ose plus
parler, il craint le pire. Il semble déranger le médecin qui est payé
pour l’écouter, le renseigner, le conseiller, le guider.
Il y a parfois des médecins qui argumentent
et se fâchent! Un chirurgien avait répondu à son client: "C’est
moi qui ai raison, je vous le prouverai à votre autopsie... !"
Les patients ne comprennent que sommairement
ce qui se passe en eux. Malheureusement, quand on ne sait quoi leur
dire, on a recours à cette kyrielle de réponses stupides et évasives
réservées à ces cas qu’on ne peut classer: "C’est
nerveux!" "C’est allergique!" "C’est un nouveau
virus!" "C’est imaginaire!" "C’est
psychique!" "Arrêtez de fumer, (même si la personne n’a
jamais fumé de sa vie)!" "Ne dépensez pas votre argent, ça
ne guérira jamais! (Voir maladies neurologiques, cas # 2.)"
"Il ne vous reste que trois mois à vivre! (Voir cancer, cas #
5.)" "Nous, on traite ceux qu’on peut encore traiter! (Voir
cancer, cas # 1.)" "Habituez-vous à vivre avec votre
maladie!" "Déconcentrez-vous de votre maladie!"
"Pensez à autre chose!" "C’est trop chronique, il n’y
a plus rien à faire!" "Vous pouvez faire une réaction et
rester là" "Ça va passer!"
Combien de personnes se sentent gênées de
questionner leur médecin ou ont peur de poser des questions idiotes? Il
n’y a que des réponses idiotes. Et si le médecin est avare d’explications,
elles ne lui arracheront que quelques bribes qui ne les satisferont pas:
Elles n’en sortiront que plus traumatisées, plus inquiètes.
Cette ignorance complique leur maladie. Mon
expérience m’a prouvé qu’il y a toujours quelque chose à
faire. C’est en rendant le patient conscient de la cause
psychologique de ses problèmes (il y a toujours une correspondance
psychique à toute manifestation physique), c’est en lui expliquant le
mécanisme normal ou physiologique de son organisme qu’il peut le
mieux comprendre ce qui se passe en lui et mieux aider son médecin à
le traiter.
LA
SANTÉ, LE PLUS GRAND TRUST MONDIAL
Le domaine de la santé est
très vaste: Il englobe ceux qui "pensent santé", ceux
qui distribuent des soins ceux qui exploitent la santé. Il ne se limite
pas à la médecine conventionnelle: il encadre les marginaux, les
dissidents, les non conventionnels, ceux des médecines alternatives,
les homéopathes, les ostéopathes, les acupuncteurs, les
chiropraticiens, les massothérapeutes, les manipulateurs d’énergie,
bref: tous ceux qui, de près ou de loin, s’intéressent et oeuvrent
pour le bien-être physique et moral de l’individu.
C’est le trust mondial le plus riche au
monde: Il a supplanté celui du pétrole.
L’idéologie médicale est très instable.
Elle n’est pas assise solidement sur des données mathématiques
invariables. Elle est à la merci de l’évolution normale qui se fait
et doit se faire dans toute science expérimentale. On est à l’écoute
de la voix des grands Maîtres, des grands chercheurs de tous les pays
du monde qui veulent trouver une solution à tous les maux.
Une réalité incontestable et inexorable
est, comme l’œil de Caïn, toujours là, au fond de notre horizon: plus
la science médicale évolue, plus on se sent inquiet, abandonné,
perdu. Il y a toujours de nouvelles maladies qui surgissent, toutes
plus inquiétantes les unes que les autres tel le sida et le
streptocoque A, mangeur de chair, l’Ebola.
L’informatisation et l’électronique ont
ouvert des voies jamais encore déblayées dans les méandres de notre
ignorance. C’est l’heure de la médecine "computérisée".
L’INFORMATIQUE
S’EN MÊLE
Des électroniciens à la dixième vitesse du
modernisme viennent d’ajouter un gros dièse au crescendo de la
médecine de l’heure: on entre sur ordinateur le dossier complet d’un
patient, ses diagnostics et toute sa médication actuelle ou ancienne.
On connaît instantanément les effets
secondaires, les interdépendances, les contre-indications des
médicaments ainsi que le choix par ordinateur du meilleur médicament
à prescrire.
C’est bien beau tout cela, mais est-on bien
sûr que le diagnostic initial est exact? Les explications les plus
fantaisistes et les allégations les plus farfelues remplissent les
quotidiens et les revues. A travers ce bombardement d’idées
nouvelles, il se fait de la recherche objective et scientifique de
valeur dans certaines universités et au sein de compagnies
pharmaceutiques. Ces dernières seraient-elles moins stimulées par la
découverte que par le succès financier?
