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Read "Medicine of Hope" in English translation.

Pour acheter un exemplaire de l'édition originale (limitée) de ce livre, adresser un e-mail à Mr Normand Paquette: paquettenormand@hotmail.com

To buy this book in the original French limited edition, e-mail to 
Mr. Normand Paquette: paquettenormand@hotmail.com 

Médecine de l’Espoir 7

MALADIES RHUMATISMALES

Les maladies rhumatismales sont des maladies qui nous guettent tout au long de notre existence, à partir de six semaines, telles l’arthrite rhumatoïde juvénile, jusqu’à l’arthrose dégénérative du vieillard. Les statistiques rapportent que plus de 5% de la population canadienne souffre d’arthrite au sens large du mot: 25.000 enfants n’ont pas encore 13 ans, 300.000 adultes n’ont pas encore 45 ans. Environ 30 millions d’Américains en souffriraient. (Statistiques des années 1980).

Précisons brièvement que le mot générique "rhumatisme" englobe tous les problèmes des os, des muscles, des tendons, des ligaments, tandis que le mot arthrite se limite uniquement aux articulations. La médecine différencie une centaine de maladies arthritiques qu’elle classifie en huit groupes: la synovite ou inflammation de la membrane qui entoure les articulations (dont l’arthrite rhumatoïde est la plus répandue), l’arthrite articulaire, l’arthrite à cristaux (dont la goutte), les infections articulaires (à gonocoques ou staphylocoques), la dégénérescence du cartilage (arthrose), l’inflammation musculaire (rare), les conditions localisées (telles le torticolis et le lumbago) ou généralisées. La complexité des causes de l’arthrite ne cesse de soulever un flot d’hypothèses. Chacun y va de son explication: infectieuse, hormonale, auto-immunitaire, héréditaire, psychologique (le stress), traumatique, climatique.

Cependant, même au dire des experts, des rhumatologues, la diète n’a rien à faire sinon qu’elle doit être équilibrée. Je ne suis pas du tout d’accord. L’alimentation est la porte d’entrée de ce groupe de maladies comme des autres maladies. Il est tout de même curieux de constater que les crises d’arthrite surviennent à l’occasion d’abus alimentaires, quand on mange du porc, quand on prend de l’alcool, du vin, des mets épicés, en un mot lorsqu’on surcharge son foie. Malgré tout, les experts s’entêtent à nous dire que la diète ne compte pas et qu’on peut manger de tout.

Les patients chroniques souffrant d’arthrite que j’ai traités par la T.I.C. présentaient tous des problèmes de dyskinésie biliaire, une tendance à la constipation chronique et des signes d’hépatisme. Ces personnes s’alimentaient mal. L’arthrite est rarement une maladie isolée. Il y a presque toujours d’autres états pathologiques associés ou sous-jacents que trop de médecins négligent, même des rhumatologues réputés, et qui doivent nous éclairer lors d’un diagnostic. Ils ont ordinairement un lien étiologique (causal) avec cette manifestation articulaire.

On met sur le dos de l’hérédité une foule de causes à tous nos maux. Ne serait-ce pas plutôt le milieu dans lequel on vit, le rythme de vie déréglé, l’opulence, les mauvaises habitudes alimentaires qu’on prend dès la naissance, qu’on développe et qu’on se transmet de famille en famille?

Le bébé obèse mal alimenté qu’on bourre tel un hippopotame à lui en faire sortir la nourriture par les oreilles, se voit incruster des habitudes alimentaires qu’il n’est pas près de perdre, et se prépare déjà un bien triste bilan de santé. Il devient boulimique et plus tard complexé.

Toutes les méthodes ont été essayées pour vaincre cette terrible maladie qu’est l’arthrite et cela dans les différentes sphères de la médecine: acupuncture, chiropractie, ostéopathie, homéopathie. Elles n’ont eu pour la plupart que des résultats décevants.

L’articulation malade tuméfiée, chaude, rouge et douloureuse, n’est que la manifestation de la maladie et non la maladie elle-même.

Un traitement rationnel ne doit pas se limiter à ne regarder et à ne traiter que l’articulation malade. Il faut regarder au-delà des symptômes. Il faut se servir du grand angle plutôt que du téléobjectif. Il faut traiter l’organisme tout entier en commençant par une bonne désintoxication.

La T.I.C. également s’est mise à l’œuvre et voici quelques résultats qu’elle a obtenus, en traitant le malade plutôt que la maladie.

 

Cas # 1: G.R.

Restaurateur de 39 ans

Diagnostic: arthrite rhumatoïde.

