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Read "Medicine of Hope" in English translation.

Pour acheter un exemplaire de l'édition originale (limitée) de ce livre, adresser un e-mail à Mr Normand Paquette: paquettenormand@hotmail.com

To buy this book in the original French limited edition, e-mail to 
Mr. Normand Paquette: paquettenormand@hotmail.com 

Médecine de l’Espoir 8

MIGRAINES ET CÉPHALÉES

La migraine confirme un problème du foie, de dyskinésie biliaire, tout comme le font les hémorroïdes, les varices, les cornées jaunâtres, les cholestéatomes (petites tumeurs graisseuses) aux paupières, par exemple. Ces maladies font partie de la spécialité des neurologues, mais en réalité elles sont reliées aux problèmes circulatoires et indirectement au foie où s’achemine toute la circulation veineuse de retour.

Précisons d’abord que la migraine est une maladie et que le mot céphalée veut dire tout simplement mal de tête. Il est d’usage de dire "j’ai la migraine" au lieu de "j‘ai mal à la tête". J’entendais dernièrement un message publicitaire dire qu’il existe un million de cas de migraine au Canada. Je crois que c’est peut-être exagéré. On a peut-être confondu migraine et céphalée. S’agit-il de cas confirmés?

La migraine se caractérise par une céphalée unilatérale, gauche ou droite, ordinairement précédée d’une phase prémonitoire qu’on appelle "aura". Elle est très difficile à calmer. Il faut la présence de ces trois caractéristiques pour confirmer une migraine.

Quant aux céphalées, il en existe plusieurs milliers de formes différentes, selon la localisation, le point de départ et l’orientation, l’heure ou le moment d’apparition, la sensation ressentie, la concomitance et l’alternance avec d’autres symptômes, etc. Les neurologues s’y perdent et les homéopathes s’y retrouvent.

 

Cas # 10: G.D.

Technicienne de laboratoire de 27 ans

Diagnostic: céphalées constantes et tenaces depuis 5 mois, paralysie faciale, amaigrissement de 11,5 kg (25 lb.).

Patiente référée en neurologie par son médecin traitant pour céphalée inquiétante. Voit cinq équipes de neurologues à Montréal qui lui disent finalement qu’ils ne peuvent rien faire dans son cas et lui recommandent une clinique en Suisse, spécialisée dans les cas de céphalées. Ni l’aspirine, ni la codéine, ni la morphine, ni la gamme interminable d’antalgiques connus avec leurs effets secondaires ne peuvent la soulager. La douleur est toujours là, présente jour et nuit, au-dessus du crâne, et la patiente ressent comme une pression constante à l’intérieur du crâne qui veut lui éclater. Au-dessus de son orbite gauche et derrière le globe oculaire, la même douleur devient insupportable. On note également une paralysie faciale droite et un affaissement de la musculature. Aucun examen n’a été négligé de toute la panoplie connue.

La patiente a perdu 25 lb. depuis cinq mois. Son état devient alarmant. Elle m’est référée par un omnipraticien sérieux et consciencieux. Elle n’arrive pas en toute confiance. Cinq équipes de neurologues lui ont enlevé son espoir de guérison. Pour moi, c’est un défi à relever. Je passe trente heures à étudier le cas, à tenter de le cerner, à chercher la solution. Et tout-à-coup, comme un éclair: "Venez avec moi à ma clinique en Haïti. Vos céphalées vont disparaître".

Plusieurs diagnostics différentiels avaient été envisagés. J’avais considéré: séquelles de traumatisme ancien, migraine, céphalée vasculaire, tumeur intracrânienne, néoplasie, névralgie, troubles oculaires, intolérance aux anticonceptionnels, infection à distance, sinusite et bon nombre d’autres. Le diagnostic le plus plausible demeurait à mon sens une céphalée par hépato-toxicité (intoxication du foie), parce qu’un dermatologue lui avait prescrit de la terramycine (antibiotique toxique pour le foie) pendant deux ans pour une dermatite infectée.

Moins de quarante-huit heures après l’application du premier traitement, sans aspirine, sans codéine et sans morphine, la douleur diminue de 50% et une semaine plus tard, au lendemain du deuxième traitement, un autre 20 à 25% d’amélioration s’ajoute, ramenant l’appétit, le sourire et la régression totale de la paralysie faciale. La douleur disparaît totalement par la suite.

A son retour au Canada, la jeune dame reprend ses activités de technicienne dans un hôpital de la région d’Ottawa. Son mari me confirmait, en 1993, que depuis douze ans, plus jamais elle n’en a souffert.

 

Cas # 11: R.M.

Commerçant de 41 ans

Diagnostic: sinusite chronique depuis 20 ans, allergies respiratoires, céphalées frontales depuis 20 ans.

Tests d’allergies, série de vaccins anti-allergiques sans succès. Consultations multiples en O.R.L. Les douleurs aux sinus frontaux persistent à l’année longue avec périodes d’exacerbations si fortes qu’un jour marchant sur le trottoir, il se fait arrêter par un agent de police qui le croit ivre. Sa sœur doit intervenir pour dire: "Vous ne voyez donc pas qu’il est malade?"

Une semaine après son unique traitement de T.I.C. il part à la chasse. Il avait dû s’en priver pendant plusieurs années. En 1995, après dix-huit ans, il me déclare au téléphone ne plus jamais avoir souffert de céphalées depuis son traitement de T.I.C.

 

Cas # 12: R.C.

Directeur du service d’hypothèque pour une institution financière

Diagnostic: céphalées de tension.