CHECK UP
ET TUNE UP ANNUELS
Il est de coutume et "à la mode"
de passer chaque année, sur recommandation de son médecin cette série
de tests qu’on appelle "check up médical annuel", pour se
faire dire habituellement, après quelques semaines "que tout est
normal et que tout va pour le mieux", à moins qu’on ne fasse
parfois le gros plan sur un détail de moindre importance.
Fait curieux, combien de patients, qui ont
attendu des mois avant de passer leurs examens, qui se sont avérés
normaux, ne se sont-ils pas retrouvés, quelques semaines plus tard,
porteurs d'infarctus ou de catastrophes aussi inquiétantes?
Un problème circulatoire, digestif,
génito-urinaire, respiratoire ou autre est passé inaperçu ou du moins
n’a pas retenu suffisamment l’attention du médecin qui aurait pu
prévoir et prévenir de plus graves problèmes.
On vous a dit peut-être "qu’ils font
partie de la vie normale, qu’il faut s’habituer à vivre avec
eux", quitte à camoufler les symptômes avec une ordonnance
médicale. La maladie est normale, c’est la santé qui est un luxe
de nos jours. D’ailleurs, n’avons-nous pas l’Assurance-Maladie au
lieu de l’Assurance-Santé?
C’est une erreur d’évaluer l’être
humain en pièces détachées. Chacune de nos 60.000 milliards de
cellules est intimement reliée à toutes les autres. Les appareils les
plus sophistiqués de l’heure sont encore très éloignés de la
subtilité d’un cerveau humain qu’un médecin consciencieux peut
mettre à votre disposition. C’est à lui de faire la corrélation ou
le rapprochement entre les différents systèmes.
Il faut bien différencier "check up"
(vérification) et "tune up" (mise au point). Il faut corriger
les problèmes.
En médecine, on se borne trop souvent avec
la venue de l’électronique à établir des diagnostics. Comme pour
votre automobile, on ne peut pas changer mais on peut nettoyer vos
filtres: à l’air (poumon), à l’huile (foie), à l’essence
(rein), on peut vidanger votre moteur (intestin), recharger votre
batterie (système nerveux.)
L’automobile serait-elle mieux traitée que
nous par le garagiste? Il répare ce qu’il y a à réparer.
Il ne faut pas se surprendre de cette vogue
que se sont acquises les médecines parallèles, les médecines
alternatives et les médecines douces au détriment de la médecine
conventionnelle.
Chacun y va de sa philosophie selon sa propre
formation "qu’elle ne soit que de quelques semaines ou de
plusieurs années": irrigation du côlon, alimentation vivante
basée sur les germinations, macrobiotiques, produits supposés
naturels, jeûne intégral ou à l’eau, cure de jus, cure à l’eau
d’érable, antibiotiques naturels, le biologique et que sais-je
encore? Il en sort de nouveaux tous les mois. On cherche en vain la
panacée universelle. Les recettes des Indes concurrencent celles de la
Suède, de l’Orient, de l’Amérique du Sud: Même les plus
intelligents s’y laissent prendre.
Des syndromes (ensemble de symptômes) sont
devenus des maladies. La soi-disant dernière mode (elle existait il y a
40 ans), c’est l’urinothérapie: il s’agit de boire non plus sa
propre urine, mais celle de son voisin. Pourquoi pas celle d’un
sidatique... . Et à la source, une fois partis!
UN
MONDE STRESSÉ ET " BOUFFEUR DE PILULES "
Les médicaments, ces béquilles de l’organisme
boiteux, ont pour rôle de rétablir chimiquement un état devenu
pathologique par un désordre dans la physiologie normale du corps
humain. Ils sont presque toujours néfastes et ont des effets
insoupçonnés.
Ils occupent dans notre société moderne la
place prépondérante qu’on leur a donnée, à tel point que leurs
adeptes ne peuvent plus s’en passer. Il y en a sous toutes les formes,
de toutes les couleurs, de tous les prix, sous toute forme d’administration:
intramusculaire, intraveineuse, sous-cutanée, orale, sublinguale,
buvable, croquable, effervescente, en nébuliseur, enrobée, bref, pour
tous les goûts, tous les âges, tous les caprices, toutes les
habitudes, tous les besoins réels ou fictifs.