Ce cas mérite, à la vérité, d’être cité. Je me souviendrai toujours de ce matin de septembre 1977 où j’ai vu cet homme se présenter pour la première fois à mon bureau dans un état lamentable d’arthrite rhumatoïde: il avançait en titubant, marchant, disait-il, "sur des billes", les pieds ronds d’inflammation et de douleur et ses jambes le supportant à peine. Il avait la tète à "midi moins cinq", ne pouvant redresser la colonne cervicale à cause de la douleur. Quand il m’a tendu la main, il n’a pu serrer la mienne, et m’a demandé de ne pas serrer la sienne. Il ne pouvait ni fermer les mains ni les ouvrir complètement. Les coudes n’avaient ni extension ni flexion complètes. Les épaules et la tète faisaient corps avec le thorax, tournant avec lui, limitées dans leurs mouvements. Il en était de même des genoux et des chevilles. Malgré tout, le patient affichait un sourire triste mais sympathique.

Depuis sept ans, déclaré invalide par la médecine conventionnelle, il faisait la navette de chez lui à Toronto, à 500 milles (800 km) où le Dr A.F., rhumatologue, s’en occupait avec beaucoup de sympathie et d’amitié. Il ponctionnait les articulations trop douloureuses et l’hospitalisait durant des semaines. En sept ans, il avait passé plus de temps à l’hôpital que chez lui, et avait même été immobilisé en chaise roulante durant dix mois. Il recevait de la cortisone depuis trois ans, et avait été traité aux sels d’or durant deux ans sans amélioration valable. Il recevait également de la physiothérapie depuis cinq ans.

Son épouse s’occupait de gérer son restaurant et ses 27 employés, tandis que lui ne pouvait même pas tenir un crayon entre ses doigts pour faire la comptabilité.

Pour le sortir du lit le matin, il fallait d’abord l’asseoir sur le bord du lit, et parfois, après une demi-heure, il réussissait à faire quelques pas, car il ne manquait pas de courage et ne voulait pas s’ankyloser. Pour la nuit, on lui avait fabriqué des attelles métalliques pour empêcher ses doigts de se recroqueviller, attelles qu’il m’a laissées... en "ex voto!" A son arrivée, il ne pouvait pas conduire sa propre voiture, ne pouvant tenir le volant, ni tourner la clef de contact, ni appuyer sur l’accélérateur et les freins, ni monter ni descendre seul de voiture. Il ne pouvait même pas tenir un peigne dans ses doigts pour se coiffer, ni lever le bras pour le faire, ni se raser.

J’ai vu beaucoup de cas bien tristes d’arthrite durant ma carrière, et j’en ai moi-même assez souffert durant dix ans pour en parler avec expérience, mais je n’avais jamais vu un tel cas. La T.I.C. a été pour lui vraiment merveilleuse. Après trois semaines de traitement, je l’invitais à la chasse à l’orignal et il me suivait dans les sentiers, enjambant les obstacles... et il pouvait tirer de la carabine! Ses doigts, son cou, ses épaules, ses jambes le lui permettaient. Il était resplendissant de bonheur. Il a été un patient courageux, entêté pour guérir et a suivi rigoureusement la diète et le régime de vie que je lui ai imposés.

Rejoint au téléphone le 8 mai 1994, il n’a jamais plus été hospitalisé pour arthrite depuis son traitement de T.I.C., en 1977. Chauffeur de taxi depuis cinq ans, il vient de prendre sa retraite le 1er mai 1994. Il m’a autorisé avec plaisir à divulguer son nom: "Gerry Roy", Cochrane, Ontario.

 

Cas # 2: F.F.

Mécanicien de 40 ans

Diagnostic: lombo-sciatalgies, arthrose lombaire, cas d’accident de travail.

Écrasé accidentellement sous une automobile dans un garage. Douleurs lombaires et sciatiques depuis seize ans, aggravées depuis cinq ans. A subi trois opérations à la colonne lombaire et a suivi des traitements de physiothérapie sans amélioration notable de son état. Incapacité totale durant de longs mois. Après seulement deux traitements de T.I.C., de retour chez lui, le patient est jugé apte par son médecin à retourner au travail.

 

Cas # 3: C.G.

Imprimeur de 37 ans

Diagnostic: arthrite rhumatoïde depuis 2 ans.

Solide gaillard et bon sportif en arrêt de travail depuis onze mois pour cause d’arthrite. Il a été hospitalisé pour cette maladie à six reprises et traité par une équipe de rhumatologues. A reçu des doses massives de cortisone et de sels d’or avec légère amélioration. Lors du premier examen, douleurs importantes principalement aux genoux, aux mains, aux coudes, aux épaules et à la colonne cervicale. Le matin, au lever, le patient doit longer les murs et y prendre appui pour réussir à marcher.

Moins de 24 heures après le premier traitement de T.I.C., il fait de la course à pied, et dit se sentir "comme un jeune homme".