Patient souffrant de céphalées depuis l’adolescence. Au moment de la consultation, chaque jour, depuis cinq ans, il souffre de céphalées à droite, à gauche, en casque, mais ordinairement bilatérales, accompagnées d’étourdissements, d’élancements pulsatiles (qui suivent les battements du cœur) et de palpitations.

Référé en neurologie par un omnipraticien, il passe une série exhaustive de tests en médecine nucléaire qui n’aboutissent à aucun diagnostic confirmé. Il décide de tout abandonner et de ne plus se faire traiter. Mais en réalité, il n’a jamais été traité. On s’est contenté de rechercher un diagnostic, de le prouver scientifiquement, et on a oublié le malade. Un neurologue parlait de migraine rouge, l’autre de migraine blanche... .

Il m’a rencontré. Je l’ai vu en crise. Il a accepté, sans trop y croire, un traitement de T.I.C. Il me déclarait en février 1995 ne plus avoir souffert de céphalées depuis 18 ans, il se porte bien et n’a pas fait de crise aiguë comme par le passé. La T.I.C. a traité le malade et non la maladie.

 

LES MALADIES DE LA PEAU

La peau est le quatrième organe émonctoire de l’organisme après le tube digestif, le foie et le rein.

Les maladies de la peau pour lesquelles on consulte généralement ont le plus souvent une allure chronique, mis à part les cas aigus de fièvres éruptives, d’abcès, de furoncles (clous), de pyodermites (infections de la peau), d’herpès (feux sauvages), de prurit (démangeaisons), de gale (grattelle), d’urticaire, de brûlures et d’engelures. Même parmi ces dernières, s’il y a répétition, récidive, persistance, comme par exemple dans herpès, la furonculose, les ulcères variqueux (maladie circulatoire), certaines dermatoses prurigineuses, l’urticaire à répétition, il ne faut pas gratter longtemps sous la peau pour trouver, pas très loin, "un terrain responsable" de ces troubles.

La peau est considérée depuis toujours comme le miroir de la santé: elle reflète l’état général. En très bas âge, chez le nourrisson, ce qu’on appelle chapeau n’est que la manifestation cutanée d’un trouble digestif, d’une alimentation trop riche en gras et en farineux. Tout disparaît le plus souvent en quelques jours, ordinairement sans aucune application de pommade, en supprimant les céréales, les farineux, et en "coupant" le lait.

Il est dommage que la médecine actuelle ne sache pas se servir de la T.I.C. que j’ai à lui offrir.

Dans les pages qui suivent, je présente à même mon expérience personnelle en T.I.C., quelques cas typiques qui illustrent bien la théorie que j’avance, principalement dans les cas de psoriasis, une autre "bête noire" des dermatologues, avec l’herpès et les ulcères variqueux. Sans questionner sur l’alimentation, sans changer la nourriture ni le régime de vie, ces derniers s’acharnent à prescrire de la cortisone et des préparations à base de cortisone, du méthotrexate, agent anticancéreux tellement toxique qu’il provoque parfois des cirrhoses, de l’anémie et des hépato-splénomégalies (hypertrophie du foie et de la rate).

 

LA FIGURE PLEINE DE BOUTONS

Laissez-moi vous raconter une expérience personnelle concluante. Un jeune homme dans la vingtaine me demande, sans vouloir me consulter, de renouveler son ordonnance de pommade à la cortisone prescrite depuis quatre ans pour son acné par d’autres médecins.

Je refuse de le faire sans questionnaire et examen préalables. Quatre médecins consultés avant moi lui ont prescrit des antibiotiques, des pommades à base de cortisone et ont répété l’un après l’autre des séries d’examens à l’hôpital, des cultures et des antibiogrammes, etc. .

Aucun n’a fouillé son régime de vie ni son alimentation. Je note des troubles digestifs majeurs et circulatoires manifestes.

Je le questionne. Prenons la journée d’hier. A quelle heure est-ce que tu t’es levé? A 9 h. A quelle heure est-ce que tu t’es couché? A 23 h. Qu’as-tu mangé dans la journée? Au déjeuner? Je n’ai pas déjeuné. Tu n’as rien pris de l’avant-midi? Si, trois Pepsi. A quelle heure as-tu mangé le midi? Je n’ai pas mangé. Tu n’as rien pris de l’après-midi? Si, trois Pepsi. Tu devais avoir faim au souper. A quelle heure as-tu soupé? A 21 h 30. Qu’as-tu mangé? Une pizza. Quelle grosseur? Une jumbo. Tu n’as rien bu avec cela? Si, trois Pepsi. Il s’écrase devant la télé et se couche vers 23 h. Sans commentaire! J’avais trouvé la clé de l’énigme.

Sans lui prescrire aucun médicament, aucune pommade ni onguent, je lui recommande de prendre trois repas par jour, de boire 8 à 10 verres d’eau dans sa journée, de bien noter tout ce qu’il mangerait et ce qu’il boirait. Je lui interdis la pizza et les boissons gazeuses.

Une semaine plus tard, il revenait au bureau le visage tout épanoui. Il n’avait plus un seul bouton.

 

Cas # 1: M.T.

Ménagère de 42 ans

Diagnostic: dermatose prurigineuse (maladie de la peau avec démangeaisons), dermographisme (voir plus bas).

Se gratte durant des heures chaque soir au coucher depuis deux ans. Consulte un dermatologue qui lui fait subir 58 tests d’allergie qui sont négatifs. L’allergologue lui dit "de ne pas dépenser d’argent, que ça ne guérira jamais." Il lui prescrit des antihistaminiques au besoin pour la soulager. Cette patiente présente également un dermographisme très marqué, c’est-à-dire qu’un simple trait sur la peau laisse une empreinte soulevée qui dure plusieurs minutes. Ce problème disparaît au lendemain de son premier traitement. Les problèmes de démangeaisons disparaissent en quelques heures.