La confusion règne. C’est la tour de
Babel. On croit être angineux ou cardiaque parce qu’on nous
glisse sous la langue un comprimé d’ativan sublingual contre l’anxiété.
Leurs fabricants font des affaires d’or. Déjà, leurs prix montaient
tous les six mois, certains avaient même triplé en trois ans. On m’a
dit récemment qu’ils ont commencé à diminuer depuis que le
Ministère de la Santé paye des génériques aux effets secondaires
parfois insoupçonnables, par exemple, tenez:
UNE EXPÉRIENCE
VÉCUE
En 1988, j’avais répété à trois
patients l’ordonnance d’un médicament très connu (ativan). Le
premier me fit part quelques jours plus tard qu’il se réveillait
chaque nuit vers 2 ou 3 h du matin, qu’il se mettait à trembler et ne
pouvait plus se rendormir. Je n’y comprenais rien. Un deuxième me
raconta la même chose après quelques jours et un troisième au bout d’une
semaine. C’est alors que je fis ma petite enquête. En ajoutant sur
mes ordonnances: "pas de substituts", tout est rentré dans l’ordre.
Les médicaments traînent autant dans le
fond des tiroirs, dans les armoires des patients, au fond des
"sacoches", que sur les tablettes des pharmaciens. Ils perdent
leur efficacité et leurs propriétés chimiques, deviennent caduques et
occasionnellement dangereux. Les malades eux-mêmes, au moindre bobo,
jonglent avec des médicaments qui peuvent être nocifs, et les
engouffrent comme s’il ne s’agissait que de simples pastilles de
menthe. On se les passe imprudemment de l’un à l’autre, on joue au
docteur et on les change de contenants avec les risques que cela
comporte.
Il y a tellement de médicaments en
circulation que, si on les jetait tous à la mer, ce serait un grand
bienfait pour l’humanité et un grand malheur pour les poissons... .
D’un autre côté, si on cessait de boire
et de fumer et si on s’alimentait mieux, la moitié des hôpitaux
fermeraient leurs portes et les compagnies pharmaceutiques feraient
faillite.
Le malade, à qui le médecin refuse une
médication, court bien vite ailleurs chercher une ordonnance médicale.
Il fait le circuit des docteurs, utilise le subterfuge et parfois même
en demande sous de fausses représentations. Il est vrai que pour un
médecin, ce n’est pas très populaire, surtout de nos jours, de se
borner à prescrire seulement une diète (voir "La figure pleine de
boutons"), d’intervenir dans la routine quotidienne d’un
patient et de l’inciter à changer son mode de vie. Le malade s’attend
à une ordonnance, telle est sa mentalité. Pourtant les médicaments
diminuent l’autodéfense de l’organisme et moins un organe
travaille, plus il dégénère.
Il ne faut pas minimiser le danger de prendre
des médicaments à tort et à travers. Même en très faible quantité,
ils peuvent déclencher des réactions anaphylactiques, c’est-à-dire
d’intolérance, et parfois la mort. On se rappelle le fameux
tranquillisant, la "thalidomide", supposé anodin qui,
administré aux femmes enceintes a marqué toute une génération en
faisant naître des enfants difformes.
Apparaîtront bientôt les maladies
thérapeutiques qui se situeront par ordre de fréquence après les
maladies cardiaques, le cancer et les accidents d’autos. Elles sont la
conséquence logique de l’introduction dans le système de substances
chimiques qui perturbent la physiologie et intoxiquent l’organisme.
On sait que parfois il faut payer une
soi-disant guérison ou une simple amélioration au prix d’une
infirmité due à la médication. On connaît les effets merveilleux de
la cortisone, des antibiotiques, des sulfamides, des sels d’or, mais
sait-on également combien leur utilisation peut être dangereuse? Ils
ont des effets secondaires qui peuvent mettre la vie en danger et
provoquer des maladies plus graves que celles pour lesquelles on les
prescrit.
Là encore, la voie d’administration joue
un rôle important. "La prise quotidienne de cortisone en
comprimés, à dose décroissante à long terme, serait plus nocive que
l’injectable occasionnel", m’a confié une autorité médicale
mondiale.
La première réaction du médecin est
souvent de prescrire un médicament contre les symptômes plutôt
que de rechercher les causes du mal, de questionner, d’écouter,
de donner de petits conseils qui ne coûtent rien et de s’attaquer
logiquement aux causes.
On a la main trop leste pour sauter sur le
bloc à ordonnances. On capitule devant la demande du consommateur et on
n’a pas le cran de s’imposer.