Un mois plus tard, il a conservé une amélioration qu’il estime à 75%, a repris ses activités normales et a même passé la journée précédente à jouer au golf sur un terrain humide.

 

Cas # 4: R.L.

Cultivateur de 42 ans

Diagnostic: arthrite rhumatoïde.

Douleurs articulaires depuis 5 ans, touchant surtout les membres inférieurs, les épaules, la colonne cervicale et dorso-lombaire. En souffre chaque jour depuis 2 ans. Ne réussit à dormir qu’avec des sédatifs. Après plusieurs consultations chez des médecins de la région et des orthopédistes, on lui dit qu’il n’y a plus rien à faire. On lui recommande de vendre sa terre, de demander une pension d’invalidité, de s’acheter une petite maison au village, de ne plus travailler et de faire un peu d’exercice pour ne pas s’ankyloser.

Le patient reçoit deux traitements de T.I.C. avec un soulagement incroyable. Un an plus tard, il avoue "ne pas avoir été en aussi bonne forme depuis six ans, avoir travaillé comme jamais sur sa ferme, même au froid et à l’humidité, et n’avoir pris aucun médicament depuis ses deux traitements". Il s’est même permis de faire du sport d’hiver.

 

Cas # 5: E.B.

Agent de conservation de 42 ans

Diagnostic: arthrite rhumatoïde depuis douze ans.

Toutes les articulations sauf celles de la colonne sont atteintes. Trois rhumatologues lui avouent "qu’ils ne peuvent plus faire grand chose pour lui". Une semaine après le premier traitement de T.I.C., amélioration de son état général de 50%, et de 90% aux épaules, aux genoux, aux chevilles et aux orteils. Par la suite, malgré qu’il doive s’exposer de façon prolongée au froid en raison de son travail de surveillance en autoneige son état s’améliore de façon incroyable. Malgré ce changement spectaculaire, reprise des symptômes après quelques années, après avoir abandonné son régime de vie. Il en est conscient.

 

Cas # 6: F.C.

Guide touristique de 49 ans

Diagnostic: polyarthrite.

Douleurs articulaires depuis l’âge de 29 ans, chaque jour, aux doigts, aux poignets, aux épaules, aux chevilles, à la colonne cervicodorsale.

A la suite d’un traitement de T.I.C., aucune crise durant 3 ans. En abandonnant la diète recommandée, il a conservé l’amélioration obtenue malgré quelques rares crises d’arthrite.

 

Cas # 7: O.B.

Chauffeur de taxi de 68 ans

Diagnostic: polyarthrite depuis l’âge de 12 ans.

Depuis un an, les douleurs sont beaucoup plus aiguës aux doigts, aux mains, aux épaules, aux vertèbres cervicales et dorsales, aux genoux. Ne peut lever les bras. Ne peut se lever le matin qu’en se laissant rouler en bas du lit. A la suite de traitements de T.I.C., les douleurs disparaissent complètement et le patient ressent une amélioration générale surprenante.

 

Cas # 8: J.R.

Restaurateur de 48 ans

Diagnostic: arthrite rhumatoïde sévère récente (2 ans).

Depuis 20 mois, hospitalisation à 3 reprises, physiothérapie et 29 injections de sels d’or. Arrêt de travail depuis 9 mois par cause de maladie. Après traitement de T.I.C. peut retourner au travail dans les jours qui suivent. N’a pas cessé de travailler depuis 11 ans.

 

Cas # 9: V.M. (Victoire Munn)


Photo prise le troisième jour à Cap
Haïtien, après avoir escaladé la plus
haute montagne d'Haïti.

Ménagère de 65 ans

Diagnostic: Polyarthrite rhumatoïde depuis 10 ans.

Référence: Voir maladies respiratoires, cas # 15. Deux jours après son premier traitement de T.I.C., elle escalade la plus haute montagne d’Haïti sans douleur à la hanche.

 

Cas # 10: J.B.

Ménagère de 40 ans

Diagnostic: polyarthrite depuis 10 ans.

Depuis ses deux seuls traitements de T.I.C. il y a 9 ans, la patiente n’a jamais fait aucune crise d’arthrite ni pris de médicament. Fait remarquable et imprévisible, la patiente qui souffrait de surdité bilatérale depuis 30 ans a recouvré une acuité auditive presque normale au lendemain du deuxième traitement. Elle a annulé l’achat d’un appareil auditif.

 

Cas # 11: M.R.

Étudiant de 20 ans

Diagnostic: ostéo-arthrose et ostéomyélite chronique de la hanche gauche.