Après 18 ans, en mars 1995, elle déclare ne plus faire de dermographisme, ni souffrir d’allergie, ni de prurit, et elle n’a pris aucun médicament pour ces problèmes depuis ses traitements de T.I.C.

Signé: Marielle Therrien, Sainte-Anne du Lac

 

Cas # 2: J.C.T.

Restaurateur de 33 ans

Diagnostic: psoriasis, allergie au soleil et aux métaux.

Patient souffrant de psoriasis depuis 22 ans, d’allergie au soleil et aux métaux depuis l’âge de 12 ans (or, argent, cuivre, fer, bronze). Ne peut porter ni montre ni bague depuis 10 ans. Trois jours après son premier traitement de T.I.C., sans application de pommade, il peut s’exposer au soleil, remettre une montre et porter une bague. En suivant fidèlement la diète prescrite, il n’a plus souffert de psoriasis ni d’allergies depuis ses traitements.

 

Cas # 3: B.T.

Ménagère de 50 ans

Diagnostic: psoriasis, arthrite rhumatoïde, hypertension, diabète, angine, érythrodermie.

Psoriasis depuis 10 ans, arthrite rhumatoïde depuis 15 ans, diabète récent, hypertension depuis 20 ans et angine depuis 8 ans. Au dire des dermatologues de l’Hôtel-Dieu de Montréal, c’est un des cas de psoriasis (maladie de la peau caractérisée par des squames blanchâtres et de la rougeur au-dessous) les plus graves qu’ils aient eu à traiter. Également, érythrodermie (rougeur de la peau) généralisée au tronc, aux quatre membres, à la figure, avec lésions papillo-squameuses au cuir chevelu et atteinte des ongles aux mains et aux pieds. Traitée à la cortisone depuis 10 ans et au méthotrexate qui a provoqué une cirrhose, une anémie, des troubles du foie et de la rate. Malgré les autres diagnostics qui compliquent joliment le traitement, la patiente fait littéralement peau neuve en quelques jours après la T.I.C. La tension se normalise et elle peut fermer les mains avec facilité. L’amélioration est spectaculaire.

 

Cas # 4: R.G.

Ménagère de 36 ans

Diagnostic: dermatite et asthme allergiques, vitiligo (dépigmentation de la peau par plaques) depuis 16 ans, hypertrophie de la glande thyroïde (goitre).

Dans les jours qui suivent le traitement, elle ne fait aucune crise d’asthme, son coryza (rhume de cerveau) et son prurit palpébral (démangeaison aux paupières) au soleil disparaissent.

Il n’y a plus apparition de cloques (cloches d’eau) comme avant le traitement. Son vitiligo disparaît et, à la palpation, sa glande thyroïde diminue notamment.

 


Cas 5.  Photo prise le matin du
premier traitement.



Cas 5. Photo prise après 
trois jours.

Cas # 5: J.C.

Contremaître forestier de 59 ans

Diagnostic: psoriasis.

Psoriasis généralisé à toute la région du dos et aux deux jambes. Sans application d’aucune pommade, les lésions disparaissent presque complètement à la suite des deux traitements (photographies prises aux trois jours à l’appui).

 

Cas # 6: G.T.

Ménagère de 25 ans

Diagnostic: psoriasis depuis 7 ans.

Dermatose généralisée à tout le corps: cuir chevelu, abdomen, dos, aisselles, bras, poitrine, oreilles, figure. Voit une foule de dermatologues. Aucun traitement n’est efficace. Suite au traitement de T.I.C., disparition selon elle à 98% des lésions en deux mois. Par la suite, réapparition à 10 ou 15% par périodes selon problèmes divers et alimentation (déclaration mars 1994).

 


Cas 7. Photo prise le
matin du premier
traitement.



Cas 7. Photo prise
après cinq jours.

Cas # 7: C.D.

Coiffeuse de 30 ans

Diagnostic: psoriasis depuis l’âge de 16 ans.

En arrivant à la clinique, les lésions sont photographiées et sont bien visibles à la région dorso-lombaire, à la région fessière, aux cuisses, à la région abdominale, au cou, aux coudes, aux avant-bras, aux jambes. Si elle plie les genoux, les coudes ou si elle ferme les mains, la peau se fendille et se met à saigner. Les deux mains sont couvertes de lésions depuis 6 ans. Elle en a même sous les deux pieds et en dessous des ongles. Elle ne peut plus faire son métier de coiffeuse. Une autre photo est prise cinq jours après le traitement de T.I.C. et montre une très nette amélioration des lésions, que la patiente évalue elle-même à 60%.

Par la suite, l’amélioration continue à se manifester. Tout cela, sans application d’aucune pommade... .

 

LES MALADIES DIGESTIVES

La bouche est la porte d’entrée "grande ouverte" aux substances extérieures pour nous alimenter ou nous intoxiquer... ! Le système digestif est la voie d’absorption la plus importante du corps humain et l’organe émonctoire le plus important de l’organisme, avant le foie, le rein et la peau, ce qui ne minimise pas le rôle du poumon, ni du système circulatoire sanguin. La T.I.C. accorde une importance primordiale à l’intestin et au foie, et déclenche sa grande offensive de désintoxication en les attaquant les premiers. C’est ce qui explique les changements constants qu’on peut observer chez tous les patients en traitement: amélioration ou disparition de gorgées sûres (difficultés pour avaler), de nausées, de vomissements, de ballonnement, de douleurs gastriques (estomac), hépatiques (foie) ou coliques (gros intestin), spontanées ou à la palpation, de constipation, de flatulence, d’hémorroïdes, d’étourdissements, de lourdeur post-prandiale (somnolence après les repas), de céphalées digestives, etc. .