C’est ce qui a fait dire à des critiques
que la "conscience professionnelle est à la baisse, et qu’on
se contente de fixer aux patients un nouveau rendez-vous en leur mettant
dans la main une petite poignée de pilules ou une ordonnance
symptomatique."
LE
GLUCONATE DE CALCIUM INTRAVEINEUX
DANS LES CAS D’ÉPUISEMENT ET DE DÉPRESSION
NERVEUSE
C’est de mon père, médecin, que je
détiens, depuis ma première année de pratique, un secret médical
qu’il a reçu du Dr Alexis Carreil, prix Nobel 1912 et auteur de
"L’homme cet inconnu". Il fut son adjudant à l’hôpital
Saint-Cloud de Paris, durant la première guerre mondiale.
"Ce médicament fait des miracles dans
les cas de dépression nerveuse aiguë, d’asthénie nerveuse, d’épuisement,
d’hypotension et de débilité générale," m’avait-il dit.
Il s’en servait couramment chez les grands blessés de guerre. Ce
fut pour moi le meilleur tonique d’urgence de mon arsenal
thérapeutique.
J’ai l’expérience d’une bonne centaine
de cas remarquables qui en ont bénéficié. Entre autres, ce
contremaître d’une entreprise forestière qui avait 28 hommes sous
ses ordres et qui, un soir, arriva en dépression aiguë. "Claude,
aide-moi, je t’en supplie, je te jure qu’il va m’arriver malheur.
J’ai failli me jeter en bas du pont, tout à l’heure,
aide-moi!" Je pensai aussitôt au secret de "papa" et lui
administrai 10 cc de calcium intraveineux.
Sans avoir pris aucune autre médication,
il passa une excellente nuit et revint le lendemain matin le sourire aux
lèvres. En quatre ou cinq jours, il était remis sur pieds. Il
vit encore et pourrait en témoigner.
Quelle comparaison de médecine avec la
kyrielle de valium, de librium, d’ativan, d’anxiolytiques avec
lesquels on joue au yo-yo en les alternant avec des antidépresseurs.
Il est très curieux de constater que même
la Compagnie Sandoz, qui fabrique ce médicament en Europe et au
Canada, n’ait jamais mentionné dans sa publicité l’indication
thérapeutique dont je viens de vous faire part.
En homéopathie, on découvre avec
étonnement et avec beaucoup de respect qu’il existe une relation
extrêmement subtile et étroite entre ce qu’on appelle le calcium et
le mental profond, le niveau émotionnel profond de l’être.
Le calcium est le cinquième élément en
importance du corps humain. C’est un minéral essentiel au maintien de
l’intégrité fonctionnelle des systèmes nerveux, musculaires et
osseux ainsi qu’à la perméabilité de la membrane cellulaire.
C’est le tonique le plus pur du système
nerveux central. C’est un reconstituant extraordinaire, en même temps
qu’un régulateur NATUREL de la fonction nerveuse, et je souligne le
mot NATUREL.
Permettez-moi un retour en arrière sur mon
parallèle entre le corps humain et l’automobile.
Si par un rude froid d’hiver vous essayez
de démarrer votre moteur gelé, que la batterie est trop faible pour
faire tourner le moteur et que le démarreur "cliquette", c’est
qu’il n’y a pas suffisamment d’électricité pour amener le feu
aux bougies et déclencher cette petite explosion que vous espérez en
vous serrant les dents! N’oubliez pas les 11 km de câblage, de fibres
nerveuses dans votre organisme ni les 6 watts d’électricité que vous
possédez... .
En extrapolant, injecter du calcium
intraveineux, c’est tout simplement redonner une charge électrique à
votre batterie. Quand l’influx est bon, tout va!
Vos onze km de câblage transportent l’influx
électrique et redonnent la tonicité nécessaire à vos 13 milliards de
fibres nerveuses synchronisées. N’est-ce pas plus logique que de
jouer au yo-yo avec des anxiolytiques, des tranquillisants et des
antidépresseurs?
La médecine conventionnelle utilise le
calcium injectable dans la tétanie, l’hypocalcémie, les crampes
consécutives aux piqûres d’araignée (la veuve noire), l’intoxication
au fluorure ou à l’acide oxalique, les contractures de l’hyperthermie,
les dépressions extrêmement rares dues à un surdosage de sulfate de
magnésium, l’ostéomalacie, le rachitisme, la colique de plomb et que
sais-je encore?
Il n’y a aucune contre-indication si ce n’est
un traitement à la digitaline, aux tétracyclines (antibiotiques) ou la
présence de métastases osseuses.