Début des problèmes il y a 7 ans, diagnostics confirmés il y a 3 mois par tomographie. Douleur vraiment insupportable depuis quelques mois, surtout en station debout prolongée ou en fin de journée. Les orthopédistes suggèrent trois solutions chirurgicales: ostéotomie (résection d’un morceau d’os), arthrodèse (blocage définitif de l’articulation) ou prothèse totale (remplacement de l’articulation).

A la suite des traitements reçus en T.I.C. il y a 16 ans, le patient a pu fonctionner jusqu’en novembre 1990, lorsqu’on lui a installé une prothèse totale de la hanche. C’est déjà une forte amélioration qui a retardé l’évolution de la maladie.

 

Cas # 12: N.M.

Ménagère de 46 ans

Diagnostic: arthrite rhumatoïde depuis 30 mois.

La douleur a atteint progressivement les deux mains, les deux coudes, le cou, les hanches, l’épaule gauche, les deux chevilles, les deux pieds. Ne peut fermer les mains et ne peut marcher qu’avec beaucoup de difficulté. Après le premier traitement de novembre 1977, elle note une amélioration franche qu’elle confirme à la télévision nationale le 30 décembre 1977, à l’émission de la C.B.C.: "The Story of a Doctor in Ferme-Neuve".

 

Cas # 13: R.S.

Camionneur de 37 ans

Diagnostic: arthrite traumatique de la hanche gauche, nécrose (mort des tissus) aseptique de la tête fémorale.

Luxation (déboîtement) de la hanche lors d’un accident en 1971. Ne peut marcher que 300 ou 400 mètres mais avec beaucoup de douleurs. Réveillé très souvent par la douleur la nuit, parfois en se retournant simplement dans son lit. Couché, il doit soulever sa jambe gauche en s’aidant du pied droit pour se lever. Doit changer continuellement de position lorsqu’il s’assied. Ne peut rester longtemps debout sans souffrir. L’orthopédiste veut bloquer définitivement son articulation (arthrodèse).

A la suite de traitements de T.I.C. en 1977, il fonctionne bien sans chirurgie durant douze ans jusqu’à un second accident en 1989: il se fait écraser la même hanche sous une roue de camion. Il doit subir une prothèse de la hanche (remplacement de l’articulation). Il y avait eu jusqu’alors une amélioration franche de 60%. Ça ne l’empêchait plus de marcher ni de travailler. Il avait pu reprendre son travail de camionneur.

 

Cas # 14: M.B


Photo prise le lendemain matin de
son premier traitement.  Elle
touche le sol de ses doigts et
peut lever bien haut les bras.

Ménagère de 60 ans

Diagnostic: polyarthrite rhumatoïde.

Toutes les articulations sont touchées. Ne peut se porter sur ses jambes, ne peut plier les bras ni fermer les mains. A son arrivée à la clinique, nous la transportons dans nos bras jusqu’à sa chambre, au deuxième étage. Au lendemain du premier traitement, elle descend l’escalier sans se tenir à la rampe, se penche, touche le plancher de ses doigts et lève bien haut les deux bras à notre grande stupéfaction. Elle peut plier les bras et fermer bien fort les mains.

 

Cas # 15: D.D.


Photo prise quelques jours
après le premier traitement.
C'est un nouvel exploit pour
elle: Elle peut couper son steak
seule. 

Ménagère de 61 ans

Diagnostic: arthrite rhumatoïde depuis 19 ans, arthrite déformante.

Patiente toute difforme qui arrive à la clinique d’Haïti en chaise roulante. Elle ne peut même pas se tenir debout. Douleurs à la colonne cervicale et lombaire, aux épaules, aux coudes, aux poignets, aux hanches, aux genoux, aux chevilles et aux pieds. Ne peut lever les bras ni se déplacer seule. Traitée à la cortisone durant 7 ans, ce qui déclenche chez elle de l’angine. Elle doit cesser d’en prendre. Acupuncture durant un an et demi et sels d’or depuis 4 ans. Prend des anti-inflammatoires.

Vingt-quatre heures après son premier traitement, elle réussit à bouger les doigts et commence à se tenir sur ses jambes. Après quarante-huit heures, elle se lève seule et est tout heureuse d’avoir pu faire seule sa "toilette intime", pour la première fois depuis 12 ans. Quelques jours plus tard, c’est un nouvel exploit pour elle: elle peut couper sa viande seule.

Elle évalue son amélioration à 80% aux genoux, à 70% au cou, à 40% aux épaules, à 50% au poignet droit et à 100% aux autres articulations.

Après un mois, elle ne ressent plus aucune douleur et ne prend plus aucun médicament.

Deux mois plus tard, je la revois dans sa région. Elle vient au-devant de moi en marchant et en souriant.

 

Cas # 16: R.L.