 

ON CREUSE SA TOMBE AVEC SA FOURCHETTE

Dans mes 19 années d’expérience en T.I.C., j’ai remarqué un facteur constant chez presque tous les chroniques: par exemple les asthmatiques, les emphysémateux, les cas de dermatoses, de cancer, de troubles de la prostate, de troubles gynécologiques, de troubles circulatoires, d’arthrite chronique, de migraine. La grande majorité souffre de constipation chronique et de dyskinésie biliaire (trouble d’élimination de la bile).

Au questionnaire, combien de fois ai-je entendu des patients me répondre: "Je vais à la selle chaque jour. Je suis régulier comme une horloge". Je le notais au dossier.

Mais à l’examen, un côlon (partie de l’intestin) ascendant, transverse ou descendant douloureux à la palpation, congestif, augmenté de volume, révélait un problème d’élimination. (Voir: Le phénomène du verre d’eau, page 49.) Nous sommes un peuple de grands constipés et c’est la barrière qui ouvre la porte à la plupart de nos maux.

 

Cas # 1: C.R.

Restauratrice de 34 ans

Diagnostic: dyskinésie biliaire.

Patiente opérée pour le foie à 19 ans. Depuis ce temps, soit depuis quinze ans, elle continue à souffrir du foie et à faire environ trois bonnes crises par année, nécessitant chaque fois une semaine d’hospitalisation. Souffre d’étourdissements, de nausées chaque matin, de gorgées sûres, de vomissements occasionnels, de douleurs au foie, de ballonnement, de lourdeur post-prandiale (somnolence après les repas). Opérée égaiement pour lithiase rénale (calculs ou pierres aux reins) à 25 ans et n’a jamais été bien depuis. Souffre de douleurs aux deux reins et doit être hospitalisée 2 à 3 fois par an pour infections urinaires. Également, troubles circulatoires (acrocyanose, douleur précordiale, palpitations, dyspnée d’effort), tension prémenstruelle, lombalgies chroniques et bronchite tabagique. Depuis ses traitements de T.I.C., la patiente n’a souffert d’aucune infection urinaire ni d’aucun problème digestif. De plus, elle n’a pris aucune médication depuis. Les autres problèmes ont été également éliminés jusqu’à cette date. Elle a perdu le goût de fumer avec la désintoxication, comme une bonne trentaine d’autres patients, et n’a jamais fumé depuis. Elle a suivi fidèlement la diète et le régime de vie recommandés après huit ans.

 

Cas # 2: L.G.

Ménagère de 36 ans

Diagnostic: hépatite virale.

Patiente revenant d’un voyage au Mexique. porteuse d’une hépatite virale que le laboratoire confirme le matin même. Les symptômes classiques sont présents: selles décolorées, cornée très jaune, teint ictérique (jaune), nausées, douleurs abdominales et hépatiques, céphalées occipitales intolérables, asthénie (sensation de faiblesse) intense. A la suite du traitement de T.I.C. institué le jour même, on note une régression remarquablement rapide des symptômes, que la médecine conventionnelle ne connaît pas. En quelques jours, les tests SGOT (transaminases du foie) passent de 512 à 37 (normale 0 à 40) et SGPT de 1078 à 157 (normale 0 à 45). Fait également à noter, la désintoxication du côté cutané est tellement forte que l’eau de bain, le soir même du traitement, prend une coloration jaune très foncé.

 

Cas # 3: M.M. (novembre 1980)

Actrice italienne de 25 ans

Diagnostic: hépatite virale, kystes aux seins, troubles oculaires et circulatoires.

Actrice italienne en tournage d’un film en Haïti. Hospitalisée en Haïti pour hépatite virale, confirmée par test de laboratoire.

Elle est trop affaiblie pour tourner, les cinéastes doivent l’attendre. On l’amène à ma clinique.

En quelques jours, après traitement de T.I.C., la formule sanguine redevient normale, la vision et l’audition s’améliorent à sa grande surprise. Les kystes fondent aux seins et la circulation s’améliore. Elle peut continuer le tournage.

 

Cas # 4: H.P.

Serveuse de 33 ans

Diagnostic: colite ulcéreuse (inflammation du côlon) depuis 14 ans.

La patiente est hospitalisée 3 mois dans un hôpital de Montréal et y retourne deux reprises.

Elle reçoit de la cortisone depuis trois ans sans amélioration. A parfois jusqu’à 15 selles muqueuses par jour accompagnées d’hémorragies massives. Refuse la colostomie (anus artificiel) depuis dix ans. Traitée en T.I.C., en Haïti, avec succès. Ne fait qu’une seule hémorragie (moyenne), une semaine après son retour chez elle. N’en a plus fait depuis son traitement en Haïti, il y a 10 ans.

 

LES MALADIES CIRCULATOIRES

Réseau routier: 100.000 km d’artères, de veines, de capillaires, de vaisseaux lymphatiques.

L’amélioration de la circulation sanguine est la force de frappe de la T.I.C. C’est grâce à elle qu’elle peut véhiculer et utiliser les médicaments de désintoxication de base et de cure spécifique pour les maladies. C’est aussi sur elle qu’elle exerce ses effets les plus rapides: c’est ainsi qu’on voit souvent diminuer ou régresser, en l’espace de 24 heures, les symptômes suivants: œdème (enflure), acrocyanose (mains et pieds froids), crampes, étourdissements, vertiges, engourdissements, picotements des extrémités, bourdonnements d’oreilles, douleurs angineuses, céphalées, gonflement veineux (varices et hémorroïdes) et hypertension.