Avant de jouer avec le régulateur
(anxiolytiques et antidépresseurs) il faut s’assurer qu’il y a du
feu et qu’il y en a suffisamment. Un système nerveux à terre, c’est
une batterie "caput"... !
J’ai l’expérience de plusieurs centaines
de cas qui ont réagi merveilleusement aux injections de gluconate de
calcium dans des cas de dépression nerveuse et d’épuisement. Voici
un cas typique de dépression nerveuse post-partum (après un
accouchement.)
Il s’agit d’une jeune maman de 23 ans qui
se retrouve au lendemain de son accouchement épuisée, démoralisée.
Dans les semaines qui suivent, on ne peut même plus la laisser seule
avec sa fillette. "Je la renverrais bien d’où elle vient",
ne cesse-t-elle de répéter.
Anorexie, insomnie, pleurs, dépression
complètent le tableau. De nombreuses consultations en psychiatrie ne l’améliorent
guère. La famille est totalement découragée. On m’amène la
patiente.
Quelques jours après les premières
injections de Calcium, elle accepte enfin son enfant, recommence à
sourire et devient une mère exemplaire.
FAITS À SOULIGNER:
Une législation médicale
américaine de la Food and Drug Administration (F.D.A.) permet à un
médecin d’utiliser un médicament déjà reconnu pour une indication
non reconnue. Cette attitude semble acceptée au Canada par la Health
Protection Branch.
En extrapolant, la technique de la Thérapie
Insulino-Cellulaire est basée sur une indication encore méconnue d’un
médicament, l’Insuline, déjà reconnue pour traiter le diabète.
"Neither an investigational new drug
application nor reports to the Food and Drug Administration are required
for a physician to use a noninvestigational drug that is already
available to him, whether or not it is to be used in an unapproved way
or for investigation:" (Ni une demande d'investigation de
nouveau médicament, ni des rapports à la « Food and Drug
Administration » ne sont exigés d’un médecin pour utiliser un
médicament approuvé qui est déjà à sa disposition, qu’il soit
utilisé d’une façon non-approuvée ou pour la recherche.)
MANUEL D’UTILISATION
Revenons-en à notre voiture.
Avec de l’essence et de l’huile (l’alimentation)
conformes aux normes recommandées (la diète), avec des soins et de l’entretien
(régime de vie) du moteur (le cœur), du châssis (200 os, la colonne
vertébrale), de la carrosserie (500 muscles, le revêtement cutané),
de la suspension (articulations), des amortisseurs (les gaines, les
muscles et les tendons), du système électrique (le système nerveux),
du système de refroidissement le thermostat, (la peau), le radiateur
(les glandes sudoripares), de la tuyauterie (artères, veines, vaisseaux
lymphatiques et capillaires), des pneus (on marche sur des semelles de
caoutchouc), on peut faire des milliers de kilomètres sans problème
majeur à condition, bien sûr, qu’il n’y ait pas de défauts de
fabrication (infirmités, tares héréditaires), qu’on s’en serve
intelligemment (diète et régime de vie bien équilibrés) qu’on ne
laisse pas s’encrasser les différents systèmes, et qu’on nettoie
les filtres.
Attention: Il y a des automobiles qui
sortent de la chaîne de montage et qui ne fonctionnent pas bien.
Respectez votre corps autant que vous
respectez votre automobile. Ajoutez de l’huile s’il en manque, n’en
mettez pas plus qu’il faut, de peur de bloquer les gicleurs du
carburateur (hypercholestérolémie et infarctus.)
En s’amusant et en extrapolant, on
pourrait prolonger la comparaison à volonté: additifs (médicaments),
accélération et freinage (volonté), ancien générateur remplacé
aujourd’hui par l’alternateur (repos et récupération), régulateur
(anxiolytiques et antidépresseurs), changement d'huile (drainage
hépatique), changement de pièces (greffes d’organes), "cruise
control" (vitesse, rythme de vie), décabossage (greffe de
peau), "bosselage" (chirurgie esthétique par
addition), essuie-glaces (paupières), kick down (adrénaline de
la glande surrénale), klaxon (voix, organe de prédilection des
femmes... !), pare-brise (verres clairs), pare-chocs avant (bras et
mains), arrière (siège), peinture (teint, couleur de la peau), petites
retouches (rouge à lèvres, font de teint, fard à paupières),
camouflage (cheveux teints), phares (accommodation des pupilles à la
noirceur), phares à brume (verres fumés), réparation mécanique
(chirurgie), rétroviseur (regard sur mode de vie antérieur, examen de
conscience), toit (voûte crânienne), toit ouvrant ("chackra"
du sommet), vérification des cadrans, température, pression d’huile
(thermomètre, sphygmomanomètre) etc. à l’infini.