Photo prise à la clinique,
le troisième jour.  Elle
prend plaisir
à 
descendre seule le 
grand escalier.
 

Ménagère de 63 ans

Diagnostic: arthrite rhumatoïde depuis 20 ans.

C’est un bien triste cas d’arthrite rhumatoïde. Toutes les articulations sont touchées: colonne cervico-dorsale, épaules, coudes, genoux, pieds et chevilles. Les mains sont déformées depuis 15 ans et les poignets depuis trois ans.

Hospitalisée depuis 3 ans au même hôpital (et hospitalisée dans 5 hôpitaux différents auparavant), on l’a traitée à la cortisone et aux sels d’or. Troubles secondaires circulatoires et digestifs très sérieux.

Patiente arrivée à la clinique en chaise roulante. Ne peut se tenir debout, ni marcher, ni étendre les bras, ni fermer ni ouvrir les mains. Elle ne peut croiser ses jambes depuis quinze ans.

Elle est tout heureuse après quelques jours de descendre seule le grand escalier de la clinique et plus tard de croiser ses jambes. Elle peut fermer et ouvrir les mains.

 

MALADIES NEUROLOGIQUES

Il est un autre ordre de maladies dans lequel la T.I.C. a pu, dans les quelques cas où j’ai eu l’occasion de l’utiliser, apporter de l’amélioration là où la médecine conventionnelle avait échoué. Comme il est très rare que de tels cas s’adressent â moi, je n’ai pas encore l’expérience d’un nombre suffisant de cas pour établir des statistiques valables dans les cas de sclérose en plaques, ni d’hémiplégie (paralysie de la moitié du corps.) Toutefois, des trois seuls cas de sclérose en plaques que j’ai eu l’occasion de traiter, le premier mérite notre attention, car l’amélioration de 45% en deux ou trois semaines dont il est question a été déclarée et confirmée sous le sceau du serment, devant le président du Collège et un juge de la Cour Supérieure, le 7 juin 1978. Le deuxième cas que je vous présenterai est encore plus excitant (cas # 2). Il sera également question de quelques cas d’hernies discales (cas # 3, 4, 5, 7 et 8). Voici les faits. Mais tout d’abord, laissez-moi vous dire qu’avant d’entreprendre les traitements, j’avais bien averti les patients que je ne leur promettais rien. "Si on n’essaie jamais ce traitement, leur ai-je dit, on ne saura jamais s’il peut vous améliorer: c’est à vous de décider librement. J’ai l’impression qu’il réussira, sinon il ne vaudrait même pas la peine d’être essayé." Et ça a réussi.

 

Cas # 1: H.C. (décembre 1977)

Ménagère de 43 ans

Diagnostic: sclérose en plaques.

Il s’agit d’une patiente de 43 ans dont le diagnostic de sclérose en plaques a été confirmé en 1974 à l’hôpital Lake Shore de Pointe-Claire, mais dont les premières manifestations remontent à 1967. On sait que cette maladie évolue par poussées spontanément curables, mais récidive habituellement. L’âge du sujet se situe habituellement entre 20 et 35 ans et on retrouve fréquemment dans les antécédents, des vertiges, des fourmillements des extrémités, de l’amaurose (perte totale ou partielle de la vue) transitoire. Le diagnostic est ordinairement basé sur un syndrome neurologique: signes pyramidaux et cérébelleux (atteinte nerveuse dans la boite crânienne).

Quoiqu’il en soit, la patiente était reconnue comme souffrant de sclérose en plaques, diagnostic confirmé par téléphone au bureau des archives de Lake Shore Hospital. Après étude de son cas en regard de la T.I.C., j’ai confirmé à la patiente qu’il n’y avait aucun traitement spécifique reconnu pour traiter cette maladie, je lui ai dit qu’elle était parfaitement libre d’accepter ou de refuser le traitement que je lui suggérais au meilleur de mes connaissances. Car à la lumière de l’expérience que j’avais acquise depuis un an et demi, elle ne courait aucun risque sinon de voir son état général s’améliorer. Je lui ai même dit que si nous réussissions, ce serait une première mondiale, personne n’ayant à ce jour essayé de traiter cette maladie par la T.I.C. comme le Dr Pérez m’en avait fait part.

Dans le cas présent, les problèmes s’étaient manifestés sans préambule par double vision, du jour au lendemain, dix ans plus tôt. Cela avait duré environ deux mois, et après sept ans de rémission, réapparition de double vision en 1974, accompagnée d’insensibilité à l’avant-bras gauche, d’engourdissements à quatre doigts et à l’hémi-face gauche. Quelques mois plus tard, insensibilité lente et progressive au membre inférieur gauche, du genou au pied, si bien que la patiente "traîne la patte", ne contrôle plus ses mouvements et que le pied tourne fréquemment en varus (en dedans).