Voyons brièvement un cas chirurgical de masse hémorroïdaire, un infarctus et deux cas d’endartérite oblitérante, maladie intra-artérielle pour laquelle il n’existe aucun traitement médical reconnu efficace en médecine conventionnelle. Devant un tel diagnostic, on recommande tout simplement au patient de ne plus fumer (voir maladies circulatoires, cas # 2) et parfois de se faire opérer, ce qui prévient des complications médicales immédiates mais ne change rien à la circulation sanguine. Parce qu’on ne va pas à la cause du problème, la maladie continuera à évoluer quelque part ailleurs dans l’organisme.

 

Cas # 1: L.C.

Électricien de 52 ans

Diagnostic: endartérite oblitérante.

Début de claudication (boitement) intermittente à 27 ans (c’est-à-dire qu’en marchant, le patient doit s’arrêter à tout instant pour laisser passer la crampe musculaire douloureuse qu’il ressent aux mollets). Depuis 4 ans, il ne peut plus faire de longues marches. Chirurgie vasculaire à la jambe gauche avec amélioration mais persistance de douleurs, de crampes et d’engourdissements. Lors d’une visite subséquente, il est question d’opérer la jambe droite. A l’examen préliminaire en T.I.C., le patient ne peut marcher plus de 100 mètres sans être obligé de s’arrêter à cause des crampes douloureuses aux mollets. Au lendemain du deuxième traitement de T.I.C., le patient peut marcher presque une heure sans crampes, sans douleurs, et mène monter une pente abrupte. Il n’a plus d’engourdissements.

 

Cas # 2: R.G.

Chef de département de 62 ans

Diagnostic: endartérite oblitérante.

Patient souffrant de douleurs aux mollets depuis 6 ans, sous forme de crampes qui le réveillent la nuit. Depuis 4 ans, douleurs en marchant, et depuis 2 ans, augmentation progressive des douleurs aux cuisses, aux jambes, aux pieds, aux orteils, même aux muscles des deux bras. Bourdonnements d’oreilles, douleur importante à l’hémi-thorax gauche au moindre mouvement, acrocyanose et claudication (boitement) intermittente.

Sa tension artérielle est à 22/14, ce qui veut dire 220/140. Son médecin a refusé, dit-il, de lui prescrire des hypotenseurs pour ne pas diminuer davantage la circulation cérébrale et lui dit qu’il n’y a rien à faire que d’arrêter de fumer. Après le premier traitement de T.I.C., la tension est diminuée à 14/8 (140/80), la circulation atteint les genoux et le patient ressent pour la première fois depuis longtemps, la circulation atteindre aussi les deux jambes et les pieds. Après 7 jours, disparition complète des bourdonnements d’oreilles, amélioration à 90% de la douleur à l’hémi-thorax gauche, disparition totale des crampes nocturnes. La tension artérielle se maintient à 12/8 (120/80). Seule persiste une faible douleur sous le pied en marchant.

 

Cas # 3: D.M. (novembre 1978)

Ménagère de 36 ans

Diagnostic: masse hémorroïdaire énorme.

Patiente consultant pour masse hémorroïdaire de 5,5 cm de diamètre depuis quelques semaines nécessitant normalement une intervention chirurgicale. État variqueux datant de 20 ans. A subi saphènectomie bilatérale (résection de la veine saphène de la cuisse), il y a 9 ans. Vingt-quatre heures après le premier traitement de T.I.C., le Dr Michael Lévi de New-York constate avec le Dr Serge Conille et moi-même la disparition presque complète de la masse hémorroïdaire. Le Dr Lévi ne cache pas son étonnement devant une telle thérapie qui va chercher de 75 à 80% de résultat en quelques heures, et cela sans opération. "Si la médecine que nous avons apprise nous avait dit tout cela", disait en souriant le Dr Lévi, fellow en chirurgie.

 

Cas # 4: A.L.

Agent de sécurité de 45 ans

Diagnostic: infarctus il y a quatre mois et ischémie-lésion (lésion irréversible du muscle cardiaque par arrêt de circulation), insuffisance cardiaque gauche, troubles cardio-vasculaires importants.

Les cardiologues lui conseillent un pontage coronarien. Il est prêt à accepter. A la suite des traitements de T.I.C. reçus en Haïti, les symptômes suivants: précordialgies, engourdissements, étourdissements, œdème, cyanose, dyspnée d’effort et céphalées de tension disparaissent totalement en moins de dix jours. Sept mois plus tard, on dit au patient qu’il n'a plus besoin de chirurgie cardiaque et que son taux de cholestérol est redevenu normal: l’artère coronarienne (qui nourrit le cœur) qui était en grande partie bloquée permet maintenant un débit sanguin suffisant pour éviter l’intervention chirurgicale.

 

Cas # 5: L.B.

Électricien de 62 ans

Diagnostic: vertiges l’ayant obligé à prendre sa retraite anticipée, bourdonnements d’oreilles, troubles circulatoires majeurs, anosmie (perte de l’odorat) totale, agueusie (perte de goût) partielle.

Vertiges depuis 7 ans l’empêchant de continuer son métier d’électricien. Ne peut plus monter sur un escabeau, une échelle, un poteau, sur un toit. On a dû l’aider pour le faire redescendre la dernière fois.