Ce corps merveilleux, dont il faut être
conscient et reconnaissant, "fabriqué" de 60.000 milliards
de cellules, contient, uniquement dans son sang, 22 milliards de
cellules renfermant chacune des millions de molécules oscillant chacune
10 millions de fois à la seconde.
Dieu seul pouvait créer une telle merveille,
la plus extraordinaire de toutes.
UN ÉTAT
D'INTOXICATION
Les médicaments (les additifs
et les petites réparations) ne sont là que pour corriger une situation
détériorée (la maladie) par un manque de soins à cette merveilleuse
voiture qu’est le corps humain. Vient un temps où votre
automobile a besoin de plus qu’une simple vérification (check-up),
une mise au point (tune-up) ou un alignement. Vous l’avez
tellement négligée, il y a tellement de réparations importantes qui s’imposent,
votre moteur "barbotte" (palpitations), il chauffe
(élévation de température), les valves (cardiaques) claquent, l’alternateur
ne charge plus (dépression nerveuse), les filtres sont bloqués à tel
point que votre voiture est sur le point de vous abandonner au prochain
tournant (infarctus, hémorragie cérébrale, paralysie, colique
hépatique ou néphrétique, hémorragie massive.) Vous avez
imprudemment dévissé la lampe qui s’allumait au tableau de bord
pour vous indiquer qu’il y avait danger.
Le garagiste, comme le médecin, qui vous
voit sans cesse revenir avec votre "paquet" de problèmes et
de ferraille, ne sait vraiment plus par où commencer. Il court au plus
pressé, vérifie les freins, ajoute de l’huile, de l’antigel,
change un pneu, redonne une charge à la batterie, change quelques
bougies (c’est assez difficile dans votre cas...), vérifie les
pointes pour vous permettre de faire ce voyage urgent.
Mécontent de vous-même, traînant votre
carcasse, c’est bien le mot, vous voyez un problème en entraîner
nécessairement un autre. C’est l’état d’intoxication.
Vos organes émonctoriaux sont épuisés. Ils ne peuvent plus jouer leur
rôle. Ils laissent passer trop de toxine dans votre sang.
LA
SOLUTION: LA DÉSINTOXICATION PAR LA T.I.C.
Si on observe les animaux dans la nature, il
n’est pas rare de voir les chiens au printemps se gaver d’herbe
tendre au point d’en vomir et de se vider ou encore les chats
domestiques dévorer les plantes d’intérieur dans le même but: c’est
le grand ménage du printemps.
Ici la désintoxication n’a pas le sens
habituel qu’on lui donne lorsqu’on parle de drogue, d’alcool, de
cigarette, de médicaments, de substances toxiques inhalées, quoiqu’elle
excelle dans tous ces cas.
Parce que nos problèmes naissent d’un
mauvais fonctionnement de notre système d’épuration, il faut
commencer logiquement par nettoyer l’intestin, le foie, les poumons,
les reins, la peau et améliorer la circulation sanguine.
Elle est un peu comparable au mécanicien qui
nettoie les pièces du moteur avant d’en vérifier et d’en rétablir
le bon fonctionnement.
C’est la première partie et la partie la
plus importante du traitement. Selon moi, il faut attribuer à la
désintoxication environ 55% du succès remporté. Cette thérapie
unique au monde est la plus puissante, la plus rapide qui soit: Elle
atteint en quelques jours ce que plusieurs semaines de diète et de
jeûne ne peuvent apporter du côté désintoxication.
Elle comporte en premier lieu par rapport à
l’intestin, une purgation la veille, un lavement spécial le
matin même des deux grands traitements. Avant de faire le plein, il
faut faire le vide. C’est la logique même.
Elle se complète par tous les
médicaments qui stimulent les fonctions d’élimination des autres
filtres: le foie, le rein, les poumons, la peau, le système
circulatoire tout entier. Elle comporte des cholagogues, des
cholérétiques, des diurétiques, des antiseptiques urinaires et
respiratoires, des mucolytiques, des vaso-dilatateurs pour n’en citer
que quelques-uns. Ces médicaments sont choisis en association avec ceux
de la seconde partie du traitement, qui est la partie curative de la
maladie ou des pathologies en cause.