Il y a trois ans, la patiente pouvait marcher des kilomètres mais lors de l’examen, elle ne peut plus marcher que 100 mètres, se sent fatiguée et sans résistance. Elle se lève quelques heures le matin, mais passe le reste de la journée couchée, ne se levant même pas dans la soirée. Il y a deux mois, elle a essayé d’aller avec sa mère faire des achats et a dû rebrousser chemin après quelques minutes. La patiente accepte un premier traitement le 9 décembre 1977. Dans les jours qui suivent, on note une meilleure circulation sanguine. La patiente peut passer les journées debout. Elle marche avec beaucoup de facilité, et cela de façon remarquable, même le soft. A la veille de Noël, la patiente se rend seule faire ses courses, conduisant son automobile elle-même, y passe deux heures et revient seule. Elle n’est pas obligée de se coucher au retour.

Le 5 janvier 1978, lors de son quatrième et dernier traitement de T.I.C., elle me fait part qu’elle a passé toutes les Fêtes sans fatigue, malgré beaucoup de visiteurs à la maison, le surplus de travail et les veillées tardives, parfois jusqu’à 4 heures du matin. Son état général et sa résistance sont fortement améliorés.

Elle projette de faire du ski de fond, ce qu’elle n’a pu faire depuis 2 ans. Je n’ai pas revu cette patiente depuis juin 1978, et c’est dommage.

Si jamais la T.I.C. était reconnue et permise au Québec, j’ai l’impression que de nombreux cas pourraient à leur tour en bénéficier. Si on n’essaie jamais cette thérapie dans les maladies dites irréversibles, qui donc saura l’apprécier justement?

 

Cas # 2: A.P. (octobre 1977)

Garçon de café de 36 ans

Diagnostic: hémiplégie (paralysie de la moitié du corps) gauche consécutive à une hémorragie cérébrale.

Il s’agit d’un employé de bar très costaud, pesant 110,5 kg (243 lb.), jamais malade auparavant, qui, subitement le 11 mai 1976, a ressenti un engourdissement à la main gauche, au bras et à la figure, et principalement une douleur à l’œil gauche. En essayant de se lever, il sent l’engourdissement gagner le membre inférieur gauche et s’écroule par terre.

Transporté d’urgence à l’hôpital Queen Mary, on diagnostique très tôt une hémiplégie gauche consécutive à une hémorragie cérébrale. Après quatre semaines, on le transfère au Royal Victoria et à Catherine Booths pour sept autres semaines en physiothérapie où on lui réapprend à marcher. Par la suite, onze mois de physiothérapie et de traitements chez un chiropraticien, deux fois par semaine, ne l’améliorent guère.

Quand il se présente à mon bureau le 15 octobre 1977, il me raconte qu’on ne veut plus le traiter en physiothérapie, car lui a-t-on dit, "nous, on traite ceux qu’on peut améliorer. Va-t’en chez toi, il n’y a plus rien à faire".

Pour un homme hyperactif comme lui et dans la fleur de l’âge, cette réponse est démoralisante. Il n’est plus intéressé à faire ses exercices. Lors de cette première consultation, il marche avec peine, durant un maximum de 15 à 20 minutes et très lentement en traînant la jambe. Le membre supérieur gauche est totalement inerte, inactif. Sa main gauche est tellement spastique que s’il réussit avec grand effort à fermer la main, il lui faut déplier chaque doigt un à un, de l’autre main, pour les détendre.

Le lendemain de son premier traitement, il se présente pour son examen de contrôle que j’appelle également "profil de 24 heures". Je n’oublierai jamais le fait suivant: je suis en consultation dans mon cabinet lorsque j’entends entrer quelqu’un dans la salle d’attente. Ordinairement, les patients s’assoyent et attendent leur tour. Mais ce matin-là, le nouvel arrivé n’arrête pas de marcher, et tellement lourdement (110,5 kg 243 lb.) que tout le plancher en "vibre". Dérangé dans ma consultation et impatienté, je me lève et ouvre la porte du bureau avec l’intention de lui demander de bien vouloir s’asseoir et d’attendre... .

"Docteur, me dit-il en me serrant la main, les larmes aux yeux, vous ne savez pas comme c’est bon de pouvoir marcher, de sentir mon pied qui touche le sol. Je marche pour le plaisir de marcher". J’étais tellement ému moi-même que je filai dans une autre pièce pour qu’on ne me voie pas pleurer.... Un seul cas comme celui-ci, et ça vous remonte le moral pour des mois! Avant la fin des cinq traitements qu’il reçut à cette époque, ce patient marchait durant quatre à cinq heures sans fatigue. De plus, sans s’aider de la main droite, il levait son bras gauche complètement en l’air, quoiqu’en mouvements saccadés, et lorsqu’il fermait la main gauche, les doigts se détendaient d’eux-mêmes sans aide.