Étourdissements, engourdissements des deux mains, céphalées, crampes musculaires, cyanose, bourdonnement continuel à l’oreille gauche.

En arrivant à la clinique, il longe les murs, s’agrippe aux grilles sécuritaires qui entourent les espaces ouverts.

Disparition radicale des vertiges en 48 heures. Le patient monte seul sur le toit, marche sur le bord de la corniche et se penche pour regarder, à notre grande inquiétude!

En cinq jours, les autres problèmes circulatoires disparaissent presque complètement et la tension artérielle se stabilise de 18/11 (180/110) à 13/7 (130/70), après n’avoir pris que deux comprimés pour la tension artérielle et bien entendu son traitement de T.I.C.

 

Cas # 6: R.L.

Agent de brasserie de 69 ans

Diagnostic: perte d’équilibre, troubles circulatoires et digestifs, anosmie depuis 5 ans, agueusie depuis 4 ans.

Patient hospitalisé 14 fois en 30 ans dont 11 fois pour chirurgie. Ablation du rein et de la vessie pour tumeurs néoplasiques. En 1970, pontage aortique.

A son arrivée à la clinique, il longe les murs et s’appuie aux rampes d’escaliers. Il peut difficilement se tenir debout et marcher.

Au lendemain du premier traitement, tous les patients sont surpris de constater l’assurance avec laquelle il se promène de long en large, même en bordure de la piscine, dans les rues de Port-au-Prince, à la plage. Il n’est plus le même homme.

Son goût revient en bonne partie, ses troubles circulatoires et digestifs s’estompent. Il m’écrit plus tard: "Cette cure m’a redonné la joie de vivre".

 

INTOXICATION À LA DROGUE

Tout au long de mon exposé, je parlerai bien sûr de l’importance de la désintoxication globale qui est la base même d’une cure de T.I.C. Dans tout traitement, toute désintoxication commence par le tube digestif, la bouche étant la porte d’entrée grande ouverte à tous nos problèmes.

Quelques-uns uns se sont fait désintoxiquer pour tabagisme: une bonne trentaine de patients sont très heureux de ne plus jamais avoir fumé depuis leur traitement de T.I.C., s’étant sentis trop bien au lendemain d’une cure et ayant décidé de s’aider eux-mêmes (voir maladies circulatoires, cas # 1 et 2, maladies digestives, cas # 1).

N.B.: On nous faisait part dernièrement que certains fabricants de cigarettes ont augmenté la dose de nicotine dans leur production, créant ainsi aux usagers une plus forte dépendance à la cigarette.

Quelques-uns ont eu recours à la T.I.C. pour se débarrasser d’une intoxication médicamenteuse ou d’une intoxication à la boisson ou à la drogue. Voyons ensemble quelques cas:

 

Cas # 1: M.B.

Contremaître de 28 ans

Diagnostic: intoxication à la drogue.

Chef de groupe de 18 menuisiers dans une manufacture, il s’adonne à la drogue depuis 3 ans. Depuis 2 mois, il passe les nuits complètes en pleine forêt avec son chien, refuse de travailler et a perdu tout sens des responsabilités. Il néglige les boutiques de son père qui le congédie.

Trois semaines après le début des traitements en T.I.C., il reprend son poste et redevient un contremaître respecté.

 

Cas # 2: M.D.

Journalier de 28 ans

Diagnostic: intoxication à la drogue.

Extrait d’une lettre de sa main: "Le traitement m’a sauvé la vie. Je me droguais, je buvais et je pensais au suicide. Je croyais devenir fou... . J’ai commencé à vivre à partir de mes traitements en T.I.C. Le plus merveilleux, c’est que j’ai cessé de consommer de la drogue et de la boisson depuis 6 ans, et cela, je le dois au Dr Paquette. Merci à Jean-Claude de m’avoir redonné la vie. Elle est belle."

 

Cas # 3: R.S.

Cultivateur de 28 ans

Diagnostic: éthylisme et intoxication à la drogue.

Extrait d’une lettre de sa main: "J’étais en train de mourir à cause d’un excès démesuré d’alcool et de drogue. Merci beaucoup de m’avoir sauvé la vie. Après ma cure magique et incomparable de T.I.C. en Haïti, je pouvais courir un quart de mille sans problème. J’ai pu vivre en harmonie avec un esprit sain dans un corps en santé. Je conseille à tous de suivre une telle cure au moins tous les deux ans. Il n’y a pas de prix pour la santé."

 

LE CANCER

LE CAUCHEMAR DU CANCER

Je voudrais citer un article de Monelle Saindon qui ne manque pas de réalisme:

Le cauchemar du cancer: y aurait-il une lueur d’espoir?

Il existe peu de mots qui fassent aussi frémir que ce terme médical qu’est le cancer. On l’écoute avec crainte, on l’écoute avec doute, on l’écoute avec angoisse, on l’écoute avec désespoir et toujours il s’infiltre comme une espèce de voile sombre, lourd et épais qui nous camoufle ces lendemains, qui pourtant, étaient si beaux sous la couleur de nos rêves.

Que l’on soit jeune ou vieux, que l’on soit pauvre ou riche, que l’on soit dépressif ou optimiste, quand le mot "cancer" fait sa triste apparition dans la vie d’un homme ou d’une femme, il est bien peu de force, qu’elle soit physique ou psychologique, qui puisse l’accueillir avec calme. Le cancer fait mal, mais le cancer fait surtout peur à cause de cet effroyable adjectif qui lui est souvent juxtaposé: "incurable." (Le Mirabel, 21 février 1978.)