De plus, nous n’utilisons que des doses
utiles, c’est-à-dire les plus petites doses possibles,
potentialisées par l’insuline, de médicaments susceptibles de
produire le maximum d’effet.
L’EXAMEN
MÉDICAL QUE JE PRÉCONISE
Après une anamnèse complète des
antécédents personnels et héréditaires, des faits entourant la
naissance, des maladies d’enfance, des allergies personnelles, des
traumatismes reçus, des opérations subies, des hospitalisations
antérieures, on passe à une étude poussée des habitudes
alimentaires, du régime de vie, du milieu de travail, des activités de
travail et des loisirs, des conditions d’apparition de la maladie, de
son évolution, des diagnostics posés, des traitements reçus, des
résultats obtenus, des consultations avec des spécialistes et des
manifestations actuelles, des interventions chirurgicales, malgré et
depuis les médications prescrites.
On fait subir au patient en second lieu un questionnaire
symptomatologique dirigé et très poussé de tous les
systèmes: les yeux, le nez, la gorge, les oreilles, l’appareil
respiratoire, les systèmes cardio-vasculaire, digestif,
génito-urinaire, nerveux, locomoteur, endocrinien. On questionne et
on sous-questionne. Parfois, le patient est loquace, parfois il est
avare de renseignements. Le questionnaire, c’est notre principal
outil de travail. On va à la pêche. Parfois, le patient échappe
un mot banal, fournit un renseignement insignifiant à ses yeux mais
excessivement précieux pour le médecin. C’est ce qu’on
recherche: des points de repère, des détails qui nous mettent sur
la piste.
En troisième lieu, on procède à l’examen
physique le plus complet possible de la tête aux pieds. Certains
détails d’observation que trop de médecins négligent parfois en
disent souvent plus long qu’un questionnaire. Il m’est arrivé
occasionnellement de défiler à une patiente que je voyais pour la
première fois, la majorité de ses problèmes et de ses symptômes,
avant qu’elle n’ait ouvert la bouche et cela à son grand
étonnement: c’était par déduction d’observations précises qui ne
mentent ordinairement pas. (Voir: Mais qui vous a dit cela?)
En regard de la Thérapie
Insulino-Cellulaire, les moindres détails ont parfois beaucoup d’importance
parce qu’ils nous mettent sur une nouvelle piste ou bien confirment
les diagnostics possibles, par exemple, une peau trop grasse ou trop
sèche, des ongles cassants ou striés, des doigts déformés, une
dentition absente, une langue saburrale, une cornée jaunâtre, des
cholestéatomes aux paupières, des extrémités froides, œdémateuses,
la présence de varices ou d’hémorroïdes, un côlon douloureux à la
palpation. Il s’agit d’interpréter les symptômes en regard de l’examen
physique complet de tous les systèmes, ce qui peut comprendre
également un toucher rectal et un examen gynécologique.
Enfin, l’examen des dossiers antérieurs
obtenus avec l'autorisation du patient, les examens de laboratoire, les
électrocardiogrammes, les radiographies récentes ou anciennes, les
consultations auprès de spécialistes ou toute autre donnée
significative terminent ordinairement l’étude globale du sujet.
S’il se présente un cas particulier, si
une consultation peut m’éclairer, je recherche les spécialistes
qui peuvent m’aider. Rien n’est fait à la légère et mes dossiers
sont là pour le prouver. Je n’ai jamais pris un cas de T.I.C. à la
légère, y mettant le sérieux et le temps nécessaire sans me prendre
au sérieux... .
Un tel examen me demande ordinairement de deux
à quatre heures. Je sélectionne les cas. La plupart ont fait la
tournée des omnipraticiens, des spécialistes, des chimiques, de
quelques hôpitaux et se sont retrouvés avec les mêmes problèmes
après une foule d’examens identiques répétés et un nombre
considérable d’ordonnances, avec leur "paquet" de
problèmes sur le dos.
Une jeune fille dans la vingtaine m’a
fourni une liste de près de quatre-vingt-dix médecins et de dix
spécialistes consultés, avec une pleine fiche d’ordonnances. Elle s’est
présentée chez-moi avec son ami: Ils avaient tous deux signé un
pacte de suicide, que j’ai conservé au dossier.
J’étais sa dernière chance, leur
dernière chance... . Ils sont très heureux maintenant.