Il n’y a peut-être là rien d’extraordinaire pour vous qui me lisez, mais pour un hémiplégique désespéré, paralysé depuis deux ans, qui est à "l’écoute de son corps", de la moindre amélioration de son état, ça représente beaucoup. J’ai enregistré ce patient au magnétoscope, avant son départ. Il a conservé le terrain gagné et son état s’est encore amélioré. Il a repris le travail après deux ans.

N.B.: Avant de commencer les traitements, j’avais dit à ce patient: "Si dans 24 heures, il n’y a aucune amélioration, on cesse le traitement". Il y a eu une amélioration importante qui s’est conservée durant deux ans sans reprise des problèmes. Je n’ai jamais eu d’autres nouvelles de lui.

 

Cas # 3: R.P.

Garagiste de 36 ans

Diagnostic: deux hernies discales et céphalées.

Consulte pour arthrite récente au genou gauche et aussi pour céphalées depuis huit ans. Comme diagnostic secondaire, deux hernies discales à L4-L5 et L5-S1 (aux 4ème et 5ème vertèbres lombaires ainsi qu’à la première vertèbre sacrée) depuis 8 ans, accompagnées de lombo-sciatalgies (douleur lombaire irradiant le long du nerf sciatique). Il ne peut rester debout plus d’une demi-heure, souffre constamment, même le matin après une nuit de repos. A dû vendre son garage pour invalidité. Traité par orthopédistes et chiropraticiens avec peu de succès.

Deux jours après son seul et unique traitement de T.I.C., son état s’est tellement amélioré qu’il recommence à travailler comme camionneur sur l’entretien des chemins d’hiver. Il ne sentait plus aucune douleur au membre inférieur gauche ni à la colonne lombaire. Neuf ans plus tard, il n’a pas cessé de travailler.

 

Cas # 4: T.L.

Cultivateur de 59 ans

Diagnostic: hernie discale et troubles circulatoires.

Consulte pour angine, tachycardie paroxystique (accélération par excès des pulsations cardiaques), troubles circulatoires et digestifs. Autre diagnostic: hernie discale et lombo-sciatalgies bilatérales, surtout à droite, pour lesquelles il est suivi en orthopédie chaque mois depuis 3 ans. Incapacité de se pencher depuis 18 mois, il ne peut fléchir la colonne qu’à 16 pouces (40 cm) de terre. Consultations orthopédiques aux 2 semaines depuis 18 mois. Porte un corset orthopédique depuis un an. Le lendemain de son premier traitement de T.I.C., les douleurs lombaires et la sciatalgie ont complètement disparues. Le patient peut fléchir sa colonne librement et mettre les deux mains à plat par terre. Il le faisait encore après 9 ans; les douleurs avaient disparu. Ce cas fut porté à l’attention du Collège ainsi que le cas # 5 des maladies circulatoires.

 

Cas # 5: C.C.

Journalier de 37 ans

Diagnostic: troubles circulatoires et digestifs, également lombo-sciatalgies et hernie discale depuis 5 ans.

Après un seul traitement de T.I.C., outre l’amélioration de ses troubles circulatoires et digestifs, les douleurs lombaires et les sciatalgies diminuent de 80% pour disparaître totalement après deux mois. Après 6 ans, la sciatalgie n’est jamais réapparue.

 


Photo prise moins de deux heures 
après le premier traitement.
Il soulève la jambe gauche paralysée à
vingt-six degrès.


Photo prise quarante-huit heures après
le premier traitement.
Il soulève la jambe gauche paralysée à
quarante-six degrés.

Cas # 6: L.P.

Cultivateur de 75 ans

Diagnostic: hémiplégie gauche consécutive à une hémorragie cérébrale (ACV ou accident cérébro-vasculaire).

Le patient arrive à la clinique en chaise roulante, bras et jambe gauche complètement inertes. Moins de deux heures après le premier traitement, le patient est tout heureux, couché, de pouvoir soulever son bras gauche d’environ 3 à 4 pouces (7,5 à 10 cm) et de pouvoir le plier sur son thorax. Il réussit également à mouvoir la jambe gauche avec des mouvements d’abduction (éloignement) et d’adduction (rapprochement d’un membre du corps) en la soulevant à vingt-six degrés au-dessus du lit.

Quarante-huit heures après le premier traitement, le patient, couché, peut soulever la jambe à quarante-six degrés et le bras à trente-cinq degrés.

 

Cas # 7: Mon propre cas: Paquette, Jean-Claude (mars 1976).