 

PARLONS CANCER

La pratique de la T.I.C. m’a donné la chance de mieux comprendre les cancéreux pour pouvoir mieux les traiter. En vivant avec eux des semaines entières en Haïti, en étudiant leur état d’âme, j’ai pu vraiment juger de leurs souffrances physiques et mentales. En discutant avec eux et en les observant, j’ai pu les traiter comme on doit traiter tout patient chronique: avec beaucoup d’amour.

Omnipraticien, plus souvent au cabinet de consultation qu’à l’hôpital, j’avais eu l’occasion de déceler de nombreux nouveaux cas. Je complétais les examens et les référais avec une certaine satisfaction, je dirais, à des mains plus spécialisées. A mes débuts en T.I.C., je me suis contenté d’appliquer les traitements prescrits par le Dr Pérez: il me transférait les patients avec leur dossier, leur fiche thérapeutique.

Bientôt, j’ai compris, en approfondissant mes connaissances et en les extrapolant sur le plan du cancer, que cette maladie ne diffère en rien des autres maladies chroniques si ce n’est qu’on en ignore toujours la cause et le traitement véritable. Malgré les pas de géants de la recherche médicale depuis 50 ans pour le dépister, le traitement en est toujours au stade embryonnaire.

Quand j’ai enfin pris conscience que ce ne sont pas les maladies mais les malades qu’il faut traiter, tout est devenu clair dans ma pensée. La T.I.C. est vraiment adéquate pour traiter les patients cancéreux.

Le premier symptôme du cancer n’est pas toujours la tumeur: c’est souvent le dernier. Trop souvent un examen de routine du sang ne peut même pas le déceler à ce stade.

La tumeur cancéreuse est en somme une nouvelle croissance anormale de cellules hors du contrôle des enzymes normales du corps. La multiplication rapide de cellules dans une zone voisine ou éloignée s’appelle métastase: c’est le début de la généralisation.

Le cancer n’est qu’un effet, pas une cause de la maladie. Dans des efforts désespérés pour en faire disparaître les symptômes, la médecine conventionnelle combine la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Par contre les méthodes de détection exposent à un plus grand risque de cancer.

 

TRAITEMENTS CONVENTIONNELS

LA CHIRURGIE

La chirurgie a comme tactique d’enlever toutes les tumeurs, grosses ou petites, malignes ou bénignes et non seulement les tumeurs, mais les organes tout entiers. Quand les métastases se propagent dans une autre partie du corps, on réopère. "Combien de patients ayant déjà été opérés se sont retrouvés plus affaiblis qu’avant, après qu’on leur eut promis mer et monde [ciel et terre] pour les décider à remonter sur la table d’opération," déclarait Peter Chowdka.

 

LA RADIOTHÉRAPIE

Une trop forte dose de radiation peut augmenter le cancer plutôt que le diminuer en affaiblissant les cellules saines sous-jacentes. Dans les tumeurs on retrouve des cellules cancéreuses et des cellules non-cancéreuses. Comme les rayons-X ne peuvent pas faire le choix, les cellules saines non cancéreuses de la tumeur, sont également détruites. La radiothérapie favorise le développement, la prolifération du cancer, détruit les globules blancs, première défense immunologique. Dans les cancers sans espoir, la radiothérapie, comme la chirurgie, est palliative: son efficacité est incomplète et temporaire.

 

LA CHIMIOTHÉRAPIE

Pour tuer ou essayer de tuer les cellules cancéreuses, la chimiothérapie utilise des substances qui sont des poisons avant d’être des médicaments... . Ce traitement, véhiculé par la circulation (100.000 km), se diffuse dans tout le système: le cancer est une maladie systémique (de tout le système) et non locale. Les poisons essayent d’atteindre et de tuer les cellules cancéreuses là où elles se trouvent.

La plupart de ces médicaments produisent les mêmes effets que la radiothérapie. Comme on ne peut les diriger uniquement et spécifiquement vers les sites cancéreux, ils circulent librement dans le flot sanguin et détruisent finalement des cellules en santé éloignées de la tumeur à atteindre. Ils attaquent la moelle osseuse, le tube digestif, les organes de reproduction, tout le système glandulaire, tous les organes émonctoires, les follicules pileux causant la chute des cheveux et tous les effets secondaires qu’on connaît trop bien. On a souvent répété que lorsque ce n’est pas de son cancer que le patient meurt, c’est de l’intoxication causée par la chimiothérapie.

La chimiothérapie est ordinairement employée en dernier ressort, après que la chirurgie ou la radiation se sont avérées impuissantes. Elle empêche le patient de se sentir abandonné par le médecin dans les cancers terminaux et sans espoir. Les fameux cocktails Brompton discutables et discutés "hâtaient, disait-on, le dénouement final."

En matière de cancer, la médecine doit réajuster continuellement son tir: elle se bat à l’aveuglette. Sa tendance est de combiner différentes techniques, par exemple de donner d’abord de la radiothérapie pour diminuer le volume de la tumeur, ensuite d’opérer et de terminer par la chimiothérapie.

Actuellement on donne de la chimiothérapie préopératoire, on opère et on termine par la radiothérapie. Parfois, si la tumeur est trop volumineuse, on commence par la chirurgie suivie de la chimiothérapie et de la radiothérapie, laquelle se donne parfois en phase terminale pour tenter de soulager.

Les protocoles de chimiothérapie varient à l’infini combinant plusieurs agents de chimiothérapie à la fois, pour améliorer le champ d’action. Nous le faisons couramment en T.I.C. pour toutes les maladies y compris le cancer.

 

POSITION DE LA T.I.C.