PRÉPARATION
DE LA FICHE THÉRAPEUTIQUE QUE J’AI ADOPTÉE
Préparation de la fiche thérapeutique et du
traitement
|
J’ai été surpris de constater comme différentes
maladies chroniques se rejoignent au niveau des causes. Elles ont
souvent des conséquences analogues. Quand le dossier est complété,
les diagnostics sont posés par ordre d’importance et la fiche
thérapeutique est préparée selon les coordonnées du patient. Elle
doit tenir compte de tous les éléments diagnostiques et combiner les
meilleurs atouts de la thérapeutique moderne. Ceci veut dire que
chaque traitement est un traitement spécialement préparé pour le
patient, dans le moment présent, comme un habit fait sur mesure. Il
tient compte du "terrain" et de tous les facteurs qui peuvent
le modifier: poids, âge, sexe, tension artérielle, allergies,
intolérances, état respiratoire, génito-urinaire, nerveux,
locomoteur, cardio-rénal et circulatoire, maladies antérieures et
actuelles, tares héréditaires, évolution de la maladie, traitements
antérieurs, implications des différents systèmes l’un sur l’autre,
etc.
La préparation de la fiche thérapeutique, c’est-à-dire
le choix des médicaments, de leurs dosages et des voies d‘administration,
prend parfois plusieurs heures et ne se fait pas à la légère. J’ai
déjà mis plus de trente heures pour étudier un seul cas de céphalée
rebelle (voir maladies neurologiques cas # 10.) Il n’existe pas
de traitements catalogués d’avance pour telle ou telle maladie.
Nous suivons une technique qui nous guide
dans cette préparation et dans le choix des médicaments. Les
maladies chroniques se présentent très rarement comme des
maladies isolées. Elles sont ordinairement associées à d’autres
conditions morbides qui sont également le fruit d’un
dysfonctionnement de l’organisme. Autrement dit, les différents
systèmes de notre organisme ont une interdépendance l’un sur l’autre,
et un trouble initial à un organe peut engendrer un autre problème
ailleurs.
MON
INDICATIF DE TRAITEMENT DE T.I.C.
En fait, je ne l’ai appliqué que dans un très faible pourcentage
de ma clientèle, et encore avec beaucoup de discernement, de prudence,
d’attention et de circonspection.
Ce n’est que dans des cas d’exception où je considérais de mon
devoir d’intervenir, par exemple dans des cas chroniques où la
médecine conventionnelle, plafonnée entre des calmants et des
traitements symptomatiques, s’avouait impuissante; chez des
patients ayant fait la tournée des spécialistes, de la médecine
orthodoxe ou non, conventionnelle ou alternative; chez des cas
irrécupérables qu’on abandonnait ou qui capitulaient devant l’insuccès;
chez des cas complexes où on se perdait devant la multitude de
diagnostics. C’était les cas les plus passionnants que j’adorais
déchiffrer (voir: première patiente au Québec et migraines et
céphalées, cas # 10.)
Il y avait toujours quelque chose à faire, et je vous le prouverai
dans ma présentation des cas. C’est dans des cas d’exception que j’ai
agi ainsi, considérant qu’il est toujours possible d’ajouter aux
connaissances actuelles et aux résultats déjà obtenus.
Tous mes dossiers, dans un pourcentage qui dépasse 90%, conviennent
d’une nette amélioration, habituellement contresignée par le
patient. Ce sont des résultats probants dont la valeur ne repose pas
sur une croyance naïve mais consciente et ils peuvent être
assermentés. Ils reflètent la pure vérité et parlent d’eux-mêmes.
Cette thérapie apporte une amélioration parfois très marquée en
très peu de temps. Malheureusement, le patient se sent trop bien, et
se met aussitôt à tricher d’où un certain pourcentage d’insuccès.
Sitôt de retour chez lui, il met vite de côté son régime hypotoxique
et hypograisseux, néglige sa diète, se permet de petits abus et
reprend son ancien train de vie. "Bah! Se dit-il, je reprendrai
une autre cure!" C’est un peu comme l’obèse qui vient de
perdre 20 kg. Tout heureux, il se remet à manger!
Selon la gravité du cas et le temps qu’il a fallu à la maladie
pour s’installer, il faudrait qu’il se surveille des mois,
des années, la vie durant selon ses diathèses familiales, ses propres
tendances etc., tel que déjà mentionné.
La rémission d’un ensemble important de symptômes se manifeste
rapidement dans n’importe quelle maladie selon la concomitance d’autres
problèmes. Les troubles respiratoires et circulatoires sont les
premiers à battre en retraite face à l’offensive orchestrée de la
T.I.C. Selon moi, c’est une technique capable de pouvoir lutter
avantageusement contre plusieurs maladies à la fois.
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