Médecin-chirurgien de 48 ans

Diagnostic: hernie discale, sciatalgie gauche.

Le 3 novembre 1975, en transportant à bout de bras une pièce de machinerie lourde de 25 à 30 kg, je suis bien prêt de l’échapper en marchant dans la neige. Je lui donne un élan vers le haut pour mieux l’agripper. C’est à ce moment-là que je ressens subitement une douleur très vive à la colonne lombaire et que je m’affaisse par terre.

Transporté d’urgence à l’Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme, l’orthopédiste diagnostique une hernie discale avec lombo-sciatalgie gauche.

Le 6 février 1976, sur recommandation de l’orthopédiste, je consulte un célèbre neurochirurgien, qui confirme le diagnostic et me suggère la chirurgie "sans laquelle, dit-il, je ne m’en tirerai pas". Je connais trop bien les séquelles de cette opération et je ne veux pas rester "hypothéqué", ayant en mémoire les cas d’une bonne trentaine d’opérés qui devront se surveiller jusqu’à la fin de leurs jours. Je préfère attendre le plus longtemps possible et tenter de m’en tirer autrement. La douleur ne me quitte pas pendant près de cinq mois, jour et nuit, irradiant de la fesse gauche au gros orteil. Je ne cesse pas de pratiquer la médecine durant cette période. Les jours où je le peux, je marche en m’appuyant sur une chaise ou à l’aide de béquilles. En automobile, il me faut descendre de voiture à tous les quarts d’heure pour me dégourdir la jambe.

Le 20 mars 1976, de passage à Mexico pour me rendre ensuite à Acapulco, le Dr Pérez remarque ma douleur. "Claude, comme tu as l’air de souffrir, qu’y a-t-il?" "C’est une hernie discale". "Es-tu bien sûr du diagnostic". "J’ai vu le meilleur neuro-chirurgien du Canada français." "Que dirais-tu d’être bien demain matin?" Je me mets à rire. "Voyons, Donato, tu sais bien que c’est chirurgical." "Très bien, si tu n’en as pas encore assez de souffrir!" Il me quitte pour aller voir ses malades.

Je fais un bien triste voyage à Acapulco. De retour à Mexico le 30 mars, je me rends voir Donato et lui dit: "Écoute, Donato, je n’ai aucune confiance en ton traitement médical pour une condition qui relève de la chirurgie, mais je n’ai vraiment pas le choix. Je souffre trop."

Le lendemain, 31 mars, je reçois mon premier et unique traitement pour cette condition. Moins de vingt-quatre heures plus tard, et je le déclare sous serment, la douleur a disparue à 100% et je n’en ai plus jamais souffert. Cela fait dix-neuf ans (déclaration 1995.)

 

Cas # 8: C.S. (octobre 1986)

Ingénieur civil de 38 ans

Diagnostic: hernie discale, lombo-sciatalgies.

Problèmes datant de deux ans et traités médicalement avec simple soulagement temporaire. Reprise constante des douleurs.

Au lendemain du traitement de T.I.C., disparition à 100% des douleurs. En date du 17 avril 1994, les douleurs n’ont jamais réapparu et cela depuis huit ans.

 


Photo prise vingt-quatre heures après
le premier traitement.



Photo prise le troisième jour.
Couché, il soulève la jambe gauche
paralysée à soixante-cinq degrés.

Cas # 9: J.S. (octobre 1979)

Employé de la construction de 62 ans

Diagnostic: hémiplégie gauche depuis 2 ans.

Paralysie faciale gauche soudaine en juillet 1977. Hospitalisé 3 mois à l’hôpital Victoria. Hémiplégie gauche en juillet 1979. Cyanose membre supérieur gauche.

Au lendemain du premier traitement de T.I.C. en Haïti, le bras gauche est encore légèrement froid et à l’avant-bras gauche, la circulation est nettement améliorée.

Assis, il étend la jambe gauche à l’horizontale et réussit à lever le bras presque à la hauteur des épaules.

Le surlendemain ou le troisième jour, il peut marcher sans canne, ce qu’il n’a pu faire depuis 2 ans. Il réussit à lever le bras gauche jusqu’au niveau des épaules. Couché, il lève la jambe gauche à soixante-cinq degrés.

Le cinquième jour, il réalise qu’il peut fléchir les doigts de la main gauche.

Le sixième jour, il monte et descend seul de ma Jeep. Tout souriant, il peut tenir un bonbon avec les doigts de sa main gauche. Le soir, il lève le bras gauche à la hauteur des yeux et la cyanose a disparu à 80%. Ces observations sont signées au dossier par le patient et contre-signées par quatre patients témoins qui partagent sa joie.

Veuillez cliquer ici pour lire la partie 8

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