Selon le Dr Otto Warburg, prix Nobel 1931, il est reconnu que le cancer se développe toujours dans un terrain de malnutrition où l’on rencontre une diminution d’oxygénation. L’intoxication profonde qui s’ensuit produit des cellules anormales, cancéreuses.

Dans l’optique de la T.I.C., la désintoxication globale de l’organisme ainsi que le rétablissement de la circulation et, par le fait même de l’oxygénation, ont un lien logique avec la philosophie du Dr Warburg.

Les traitements conventionnels du cancer se résument en une approche symptomatique. En chirurgie, on coupe et l’on ne se gêne pas. Pour enlever une tumeur grosse comme le bout du doigt, on peut enlever un sein tout entier. Parfois, on n’en enlève pas assez, souvent on en enlève trop. De toute façon, on détruit une foule de cellules saines dont l’organisme a besoin. Dieu n’a rien fait pour rien dans sa création. Chaque cellule a sa raison d’être.

En radiothérapie, on brûle de façon irréversible et impardonnable. Le faisceau de rayons inonde toute la région détruisant ainsi une multitude de cellules saines dont l’organisme a besoin. Cette technique est responsable de séquelles parfois très dures à accepter, comme l’impuissance après radiothérapie pour cancer de la prostate.

La chimiothérapie intoxique en tuant ou en essayant de tuer les cellules cancéreuses mais elle détruit une quantité fabuleuse de cellules saines dont l’organisme a besoin. Car, avant d’être un médicament, c’est un poison et je défie tout médecin honnête de contredire ce fait. On traite rarement le cancer par une seule technique: la majorité des cancérologues sont d’accord sur ce point... . Ils conviennent également que la plupart des traitements qu’ils utilisent sont essentiellement empiriques, c’est-à-dire basés sur des expériences de traitements plutôt que sur des données fondamentales trouvées et prouvées par la recherche.

Ils comprendront sûrement que la T.I.C. n’a pas été suffisamment éprouvée dans des centres de recherches pour tout nous livrer de ses capacités.

Dans les cas de cancer, nous, en T.I.C., nous ne coupons pas, nous ne brûlons pas, nous n’intoxiquons pas. Nous donnons une cure globale de désintoxication, la plus puissante et la plus rapide qu’on puisse trouver, et nous nous attaquons logiquement à la tumeur cancéreuse par la chimiothérapie mais selon la technique merveilleuse que j’ai déjà expliquée.

Je demande au lecteur de lire avec attention les cas # 1, 2, 3 et 4 de cancers qui suivent. N’y a-t-il pas là des améliorations fantastiques, extraordinaires et ultra rapides que la médecine conventionnelle ne connaît pas encore ou qu’elle est peut-être en train de découvrir?

Aucun n’a été guéri, à moins qu’on ne parle de guérison clinique. Un seul l’aurait été, et ça vaudrait déjà la peine d’y jeter les yeux. Personnellement, je crois qu’on devrait radier du vocabulaire médical le mot guérison dans toute condition cancéreuse. Il y a eu des améliorations en T.I.C. qui dépassent de beaucoup la chimiothérapie que nous offre la médecine conventionnelle.

La plupart des cas cités pris un par un méritent que les spécialistes qui désirent vraiment aider leurs patients, y regardent humblement de plus près, comme l’a fait le Dr Albert Joannette pour deux cas touchant sa spécialité en maladies respiratoires. Cette médecine ne doit pas être rejetée d’emblée, car elle représente une certaine valeur du côté scientifique (le syndic du Collège).

 

TRAITEMENT LOCAL DU CANCER EN ADJUNCTION AU TRAITEMENT DE T.I.C.

Ceci peut être une innovation de la T.I.C. dans le traitement des tumeurs cancéreuses qu’on peut localiser, tâter, rejoindre et délimiter, par exemple au sein, au col de l’utérus ou au rein.

J’ai obtenu des diminutions évidentes et occasionnellement des disparitions totales des kystes et de masses néoplasiques, en injectant sous la masse ou dans la masse, une combinaison de médicaments où j’alternais quelques unités d’agents anticancéreux, d’antibiotiques, d’anti-inflammatoires, d’antihistaminiques et d’insuline.

 

UNE IDÉE GÉNIALE... !

 

Mars 1985, Clinique de Pétion-Ville, Haïti.

Une patiente dans la soixantaine, R.N., souffre horriblement d’un cancer du sein. Ces trois derniers jours, elle s’est sentie trop faible et trop souffrante pour quitter son lit.

Comme le jour du retour au Canada approche, je me creuse la tête pour trouver une solution à son mal.

Cette nuit-là, je me réveille vers 3 h et m’avise de lui faire une injection intra-tumorale d’un médicament à ma disposition. Je monte à sa chambre: elle n’a pas encore réussi à fermer l’œil. Peu après l’injection, elle s’endort.

Au matin vers 8 h je la retrouve toute radieuse, debout au beau milieu de la salle à dîner, dansant et chantant une composition qu’elle vient de faire pour nous. Toute douleur a disparu et elle se sent très bien!

Le même soir en l’examinant, je puis introduire le pouce dans la dépression imprimée dans sa tumeur par ce médicament longtemps controversé et maintenant à l’étude: C’est le 714-X de GASTON NAËSSENS. Des témoins oculaires peuvent encore le confirmer. Je déclare ces faits sous le sceau du serment.

N’y aurait-il pas analogie de pensée, dans le traitement local du cancer, avec le Dr Karl Aigner, chirurgien allemand, dont il est question dans le Sélection du Reader’s Digest de février 1995: Une brèche dans le traitement du cancer?

 Veuillez cliquer ici pour lire la partie 9

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